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Un brio technique qui assure l’unicité du film et sert remarquablement l’expérience du spectateur : Le Robot sauvage happe et enveloppe, l’immersion décuplant la portée de ses émotions, foudroyantes.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Au milieu de la cascade de suites et de films dérivés de franchises qui assomment régulièrement le cinéma d'animation, "Le Robot Sauvage" n'est pas qu'une extraordinaire anomalie, qui mérite d'être chérie et vue par le plus grand nombre, mais aussi un véritable soulagement qui émeut autant qu'il offre à espérer.
La critique complète est disponible sur le site GQ
Impossible de ne pas être bouleversé par un film si intelligent et galvanisant, qui ne dissimule pas des vérités parfois cruelles, et célèbre la gentillesse.
Le scénario, inspiré du roman éponyme de Peter Brown (Folio Junior), déborde d’idées poétiques et philosophiques. Quant à l’animation, elle est ébouriffante de virtuosité.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Pourtant, il ne s’agit pas pour Sanders d’en faire le miroir de nos défaillances, mais d’inspirer une certaine transcendance. « Roz » est une esclave, la variation d’un modèle, ni bon ni mauvais. Son chemin est celui d’une libération (de son programme, du système qui l’a engendré), dans une belle incitation à prendre enfin le contrôle de sa vie.
Encore un coup de maître pour les studios Dreamworks (Shrek, Dragons) qui propose une fable écolo n’éludant ni les cycles de vie, ni les lois de la vie sauvage, parfois rudes. Animation splendide qui fait la part belle à un burlesque digne d’un cartoon.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Prodigieux graphiquement, mené à 100 à l’heure et cumulant d’incessants rebondissements, pourvu d’un humour désopilant, « Le Robot sauvage », qui pourra charmer de 7 à 97 ans, se distingue par la générosité de son propos et la grande originalité de son scénario.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
La plupart des blagues reposent sur l'omniprésence de la mort dans cet environnement hostile, pas banal dans un film pour enfants ! Les parents s'y retrouvent aussi avec un émouvant discours sur la filiation et la transmission. Superbe.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Si Le Robot sauvage n’est jamais animiste,(...) son esprit mystique se loge dans sa foi en une peinture numérique aux vibrations neuves, et qui magnifie la nature comme seuls des programmes informatiques peuvent le faire. Les machines ont accouché d’une miraculeuse frondaison.
La belle idée du réalisateur Chris Sanders (L’Appel de la forêt, Dragons) consiste à créer de l’émotion à partir de la batterie, figurée par des traits lumineux qui semblent couler comme le sang dans les veines. De ce motif récurrent procède un récit d’urgence – l’épuisement de la charge – où l’indépendance sensible de Roz s’avère être un moyen de survie.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le coréalisateur de Lilo & Stitch signe une nouvelle réflexion autour du concept de famille. Visuellement captivant, Le Robot sauvage perd en émotion en raison d’un déroulement assez attendu.
A travers sa galerie de personnages aussi drôles qu’attachants, comme ce renard taquin, ou encore ces malicieux opossums, le très poétique Le Robot Sauvage émeut sans pour autant tomber dans le pathos.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sous ses airs de petit film d’animation tout public, Le Robot sauvage laisse entrevoir une réalité de plus en plus palpable et inquiétante : l’idée que la machine serait plus humaine que l’être humain lui-même.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Il aurait été original de tenir jusqu’au bout la promesse d’une rencontre entre ces deux autres de l’Homme, en s’attachant à faire éprouver durablement, loin de la mièvrerie, leur irréductible étrangeté.
CinemaTeaser
Un brio technique qui assure l’unicité du film et sert remarquablement l’expérience du spectateur : Le Robot sauvage happe et enveloppe, l’immersion décuplant la portée de ses émotions, foudroyantes.
GQ
Au milieu de la cascade de suites et de films dérivés de franchises qui assomment régulièrement le cinéma d'animation, "Le Robot Sauvage" n'est pas qu'une extraordinaire anomalie, qui mérite d'être chérie et vue par le plus grand nombre, mais aussi un véritable soulagement qui émeut autant qu'il offre à espérer.
Le Journal du Dimanche
Impossible de ne pas être bouleversé par un film si intelligent et galvanisant, qui ne dissimule pas des vérités parfois cruelles, et célèbre la gentillesse.
Ouest France
Un bijou de film d'animation.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Le Robot sauvage ne se contente pas d’être bien écrit ou de proposer un doublage français de qualité, il est aussi magnifique.
IGN France
Habité par son excellente technique et une mise en scène mature, Le Robot Sauvage demeure ravissant d'un bout à l'autre.
L'Humanité
Chris Sanders et les studios DreamWorks magnifient cette famille recomposée dans un film d’animation touchant et visuellement épatant.
L'Obs
Le scénario, inspiré du roman éponyme de Peter Brown (Folio Junior), déborde d’idées poétiques et philosophiques. Quant à l’animation, elle est ébouriffante de virtuosité.
La Septième Obsession
Pourtant, il ne s’agit pas pour Sanders d’en faire le miroir de nos défaillances, mais d’inspirer une certaine transcendance. « Roz » est une esclave, la variation d’un modèle, ni bon ni mauvais. Son chemin est celui d’une libération (de son programme, du système qui l’a engendré), dans une belle incitation à prendre enfin le contrôle de sa vie.
La Voix du Nord
Encore un coup de maître pour les studios Dreamworks (Shrek, Dragons) qui propose une fable écolo n’éludant ni les cycles de vie, ni les lois de la vie sauvage, parfois rudes. Animation splendide qui fait la part belle à un burlesque digne d’un cartoon.
Le Dauphiné Libéré
Le Robot sauvage conjugue technologie et nature dans un film d’animation d’une grande beauté.
Le Figaro
Une splendide fable écologique qui ravira petits et grands.
Le Parisien
Prodigieux graphiquement, mené à 100 à l’heure et cumulant d’incessants rebondissements, pourvu d’un humour désopilant, « Le Robot sauvage », qui pourra charmer de 7 à 97 ans, se distingue par la générosité de son propos et la grande originalité de son scénario.
Le Point
La plupart des blagues reposent sur l'omniprésence de la mort dans cet environnement hostile, pas banal dans un film pour enfants ! Les parents s'y retrouvent aussi avec un émouvant discours sur la filiation et la transmission. Superbe.
Les Echos
Le réalisateur Chris Sanders adapte un livre pour la jeunesse dans un film d'animation aux paysages merveilleux et qui invite à la réflexion.
Les Inrockuptibles
Si Le Robot sauvage n’est jamais animiste,(...) son esprit mystique se loge dans sa foi en une peinture numérique aux vibrations neuves, et qui magnifie la nature comme seuls des programmes informatiques peuvent le faire. Les machines ont accouché d’une miraculeuse frondaison.
Paris Match
Préparez vos mouchoirs pour l’un des meilleurs films américains de l’année. Un petit bijou.
Télé 2 semaines
Impossible de s'ennuyer devant ce film touchant et ponctué d'humour.
Télé Loisirs
Impossible de s'ennuyer devant ce film touchant et ponctué d'humour.
Le Monde
La belle idée du réalisateur Chris Sanders (L’Appel de la forêt, Dragons) consiste à créer de l’émotion à partir de la batterie, figurée par des traits lumineux qui semblent couler comme le sang dans les veines. De ce motif récurrent procède un récit d’urgence – l’épuisement de la charge – où l’indépendance sensible de Roz s’avère être un moyen de survie.
Les Fiches du Cinéma
Le coréalisateur de Lilo & Stitch signe une nouvelle réflexion autour du concept de famille. Visuellement captivant, Le Robot sauvage perd en émotion en raison d’un déroulement assez attendu.
Première
A travers sa galerie de personnages aussi drôles qu’attachants, comme ce renard taquin, ou encore ces malicieux opossums, le très poétique Le Robot Sauvage émeut sans pour autant tomber dans le pathos.
aVoir-aLire.com
Sous ses airs de petit film d’animation tout public, Le Robot sauvage laisse entrevoir une réalité de plus en plus palpable et inquiétante : l’idée que la machine serait plus humaine que l’être humain lui-même.
Cahiers du Cinéma
Il aurait été original de tenir jusqu’au bout la promesse d’une rencontre entre ces deux autres de l’Homme, en s’attachant à faire éprouver durablement, loin de la mièvrerie, leur irréductible étrangeté.
Mad Movies
Hélas, petit à petit, Le Robot sauvage se laisse envahir par une naïveté extrême qui vire à la niaiserie.