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    Les Crevettes pailletées
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    Clémentine K.
    Clémentine K.

    190 abonnés 1 429 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 mai 2019
    Malgré une interprétation légère et dont les traits font penser à un documentaire, l’esprit de fond de cette comédie dramatique nous envoûte et nous plonge dans l’émotion pure. Entre rire et larmes, ce film est réussi et le message passe bien clairement.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 12 mai 2019
    Un film drôle émouvant avec une fin qui vous colles à votre siège. Bravo j’ai le cœur pailleté comme des crevettes ��� et pour se qui est des clichés pour avoir était dans le milieu associatif gay rien n’est faux.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 12 mai 2019
    Quel plaisir cette autodérision !! Vraiment une réussite j ai passé un très bon moment une simple période un peu longue.. Une très bonne surprise !
    Mag G
    Mag G

    5 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 12 mai 2019
    Super film très bon moment
    Nous avons rigolé c'est frais bravo!!!
    Une petite larme aussi, on a pas vu le temps passé. Bravo
    K 23
    K 23

    1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 12 mai 2019
    j'adore
    on rit
    on pleure
    on ne s'ennuie jamais
    des défauts? oui certains. C'est un premier film pour un des deux réals.
    ET le film est bien mieux que la bande annonce.
    A foncer voir
    Chris58640
    Chris58640

    208 abonnés 756 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 mai 2019
    Au vu du titre, de l’affiche et de la bande annonce, je comprends qu’on puisse être un peu réservé quant aux « Crevettes Pailletées ». Il y a en effet dans ce film une touche « Cage aux Folles » assumée qui ne va pas plaire à tout le monde. Moi-même, j’avais quelques réserves avant d’aller voir le film. Réalisé par Cédric le Gallo et Maxime Govare, « Les Crevettes Pailletées » est une comédie haute en couleur plutôt bien tenue. J’entends par là qu’elle va à l’essentiel, ne se perd pas dans des considérations militantes, nébuleuses ou faussement moralisatrices. Si la bande originale fait la part belle aux « icones gays » habituelles, Céline Dion, Sabrina, Bonnie Tyler (il ne manque que Mylène Farmer et Dalida pour faire la quinte flush !), elle colore le film d’une dimension festive, même dans les scènes les plus douloureuses, comme à la fin. C’est bien filmé, monté de façon dynamique, du coup les 1h40 passent très bien. C’est drôle, bien sur, même si il faut l’avouer, le scénario et les dialogues ne font pas toujours dans la finesse ni le bon gout ! Cette volonté de multiplier les dialogues un peu crus, c’est peut-être pour choquer un peu, sans doute pour amuser, moi ça ne me gène pas plus que cela mais j’imagine que ca ne va pas convenir à tout le monde, et je peux le comprendre. Le coréalisateur, Cédric le Gallo, est un des vrais membres des vraies Crevettes Pailletées, coréalise ici son premier film aux côté de Maxime Govare, qui a un tout petit plus d’expérience. On va dire que pour un « presque » premier film, c’est plutôt bien réussi et que les petites faiblesses du scénario sont inhérentes au genre de la comédie. Le scénario respecte en effet plus ou moins le cahier des charges de la comédie de base : spoiler: la rencontre un peu explosive entre deux mondes qui s’ignorent, l’évolution du personnage prétendument homophobe vers plus de tolérance, le rapprochement père fille à cette occasion, la leçon de courage et d’abnégation qui va avec et évidemment le faux suspens du sport au cinéma (au cinéma, il reste toujours 15 secondes à jouer alors qu’on est à égalité!).
    Difficile d’échapper à ce schéma, je le sais bien… On soulignera quand même que le film aborde, même de façon superficielle, les agressions homophobes, la maladie, la misère sexuelle mais aussi des choses plus inattendues comme l’intolérance à l’intérieur de la communauté LGBT et le militantisme envahissant et un peu contre-productif. A côté de cela, l’histoire en elle-même de Mathias Le Goff ne manque pas d’intérêt : la vie d’un sportif de haut niveau qui, visiblement, n’a pas bien préparé sa reconversion, l’attitude de certains journalistes sportifs, les relations parfois compliquée entre les sportifs et leur fédération, la difficulté pour eux de concilier la compétition et une vie familiale normale, l’homophobie latente dans le monde du sport, tout cela est très pertinent et mériterait presque, à mes yeux, un film entier ! Je ne connais pas assez la natation et le water-polo pour voir si « Les Crevettes Pailletées » tordent le cou au réalisme. Le water-polo m’a l’air d’être un sport physiquement très difficile et les crevettes ont une hygiène de vie peu compatible avec le sport, alors forcément on n’y croit pas à 100%, à cette histoire de qualification pour les Gays Games ! Le casting est forcément très haut en couleur et c’est à la fois Nicolas Gob et Alban Lenoir qui tiennent le haut du pavé, sans pour autant éclipser leurs camarades. Nicolas Gob, que l’on à découvert à la TV dans des séries plutôt bonnes (« Les Bleus ») ou même excellentes (« Un Village Français ») est un acteur qui mériterait sans doute qu’on lui fasse confiance plus souvent. Ici, il est très juste, et même assez touchant en nageur au creux de la vague, un peu désemparé par une fin de carrière qu’il n’arrive pas à gérer correctement. Quant à Alban Lenoir, je redis ici combien je crois en ce comédien, capable de tout jouer, mêmes des rôles de skinhead ou de crevette à paillettes sans jamais surjouer, sans jamais tomber dans la caricature. Cet acteur, que j’ai découvert dans « Kaamelott » et « Héros Corp », doit avoir la carrière qu’il mérite, s’il y a une justice dans le cinéma français. En résumé, on peut s’octroyer le plaisir coupable d’aller voir « Les Crevettes Pailletées » à deux conditions : ne pas être homophobe et supporter le côté un peu « Priscilla, folle du Désert » du scénario. Si vous cochez une des deux cases, mieux vaut vous abstenir. Sinon, pourquoi se priver d’un petit plongeon la tête la première : ça détend et surtout ça rafraichit les idées !
    DaeHanMinGuk
    DaeHanMinGuk

    179 abonnés 2 265 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 mai 2019
    C’est fou ce que les sports aquatiques sont à la mode depuis « Le Grand Bain ». « Les Crevettes pailletées » ajoute le côté LGBT au défi sportif et la sauce prend bien : en grande partie grâce à un très bon casting et à de nombreuses saillies d’humour bien senties. Il y a quelques baisses de rythme dans le film mais on a tellement envie de soutenir cette équipe si sympathique qu’on oublie ces petits défauts pour s’arrêter sur l’essentiel : un road-movie original pour rapprocher homosexuels, transgenres et hétérosexuels. D’ailleurs, le thème du film et le lieu – les Balkans - m’ont fait penser à une excellente comédie sortie en 2013 qui n’a malheureusement pas rencontrée son public : « La Parade » (Parada). Alors, si vous avez l’occasion, regardez aussi cette autre œuvre importante pour la cause homosexuelle.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 12 mai 2019
    Je suis abasourdi par les retours positifs sur ce film.
    Rarement je me suis senti aussi gêné au cinéma - je suis allé voir ce qu'on m'a vendu comme un "French Priscilla", pour finalement supporter une Cage aux Folles 2.0 (l'expression est de AZZO, et j'y souscris tout à fait). Au-delà de l’amoncellement de clichés qui a fini par me faire douter de ma propre orientation sexuelle (est-ce que j'appartiens vraiment à cette communauté ?), le film passe littéralement à côté de tout ce qu'il pourrait traiter avec intelligence, créant de fausses oppositions, de faux ressorts dramatiques surjoués, et de la morale dégoulinante de bons sentiments qui n'exalte aucune grandeur d'âme, mais seulement un narcissisme constant.
    Le jeu d'acteur est passablement mauvais, le scénario poussif (j'ai l'impression d'avoir moi aussi passé plusieurs heures de voyages jusqu'en Croatie), et les répliques plutôt molles (sic).
    "Le Grand Bain" avait pour grand mérite de nous montrer des âmes cassées sur le chemin de l'émancipation. La seule chose dont on s'émancipe dans Les Crevettes, c'est l'envie de comprendre comme trois vannes moyennes peuvent convaincre des gens de faire un film.
    lionelb30
    lionelb30

    435 abonnés 2 590 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 mai 2019
    Casting plutot pas mauvais , quelques repliques amusante , un peu d'emotion , plutot bien dans l'ensemble. Cependant scenario et mise en scene sans grande surprise , sujet clivant , parfois un peu cru et qui peut ne pas plaire a tout le monde.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 12 mai 2019
    Un film décomplexé qui nous fait largement réfléchir aux rapports humains.
    Un peu cliché sur les bords, on s'amusera cependant du tendre regard donné à la communauté LGBT. Magnifique éloge de la différence, et de l'acceptation de soi. Un très bon film.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 12 mai 2019
    Petite comédie drôle et touchante, servie par une jolie troupe de comédiens, qui manque parfois de finesse mais a le mérite d'exister, en ces temps où l'homophobie est malheureusement toujours d'actualité. Et de rappeler que le sport se doit de montrer l'exemple, ce qui est loin d'être le cas...
    Alexis R.
    Alexis R.

    6 abonnés 53 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 12 mai 2019
    Un très bon film qui permet à la fois de beaucoup rire et de pleurer l’émotion est partout dans ce film les comédiens sont fantastiques même si on n’échappe pas à certains clichés ce film est à voir absolument
    Christophe B.
    Christophe B.

    6 abonnés 10 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 12 mai 2019
    Ben la tolérance en a pris un sacré coup du début à une fin bidon les deux réalisateurs nous servent de gros clichés sur l’homosexuelle. Tout y passe niveau clichés, bienvenue aux 21eme siècle les LGBT ne sont plus ni de grosses follasses ni des camionneurs ni des toxicos ou des personnes ayant un penis à la place du cerveau.
    Très déçu de cette vision et oser comparé ÇA à Priscilla mais franchement non il ne lui arrive même pas à la cheville.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 12 mai 2019
    Concerné par le sujet, c'est pour moi un film qui véhicule les clichés les plus lourds et les plus usés sur les LGBT, en plus de flirter avec le sexisme. Contrairement à la cage aux folles par exemple qui se moque de ces clichés, les crevettes roses fait l'inverse en les collant à la peau de personnages qui sont revendiqués comme différents dans leur façon de vivre leur vie. Sauf qu'au final, ce n'est pas la cas, ce sont tous des fofolles qui aiment la fête et l'extravagance. Ça me pose problème car finalement il véhicule auprès des hétéros l'idée que les homos sont bien différents d'eux ce qui est le pire message dans un film qui se veut tolérant. Niveau humour, on est dans le lourd dingue, les comiques de situation sont absolument tous du déjà vu. Niveau scénario, jeu d'acteur et répliques, absolument tout est prévisible et ne vole pas haut. Beaucoup de comédies sont bien plus marrantes que ça et beaucoup de films sur la cause homosexuelle traitent bien mieux ce sujet. Du coup, je n'y ai pas trouvé beaucoup d'intérêt, quand même 2 étoiles si l'on part du principe que ce film est fait par une bande de potes, pour eux-même et qu'il en résulte un gros délire au quel on peut adhérer ou non.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 12 mai 2019
    Le film est très drôle en lui-même avec une intrigue bien construite et des personnages attachants. La partie road trip est particulièrement drôle. J’ai beaucoup apprécié le personnage de Joël qui montre bien les tensions entre militantisme et décontraction, entre le passé et les oppressions toujours actuelles et une volonté de les oublier pour aller vers la fête.
    Je suis néanmoins particulièrement déçu par certains travers du film qui selon moi reflètent le problème principal de la communauté LGBTQ : le film est centré sur les gays uniquement et écrase entièrement toutes les autres lettres. Les lesbiennes sont à peine représentées (de manière stéréotypée bien que pas forcément fausse, comme un groupe homogène, mais surtout comme des « ennemies ». Les personnages ne se privent pas de faire du sexisme, et l’ayant vécu de la part de gays, ça m’a fait moyennement rire de ne pas voir ce cliché dépassé). Un seul personnage transgenre joué par un homme (les actrices trans existent, sont-elles si peu capables de jouer leur propre identité ?) et à qui n’est pas donné grande profondeur. Aucun mec trans gay (alors que ceux-ci sont présents dans la communauté gay bien que beaucoup refusent de les voir et les prennent pour des filles), aucun personnage bisexuel, aucun personnage non-binaire, alors que ce sont des groupes qui sont en pleine affirmation de leur existence. Le film me semble bloqué il y a vingt ans, voire plus (vraiment l’absence de lesbiennes est assez impardonnable, surtout que les équipes de gay games sont mixtes... pourquoi ne pas avoir fait une alliance avec les déménageuses et profité de ce tournant pour introduire les différents types de lesbiennes ?) C’est dommage, la communauté LGBTQ est extrêmement diverse, et ses personnages, bien que différents, sont vendus comme sa représentation complète alors qu’il manque des pans entiers de l’arc en ciel.
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