Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
Ouest France
par Cédric Page
Parfois trop hagiographique, ce documentaire passionne néanmoins quand il ressuscite le Memphis des années 1980-90 (...).
Voici
par La Rédaction
L'intérêt du film réside aussi dans sa description de l'énergie des rues de Memphis.
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Louis Wallecan met en scène son sujet, grand personne du monde contemporain, avec un véritable goût de l'image et une faim d'Americana.
Le Figaro
par Ariane Bavelier
La caméra n’invente pas une féerie. Memphis a ses cruautés. Wallecan suit le talent d’un garçon qui ouvre une sacrée trajectoire mais reste malgré tout sur le macadam. Et dont on se demande ce qu’il deviendra lorsqu’il ne pourra plus faire trois tours sur la pointe de ses baskets.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Ce documentaire, rythmé et passionnant, nous raconte le destin étonnant d'un gamin qui a osé croire en son talent.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
Lil’ Buck est le héros de ce documentaire passionnant, rythmé par l’énergie de ses protagonistes et des scènes de danse inouïes.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Luc Chessel
Quand Lil Buck se met à danser, tout se transforme en danse. Lil Buck Real Swan, le film de Louis Wallecan qui fait son portrait, se rend d’abord à cette évidence, à ce plaisir. Mais il ne fait pas que cela.
La critique complète est disponible sur le site Libération
L'Obs
par François Forestier
C’est cette évolution, avec un personnage enthousiasmant, que filme Louis Wallecan, avec l’aide de virtuoses comme Yo-Yo Ma ou Benjamin Millepied.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Murielle Joudet
Avec beaucoup d’élégance et un sens affirmé du cadre, Louis Wallecan se pose la seule question qui vaille : comment mettre en scène un corps en mouvement ?
Première
par Frédéric Foubert
Trop hagiographique quand il se concentre les récents succès de son sujet, le film passionne en revanche quand il ressuscite un monde, le Memphis des années 80-90, qui vibrait au rythme du « jookin’ », une danse de rue très complexe à exécuter (et très excitante à regarder), que Lil’ Buck s’appropria en y incorporant des éléments venus du ballet.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Jérémie Couston
Fasciné par la grâce du danseur, qui ferait passer Michael Jackson pour un hippopotame, le réalisateur multiplie les témoignages extatiques sans interroger leur paradoxale ambiguïté.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ouest France
Parfois trop hagiographique, ce documentaire passionne néanmoins quand il ressuscite le Memphis des années 1980-90 (...).
Voici
L'intérêt du film réside aussi dans sa description de l'énergie des rues de Memphis.
CinemaTeaser
Louis Wallecan met en scène son sujet, grand personne du monde contemporain, avec un véritable goût de l'image et une faim d'Americana.
Le Figaro
La caméra n’invente pas une féerie. Memphis a ses cruautés. Wallecan suit le talent d’un garçon qui ouvre une sacrée trajectoire mais reste malgré tout sur le macadam. Et dont on se demande ce qu’il deviendra lorsqu’il ne pourra plus faire trois tours sur la pointe de ses baskets.
Le Journal du Dimanche
Ce documentaire, rythmé et passionnant, nous raconte le destin étonnant d'un gamin qui a osé croire en son talent.
Les Fiches du Cinéma
Lil’ Buck est le héros de ce documentaire passionnant, rythmé par l’énergie de ses protagonistes et des scènes de danse inouïes.
Libération
Quand Lil Buck se met à danser, tout se transforme en danse. Lil Buck Real Swan, le film de Louis Wallecan qui fait son portrait, se rend d’abord à cette évidence, à ce plaisir. Mais il ne fait pas que cela.
L'Obs
C’est cette évolution, avec un personnage enthousiasmant, que filme Louis Wallecan, avec l’aide de virtuoses comme Yo-Yo Ma ou Benjamin Millepied.
Le Monde
Avec beaucoup d’élégance et un sens affirmé du cadre, Louis Wallecan se pose la seule question qui vaille : comment mettre en scène un corps en mouvement ?
Première
Trop hagiographique quand il se concentre les récents succès de son sujet, le film passionne en revanche quand il ressuscite un monde, le Memphis des années 80-90, qui vibrait au rythme du « jookin’ », une danse de rue très complexe à exécuter (et très excitante à regarder), que Lil’ Buck s’appropria en y incorporant des éléments venus du ballet.
Télérama
Fasciné par la grâce du danseur, qui ferait passer Michael Jackson pour un hippopotame, le réalisateur multiplie les témoignages extatiques sans interroger leur paradoxale ambiguïté.