Note moyenne
3,5
12 titres de presse
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Le Point
Entre récit initiatique et conte poétique, cette nouvelle pépite des studios Les Films d’ici raconte sur tout le pouvoir de la magie et de la mémoire en temps de guerre et la continuité de la résistance. A voir absolument.
L'Obs
Une odyssée en forme de fresque pleine de bruit et de fureur, portée par une forme virtuose qui montre, à travers ses gammes de couleurs et ses formes surréalistes, la violence et la folie des hommes.
Ouest France
Grâce à sa forme animée fantasmagorique, le film devient un grand voyage mémoriel et explore les traumatismes de la guerre à la manière du beau Valse avec Bachir.
Paris Match
Beau film d’animation dans la lignée de « Valse avec Bachir », « La Sirène » de Sepideh Farsi revient sur un conflit oublié qui a pourtant façonné l’histoire contemporaine, la guerre Iran-Irak.
Télé 7 Jours
Authentique.
La Croix
Reflet de la confusion qui règne lors d’un état de siège, les personnages se cherchent pendant le premier tiers du film, égarant également un peu, au passage, le spectateur. Mais dès que les enjeux sont plus clairs, La Sirène séduit.
Le Monde
La Sirène, film d’animation de la cinéaste iranienne Sepideh Farsi, a beau retracer la mémoire de la guerre Iran-Irak (1980-1988), à l’époque où la réalisatrice était adolescente, cette œuvre nous parle de tous les conflits.
Le Parisien
Très graphique et épuré, très sombre aussi, « La Sirène » est un film dur et très masculin, qui traîne parfois en longueur.
Les Fiches du Cinéma
"La Sirène" séduit par son patient travail de reconstitution du conflit Irak / Iran des années 1980 en animation. Mais ce travail appliqué semble souvent dépassionné, voire un peu triste.
Libération
Le premier film d’animation de l’Iranienne Sepideh Farsi retrace la guerre Iran-Irak à travers le regard d’un ado qui voit son monde devenir exsangue et terne. Au risque de miner le film lui-même.
Première
Le cinéma de la réalisatrice Sepideh Farsi, agité entre documentaire et fiction (son précédent film de fiction en live action, le drame migrant Demain je traverse sorti en juin 2022, ne nous avait pas entièrement convaincus), trouve dans l'animation une forme nouvelle et idéale.
Télérama
Une œuvre sensible et humaniste sur la guerre au quotidien, entre désolation et solidarité.