Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
Libération
par Camille Nevers
[Une] comédie indépendante brillantissime.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Bande à part
par Olivier Bombarda
Réjouissant, Straight Up de James Sweeney s'amuse à détourner les codes au travers de l'union d'un gay tenté par l'hétérosexualité et d'une actrice fantaisiste un brin intello. Un premier film surprenant et réussi.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Devant et derrière la caméra, pour son premier long-métrage, l'américain James Sweeney renouvelle le genre de la comédie romantique avec fraîcheur et piquant.
L'Humanité
par Vincent Ostria
L’hétérosexualité comme remède aux phobies d’un jeune homme. Tel est le thème de cette comédie romantique et pop qui marque les débuts de James Sweeney, un acteur-réalisateur à suivre.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Mais derrière ce vrai faux autoportrait perfide se révèle une réflexion réussie sur le déterminisme de notre identité genrée et sexuelle.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par Maryline Aligner
Comédie romantique indépendante américaine, STRAIGHT UP est un film plein de charme et de fraîcheur. Dès ce premier long-métrage, le cinéaste James Sweeney investit le terrain de l’intime et se glisse d’ailleurs lui-même dans la peau de son personnage, Todd.
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
James Sweeney, débit mitraillette, est une sorte de Woody Allen du XXIe siècle, jeune, exquis et hilarant. Straight up est d’un humour tranchant, avec ses dialogues fins comme des lames, qui tranchent dans le vif pour parler de manière crue de la sexualité contemporaine.
Télérama
par Jacques Morice
Original et rafraîchissant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
par M. Dl
Malgré une représentation clinique des chastes émois de Todd, le film participe au déploiement des formes amoureuses, en particulier du désir dénué de sexualité.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Julie Loncin
Interrogeant la place de la sexualité dans les relations sentimentales, cette comédie romantique parfois charmante, souvent forcée, puise avec excès dans le vocabulaire du cinéma indépendant américain, si bien que l’artifice prend le pas sur la sincérité.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
D’abord extrêmement séduisante, cette hyperstylisation agace ensuite, pour mieux, in fine, enrichir intelligemment son sujet. Obsédé par le contrôle et la maîtrise, voulant à tout prix se rattacher à une étiquette, Straight Up se confond avec la difficile quête identitaire de son protagoniste.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Cette aimable comédie romantique gay friendly se laisse voir. Au-delà des clichés inhérents à un certain cinéma indépendant américain, la réflexion sur l’identité de genre est plutôt subtile.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Positif
par Vincent Thabourey
D’où le sentiment d’un film conçu comme un spectacle de stand up jamais avare de blagues, rythmé, mais incapable de renouveler le moule de la comédie romantique.
Première
par La Rédaction
Le film est indéniablement généreux. Couleurs criardes, bouches bavardes, plans qui défilent à la manière d’un Powerpoint. Mais l’intrigue, elle, est on ne peut plus banale.
La critique complète est disponible sur le site Première
Libération
[Une] comédie indépendante brillantissime.
Bande à part
Réjouissant, Straight Up de James Sweeney s'amuse à détourner les codes au travers de l'union d'un gay tenté par l'hétérosexualité et d'une actrice fantaisiste un brin intello. Un premier film surprenant et réussi.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Devant et derrière la caméra, pour son premier long-métrage, l'américain James Sweeney renouvelle le genre de la comédie romantique avec fraîcheur et piquant.
L'Humanité
L’hétérosexualité comme remède aux phobies d’un jeune homme. Tel est le thème de cette comédie romantique et pop qui marque les débuts de James Sweeney, un acteur-réalisateur à suivre.
L'Obs
Mais derrière ce vrai faux autoportrait perfide se révèle une réflexion réussie sur le déterminisme de notre identité genrée et sexuelle.
La Septième Obsession
Comédie romantique indépendante américaine, STRAIGHT UP est un film plein de charme et de fraîcheur. Dès ce premier long-métrage, le cinéaste James Sweeney investit le terrain de l’intime et se glisse d’ailleurs lui-même dans la peau de son personnage, Todd.
Le Dauphiné Libéré
James Sweeney, débit mitraillette, est une sorte de Woody Allen du XXIe siècle, jeune, exquis et hilarant. Straight up est d’un humour tranchant, avec ses dialogues fins comme des lames, qui tranchent dans le vif pour parler de manière crue de la sexualité contemporaine.
Télérama
Original et rafraîchissant.
Le Monde
Malgré une représentation clinique des chastes émois de Todd, le film participe au déploiement des formes amoureuses, en particulier du désir dénué de sexualité.
Les Fiches du Cinéma
Interrogeant la place de la sexualité dans les relations sentimentales, cette comédie romantique parfois charmante, souvent forcée, puise avec excès dans le vocabulaire du cinéma indépendant américain, si bien que l’artifice prend le pas sur la sincérité.
Les Inrockuptibles
D’abord extrêmement séduisante, cette hyperstylisation agace ensuite, pour mieux, in fine, enrichir intelligemment son sujet. Obsédé par le contrôle et la maîtrise, voulant à tout prix se rattacher à une étiquette, Straight Up se confond avec la difficile quête identitaire de son protagoniste.
aVoir-aLire.com
Cette aimable comédie romantique gay friendly se laisse voir. Au-delà des clichés inhérents à un certain cinéma indépendant américain, la réflexion sur l’identité de genre est plutôt subtile.
Positif
D’où le sentiment d’un film conçu comme un spectacle de stand up jamais avare de blagues, rythmé, mais incapable de renouveler le moule de la comédie romantique.
Première
Le film est indéniablement généreux. Couleurs criardes, bouches bavardes, plans qui défilent à la manière d’un Powerpoint. Mais l’intrigue, elle, est on ne peut plus banale.