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    Irresistible
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    34 critiques spectateurs

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    laurent T.
    laurent T.

    30 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 juillet 2020
    Ce film penche davantage sur la comédie tout en dénonçant le système politique US qui brasse des millions. Sans oublier les journalistes complaisant et qui alimentent le cirque médiatique. Comédiens excellents, avec une once de suspense même si ce n'est pas la finalité ici. Un bon moment.
    Makimax74
    Makimax74

    4 abonnés 125 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 juillet 2020
    un début un peu lent au début le film se moquer plus des médias que des politiques. le duo S.Carrel R.Byrne est trop cabotin a mon goût.
    defleppard
    defleppard

    340 abonnés 3 279 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 11 septembre 2020
    De niveau d'un téléfilm Américain...... avec un dénouement moyen.... 2 étoiles et demie.
    Gentilbordelais
    Gentilbordelais

    290 abonnés 2 850 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 6 septembre 2020
    un postulat de départ sans vraiment d'intérêt (même si inspiré de faits réels), encore que, tout dépend de son traitement. Ici, le scénario est finalement assez pauvre. Tout est plat, fade, assommant de bavardages (parfois vulgaires!) et ne provoque aucune émotion. L'ennui est tel qu'il pousse au décrochage en cours de route!
    Chris58640
    Chris58640

    190 abonnés 736 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 2 juillet 2020
    Sur le papier, l’idée est séduisante : mette en scène la revanche de l’élection improbable de 2016 dans un patelin du Middle-west, sur le ton de la comédie. Le film est réalisé par Jon Stewart, et le ton est volontairement et immédiatement potache. L’humour ici n’est pas d’une folle originalité, c’est certain. Il se veut acide, il l’est par moments fugaces, mais la plupart du temps, il repose sur le décalage bon sens paysan/élite de la capitale, avec une pointe de vulgarité. Le moins qu’on puisse dire est que cela à beau être efficace, ce n’est pas d’une folle originalité. Jon Stewart fait le job, sans en faire trop, sans surjouer les gags. Placer un communicant de Washington assez snob, assez sur de sa propre valeur, face à des habitants pétris de bon sens et de valeurs traditionnelles, ca fonctionne à condition qu’on sente clairement l’autodérision, dans les deux cas. Si cette autodérision affleure par moment (la réunion du parti démocrate au début, où visiblement personne n’a pris la mesure du problème posé par la défaite d’Hillary et ne se remet en question), elle demeure malgré tout un peu trop discrète. Gary Zimmer débarque dans le Wisconsin avec ses méthodes qui n’ont (pas) fait leur preuve en 2016, avec ses big data, ses panels, ses collectes de fonds dans les beaux quartiers de New York, ses soutiens médiatiques. On pourra objecter au film que ce sont les règles du jeu de la politique américaine, et qu’il ne fait que jouer selon les règles. Dans « Irrésistible », le parti démocrate n’a pas encore opéré sa mue, et il fonce tête baissée dans les mêmes impasses. De l’autre côté, on y va franchement : mensonges éhontés (devant des journalistes qui ne vérifient rien), déversement d’argent et sans aucun scrupule. Il y a seulement 10 ans, une telle caricature du Parti Républicain dans un film m’aurait paru très exagérée, presque insultante. Mais aujourd’hui, on est au-delà de toute caricature, alors tans pis pour eux... La presse en prend aussi pour son grade, et c’est de bonne guerre mais là encore, la critique aurait pu être plus mordante, plus acide. On peut dire que l’humour d’« Irrésistible » manque d’audace, se contente de gags un peu éculés, un peu faciles, alors qu’il y aurait tant à dire et tant à dénoncer. Mais peut-être ne fallait il ni choquer, ni déplaire trop ? Steve Carell, Chris Cooper et même Rose Byrne font le job dans le registre dans lequel le scénario les cantonne. Steve Carell en fait quand même beaucoup, il finit même par devenir un peu fatiguant. Rose Byrne c’est pire, elle détonne tellement dans cette campagne avec ses tenues impeccable, ses méthodes « Fox News » et ses réflexions pleine de condescendance qu’on se demande comment elle peut mener efficacement une campagne dans ce bled qu’elle exècre ouvertement ! Chris Cooper, lui, en ancien marine taiseux, est finalement celui qui a le rôle le plus facile, puisqu’il lui suffit d’être naturel. Le scénario tient la route jusqu’au dernier quart d’heure. Malgré tous les bémols que j’ai soulignés plus haut, le spectateur marche plutôt bien dans la combine : qui va l’emporter ? Gary va –t-il tirer des leçons de cette élection là puisqu’il n’a apparemment pas tiré de leçons de la précédente ? Et puis patatras, le dernier quart d’heure arrive et là… C’est le drame… Le « coup de théâtre final » (qui fonctionne dans le sens où on ne l’a pas vu venir) sent tellement fort la démagogie et la naïveté que s’en est incommodant. Pendant 90 minutes il a été question de politique, d’idées, de stratégie, et spoiler: là, d’un seul coup, tout part avec l’eau du bain ! Cette fin, qui se voudrait surement pleine de morale, voire même de cynisme, tombe (à mon sens) à plat ventre dans la démagogie. Il me semble qu’il est question malgré tout de Démocratie, sous couvert d’une comédie un peu potache, et ça me dérange que sous prétexte que cette Démocratie n’est pas parfaite (ce qui est son essence même mais c’est un autre débat), elle soit quasiment écartée d’un revers de main par le scénario. Je ne suis pas certaine que c’est en produisant ce genre d’effet que le cinéma américain apportera sa petite pierre à la reconstruction de la vie publique de son pays. Je suis peut-être un peu dure avec la comédie de Jon Stewart mais c’est elle qui a commencé ! C’est elle qui se voulait irrévérencieuse au départ, sur le papier, et c’est elle qui tombe dans un politiquement correct désagréable et presque nauséabond au final ! «
    Irrésistible » (je ne comprends pas la pertinence du titre, au passage…) aurait pu être une comédie politique noire, violente et appuyer fort là où ça fait bien mal, elle se contente du service minimum et laisse une impression finale désagréable.
    Michel C.
    Michel C.

    248 abonnés 1 400 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 4 juillet 2020
    Comédie made in USA, un peu trop !!! J'avoue que pour moi, elle ne m'a pas amusé, plutôt déconcerté et énervé. Avec un casting ronflant, Steve Carell, Rose Byrne, ou Chris Cooper, l'affiche était attirante. Même le sujet traitant de la Politique Américaine, avait de quoi faire saliver, jusqu'au constat amer d'une incompatibilité viscérale à cette version ultra trash, dénuée d'intérêt, tant du scénario, que de l'image. Une déception majeure, pour une série de gags mal construits, juste rapportés les uns aux autres, de façon tellement grossière qu'inconfortable et fatigante. Bref, aucun plaisir, sauf à l'annonce du générique, et dont la cible restera pour moi une vraie inconnue ?!!**
    Redzing
    Redzing

    989 abonnés 4 345 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 juillet 2022
    2016. L’élection de Donald Trump est une véritable fessée pour les Démocrates, qui cherchent à se relever et à reconnecter avec leur électorat. Stratégiste démocrate à très haut niveau, Gary trouve par hasard un personnage charismatique au fin fond du Wisconsin. Un colonel à la retraite qui s’offusque du traitement réservé aux immigrés clandestins. Gary fonce le convaincre et le soutenir pour devenir maire, et plus si affinités… On ne peut pas vraiment dire que « Irresistible » soit un uppercut, car en termes de satire politique il est gentillet. Voire il tire sur des portes ouvertes, de manière pas toujours subtile (attention scoop, Fox News est un média ultra-républicain !). Mais cette peinture des médias sensationnalistes et du système de bipartisme aux USA demeure plutôt amusante. Et elle propose une critique pertinente sur la manière dont les campagnes sont dépendantes de financements aussi massifs qu’occultes. On y trouve aussi une évocation (attendue) du fossé entre l’Amérique rurale et celle des politiciens branchés de Washington, D.C. En résultent quelques blagues sympathiques, surtout grâce à Steve Carell, qui campe ce stratégiste « gauche caviar » assez infect. Ses interactions avec Rose Byrne, tacticienne républicaine sans scrupule, donnent clairement pas mal de sel, et compensent un scénario un peu mou. Du moins jusqu’au dernier acte, qui offre un twist pas vraiment convenu ! « Irrésistible » n’a donc rien de la satire politique de la décennie. Et il n’est pas étonnant qu’il fût parmi les films sacrifiés sur l’autel de la VOD et du streaming lors de la crise du covid en 2020. Mais il demeure sympathique.
    Alasky
    Alasky

    314 abonnés 3 135 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 10 février 2021
    Film longuet, pas des plus captivants. Une satire sympa sans plus, à voir une fois peut-être, mais pas deux. C'est le grand et ultra talentueux Steve Carell qui tient le film quasiment à lui seul.
    ned123
    ned123

    137 abonnés 1 667 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 mai 2023
    J'ai vu un film... qui nous parle de démocratie, de votes, de luttes d'influence, de pouvoir, d'argent... mais qui nous montre que l'enjeu de l'élection (aux Etats-Unis... et ailleurs...) ne met pas nécessairement l'individu au centre des préoccupations... C'est un film jubilatoire, avec un Steve Carell vraiment au point qui sert à illustrer (à dénoncer ?) les turpitudes de la vie politique, avec des rêves de succès personnel au nom d'un intérêt (faussement ?) collectif... Bien que le film soit inégal et joue sur les bons sentiments, on perçoit bien qu'il s'agit d'une thérapie "démocrate" (une catharsis ?) après la surprise de l'élection de Trump... La rivalité entre Steve Carell (le stratège démocrate) et Rose Byrne (la stratège républicaine) donne tout son piment dans cette bataille électorale (dont tout le monde se fout) dans le trou du c... du monde... dans le Wisconsin...
    elriad
    elriad

    400 abonnés 1 806 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 septembre 2020
    Derrière le ton de comédie "sympatoche" , le réalisateur en assène mine de rien un coup sur les arcanes du pouvoir et le fossé qui existe entre les élites des grandes villes et les petites communes rurales qui se vident de leurs habitants. Les Républicains et les démocrates en prennent autant, tout comme les médias et leurs courses au buzz sans vérification, également égratignée. Même si les acteurs surjouent parfois, on se laisse tout de même avoir par le retournement final, et à l'arrivée "irrésistible" fait une pirouette à la morale des fables de La Fontaine : " tel est pris qui croyait prendre".
    S5Clem
    S5Clem

    74 abonnés 428 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 février 2021
    Très bonne critique bien faite et drôle du cirque politicomédiatique Américain et ses bandes annonces Hollywoodiennes (mais la critique globale de la gueguerre Républicains / Démocrates est reproductible aux autres pays). Le casting est excellent, Steve Carell fait du super taff ici. La fin est excellente avec des cut-scenes criantes de vérité lors du générique de fin. Un peu vulgos sur les bords mais pas trop lourd dans l'ensemble, drôle sans être méchant ou vulgaire du coup forcément bon. Juste un peu trop long, lassant sur la durée, mais franchement pas un mauvais film en soit
    Fabien S.
    Fabien S.

    491 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 février 2021
    Un très bon film avec Steve Carrell sur Gary Zimmer accompagné de Rose Byrne et de Chris Cooper au moment de l'élection de Trump.
    Rourkewhite
    Rourkewhite

    51 abonnés 935 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 11 novembre 2020
    Comédie politique enlevée qui emmène le spectateur dans les coulisses d'une campagne électorale locale qui va cristalliser l'opposition démocrates/républicains avec cirque médiatique et grosse machine marketing à l'appui! Satirique et très dynamique, le film surprend par une dose d'auto-dérision peu commune qui a de quoi dérouter... Une sentiment partagé qui, paradoxalement, justifie qu'on s'y attarde.
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    620 abonnés 2 813 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 29 janvier 2021
    Soucieux de dénoncer l’hypocrisie des campagnes électorales et de prendre le piégeur à son propre piège, Irresistible n’atteint jamais la puissance corrosive espérée, desservi par un humour qui jamais ne découle des situations rencontrées mais qui semble plaqué et forcé. Le gigotement incessant de la caméra, qui cherche toujours à mettre plein la vue par des effets de mise en scène tape-à-l’œil, atteste malgré elle une incapacité à proposer une forme personnelle et un regard critique un tant soit peu novateur. Seuls les acteurs apportent une plus-value appréciable, exception faite de Rose Byrne dont le personnage, des plus caricaturaux, échoue à s’imposer comme la Angélique Bouchard de Dark Shadows (Tim Burton, 2012). Et s’il fait un certain nombre de remarques pertinentes sur la course aux voix et les stratégies de manipulation qu’elle engendre, le film de Jon Stewart paraît à ce point obsédé par le contexte politique américain dont il est le contemporain qu’il expédie ses scènes, montés façon téléfilm, jusqu’à cette clausule ronflante qui achève d’aplanir un ensemble dépourvu de rugosités.
    Marc L.
    Marc L.

    41 abonnés 1 525 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 octobre 2021
    Dans ‘Irrésistible’, on trouve de vrais morceaux de ‘Doc Hollywood’ et de tous ses imitateurs, avec le citadin sophistiqué de la East coast qui se retrouve plongé dans la cambrousse très profonde et y découvre une certaine vérité sur l’Amérique éternelle..sauf que c’est écrit, réalisé et produit par Jon Stewart, qui est ce que l’Amérique possède de plus proche d’un journaliste-humoriste anar (donc, très éloigné de la notion qu’on en a - ou qu’on devrait en avoir ici. En français : il est plus proche de Yann Barthès que du Groland). Jon Stewart, donc, adjoint à sa comédie une réflexion politique, qui rejoint les préoccupations qui étaient celle du parti Démocrate au beau milieu de l’ère Trump : celle d’un parti qui, à force de défendre minorités spécifiques et communautés urbaines aisées, s’est presque totalement coupée de l’Amérique ouvrière, agricole et rurale. A l’usage, ‘Irrésistible’ est plutôt pas mal, occasionnellement drôle, plus rarement cinglant, mais forcément très américano-centré et américano-orienté, ce qui fait qu’une bonne partie des clichés qui sont instinctivement amusants là-bas seront plus difficilement perceptibles de ce côté-ci de l’océan, à moins de passer par un décryptage préalable : sans un minimum de maîtrise de la culture politique et médiatique américaine, c’est un peu comme si on montrait ‘Bienvenue chez les Ch’tis’ à des Russes. Reste le fin mot de l’histoire, possiblement très subversif politiquement pour un spectateur américain (encore que la croyance en un Etat incapable de gérer correctement l’argent public soit sans doute l’opinion la mieux partagée sur place) mais qui se garde prudemment d’adopter la moindre position trop tranchée et qui, d’un point de vue européen, ne fera que faire découvrir ou au contraire confirmer un a-priori sur le fonctionnement parfois très archaïque de la politque américaine. Jon Stewart a sans doute réussi son pari, à savoir filer un petit coup de coude, sans avoir l’air d’y toucher, à l’électeur américain un peu intéressé par la question et qui en serait arrivé à se dire “Il serait pas un peu revoir, ce système qui nous a donné le Special Needs qui squatte à la Maison Blanche ?’ . Malgré tout, pour un regard étranger et question satire - car c’est bien ce que ‘Irrésisitlbe’ - écrivez ‘IrRESISTible’ pour plus de clarté - se pique d’être - , le résultat s’avère plutôt inoffensif.
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