Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
5 critiques presse
L'Obs
par François Forestier
Tournés au Tadjikistan, ces "Trois Petits Rêves" sont caractéristiques d'un cinéma qui emprunte à la tradition le goût du conte et fait des détours stylisés pour dire des vérités critiques.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Fiches du Cinéma
par Valentine Verhague
Un pamphlet efficace, et au dispositif narratif original, sur l’oppression religieuse et militaire en Iran.
Positif
par Louise Dumas
Le quatrième long métrage de fiction du réalisateur et producteur iranien Chapour Haghighat, 71 ans, séduit par sa modestie.
Télérama
par Jérémie Couston
De la « science-nichon », comme tente de l’expliquer l’un des personnages, qui s’approprie une citation (imaginaire) de Jean Cocteau afin de rappeler que le cinéma a toujours été le défouloir des passions les plus inavouables.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
par Thomas Sotinel
L’allégorie est si transparente, le discours énoncé si clairement que la fiction et le plaisir ont du mal à percer derrière l’indignation.
L'Obs
Tournés au Tadjikistan, ces "Trois Petits Rêves" sont caractéristiques d'un cinéma qui emprunte à la tradition le goût du conte et fait des détours stylisés pour dire des vérités critiques.
Les Fiches du Cinéma
Un pamphlet efficace, et au dispositif narratif original, sur l’oppression religieuse et militaire en Iran.
Positif
Le quatrième long métrage de fiction du réalisateur et producteur iranien Chapour Haghighat, 71 ans, séduit par sa modestie.
Télérama
De la « science-nichon », comme tente de l’expliquer l’un des personnages, qui s’approprie une citation (imaginaire) de Jean Cocteau afin de rappeler que le cinéma a toujours été le défouloir des passions les plus inavouables.
Le Monde
L’allégorie est si transparente, le discours énoncé si clairement que la fiction et le plaisir ont du mal à percer derrière l’indignation.