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Anne M.
2 critiques
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3,5
Publiée le 6 octobre 2024
Film vu en Allemagne où il est sorti plus tôt qu'en France. Un film d'animation plaisant mais pas forcément mémorable, sans grands rebondissements ni émotions.
Le film est tout bonnement magnifique, que se soit visuel ou au niveau de l'histoire qui est touchante sur le plan émotionnelle. On s'attend a un film pour enfant mais en réalité il aborde des sujets mature tel que la parentalité ou encore l'expression de nos sentiments envers d'autres individu. Finalement sur le plan visuel le film n'est pas un plaindre l'harmonie des couleurs est subjuguant, on en prends pleins les yeux aussi bien dans les scènes de vie ou de stress! Bref ne vous fiez pas a son air enfantin et foncés en salle le voir avant qu'il ne soit trop tard (Vu au Canada donc avant la sorti en France)
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4,0
Publiée le 3 octobre 2024
Qui d'autre que « DreamWorks » aurait acceptè de soutenir un tel projet en animation sur une île dèserte ? Et qui a dit que l'essentiel dans une histoire c'est son environnement ? C'est le meilleur exemple de ce qu'un film d'animation à voir en famille devrait être! Une èpopèe aussi belle que passionnante, rythmèe par Chris Sanders! Du plus petit au plus grand, chaque spectateur trouvera de quoi faire vibrer ses sens! Un concentrè d'humour, d'imagination et d'èmotions avec un robot particulièrement attachant! On pense parfois à "E.T" (1982), quelque fois au "Gèant de fer" (1999) et souvent à "Wall-E" (2008). Le rèsultat est une conjonction de tout cela : un robot perdu sur une île inhabitèe qui doit non seulement apprendre à se familiariser à l'environnement mais ègalement aux animaux sauvages! C'est aussi beau à voir qu'à ècouter, portant par la même occasion un message clair sur la technologie et le climat! A la fin de la projection on en redemande et les images de cette aventure extrêmement èmouvante finissent par rèapparaître! Vu en avant-première avec ma fille le 29 septembre 2024...
The Wild Robot suit deux schémas incompatibles qu’il ne parvient d’ailleurs pas à associer : d’une part, celui d’une nature nietzschéenne définie par la cruauté des rapports entre les êtres et par la beauté qu’elle suscite pourtant dans le cœur et l’esprit de l’artiste – en l’occurrence ici, Chris Sanders et son équipe – et, d’autre part, celui d’une réconciliation naïve des animaux capables, le moment venu, de laisser de côté leur prédation pour unir leurs forces contre un tiers ennemi. Dès lors, la première partie du film installe une brutalité que sa suite détricote bêtement, rejouant la carte d’un Open Season (Jill Culton, Roger Allers et Anthony Stacchi, 2006) ou d’un Barnyard (Steve Oedekerk, 2006) dans lesquels s’observaient cette entreprise d’aseptisation et de personnification des animaux, quoique plus légitimement puisque leur propos ne visait en rien l’état de sauvagerie. En prétendant offrir une réflexion sur les relations entre nature, culture et technologie, The Wild Robot sacrifie l’intelligence sur l’autel du divertissement certes réussi, mais insuffisant compte tenu de ses intentions. On préférera, et de loin, Wall-E (Andrew Stanton, 2008) et son robot témoin des égarements de l’homme dans une technologie qu’il a su concevoir mais nullement exploiter à son avantage. Reste une œuvre à l’esthétique originale, portée par la partition entraînante de Kris Bowers. Vu en avant-première au cinéma Turenne de Sedan.
Gros studio fondé au milieu des années 90 par, entre autres, Steven Spielberg, Dreamworks a finalement cessé ses activités en tant que studio producteur et distributeur un peu plus de dix ans après. Mais, sans rentrer dans les détails du rachat de la marque et du catalogue, la filiale Dreamworks Animation est la seule véritable rescapée de cette idée de studio multimédia pouvant concurrencer Disney. Et c’est désormais Universal qui distribue lesdits films sortant de cet illustre studio tout entier dédié aux films d’animation. Tout cela pour dire que dans ce domaine très concurrentiel, la firme au garçon pêchant sur un croissant de lune est toujours très active et nous réserve régulièrement des petits bijoux. On lui doit notamment la très belle saga « Dragons » ou, plus récemment, le sympathique « Les Bad Guys ». Mais aussi le bide historique « Ruby, l’ado Kraken » l’été passé... Avec ce nouvel opus intitulé « Le Robot sauvage », le studio d’animation nous offre ce qu’il sait faire de mieux en mixant deux branches ou sujets très prisés dans le domaine de l’animation et des films familiaux : les histoires d’animaux d’un côté et celles de robots de l’autre.
Un peu comme si on décidait de croiser l’ADN narratif d’œuvres mythiques telles que « Wall-E » et « Le Géant de fer » avec d’autres telles que « Zootopie » ou « Les Rebelles de la forêt », bien sûr tout cela uniquement sur le plan contextuel et thématique. Avec un petit bonus de taille puisque « Le Robot sauvage » est enveloppé dans un récit aux velléités disons plus proches de la poésie, de l’émotion et de la douceur de la saga « Dragons » que du gag, du cartoon et du rythme effréné à la « Madagascar ». Et c’est tant mieux tant ce sujet opposant la nature à la technologie et la manière dont les deux peuvent s’apprivoiser s’accommode mieux de ce choix que de la gaudriole et du rire. Alors bien sûr il y a tout de même quelques moments plutôt amusants et rigolos mais la plupart de ces instants amenés à faire rire sont destinés aux plus petits. Et c’est peut-être le défaut majeur avec « Le Robot sauvage » : on s’attendait peut-être à une œuvre plus mature et moins familiale ou, en tout cas, avec un second degré de lecture présent assorti d’un message à destination des adultes plus ténu.
Cela n’empêche pas ce film d’animation au graphisme de toute beauté, assez unique d’ailleurs, et au rendu paradoxalement aussi moderne et avant-gardiste que suranné (pour un résultat vraiment magnifique) d’être une réussite dans le genre. C’est même ce que Dreamworks Animation a fait de mieux en œuvre originale depuis très longtemps. De plus, les valeurs présentées ici sont certes déjà vues (l’importance du groupe, de l’entraide, le danger des technologies, le côté écolo avec préservation de la nature, ...) mais assez bien amenées et l’émotion affleure à plusieurs reprises et devraient toucher aussi bien les plus jeunes que leurs parents. La cadence est soutenue et les pérégrinations de ce robot tombé du ciel et de ce caneton orphelin (qui fait penser un peu au récent « Migration ») nous enchantent durant plus d’une heure et demie même si on attendait peut-être un peu trop (mieux même pour être honnête). Probablement à cause des bandes-annonces qui nous faisaient imaginer que « Le Robot sauvage » lorgnerait du côté de l’onirisme enchanteur à la Miyazaki...
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L'animation c'est le seul genre cinématographique qui me fait ressentir de telles sensations. Une admiration face à la beauté visuelle et des frissons face à la beauté de ce récit plein de beaux messages. Un robot et des dizaines d'animaux pour une rencontre émouvante et pleine de rebondissements. Un long métrage mature avec des scènes profondément humaine sans présence humaine. Une expérience unique à vivre au cinéma
Après le très décevant "Ruby l'ado Kraken" et "Kung Du Panda 4" qui ne m'a pas convaincu, DreamWorks revient en force avec "Le Robot sauvage", du même réalisateur que Dragon : Chris Sanders. Un film avec un nouveau style d'animation qui suit celui de "La dernière quête". On voit que le public veut du nouveau. Et le bide du précédent film n'apportant aucune nouveauté le confirme. Ça ne m'étonnerait pas de voir Disney adopter un nouveau style d'animation dans les prochaines années. "Le robot sauvage" est l'histoire de Rosum 7134, un robot échoué sur une plage en pleine nature et qui va s'acclimater, s'adapter à cet environnement. C'est quelque chose qui est génial, car le robot est la preuve de l'avancé technologique humaine et l'inverse du naturel. Mais ce dernier se retrouve dans un environnement avec toutes sortes d'animaux et sans aucune trace du passage de l'Homme. Le film est touchant mais manque un poil de sensationnel et d'émotions. Le plan qui nous a été montré dans la bande annonce avec le robot qui se tient à un arbre et qui est triste est magnifique, mais on en veut plus des situations comme celle-ci. Et pas forcément triste mais aussi heureuse. Ce qui me fait adorer un film est l'union entre l'émotion et la musique, et on en a dans ce film. Mais que au bout d'un certain temps et quand cela arrive, j'ai senti une réelle satisfaction, je me suis dit "enfin, c'est beau !". En effet, le début du film se tourne plus vers l'humour et plaît beaucoup aux enfants comme en témoigne l'avant première au Grand Rex. On suit le robot qui met en place son protocole d'aide à la personne et de mission. Mais cette partie est pour moi un peu longue. Ce n'est qu'une fois qu'il va avoir sa mission que le film devient réellement intéressant. Mais le début même si un peu long est nécessaire pour la suite.
En somme "Le robot sauvage" relance DreamWorks, j'espère que le studio va ressortir la tête de l'eau grâce à ce film et je pense qu'ils ont la recette du succès. L'animation est magnifique, l'image l'est tout autant et on a de superbes musiques pour accompagner le récit !
Film vu en avant première, il est excellent et très émouvant, c'est vraiment une belle découverte, je ne regrette vraiment pas d'avoir été le voir, je le recommande vivement !!!
Vue en avant-première, très beau film avec un beau message. Visuellement magnifique. Dreamworks a largement rattrapé et sans doute même dépassé Pixar dans la qualité de leurs films