Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
22 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Jouant sur les codes du cinéma d’horreur, la réalisatrice plonge les protagonistes dans un cauchemar aussi complexe que l’architecture de son décor.
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Le spectateur se laisse submerger par l’étrangeté qui règne, puis par l’horreur (le body horror, même) bien plus frontale qui finit par exploser.
Culturopoing.com
par Anna Fournier
Le premier long-métrage de la réalisatrice nippo-australienne, Natalie Erika James, s’écarte respectueusement des chemins routiniers de l’horreur pour explorer des voies plus inattendues, qui ont le mérite de nous amener sur une terre peu exploitée, celle où peut fleurir une peur existentielle et mélancolique.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Ecran Large
par Simon Riaux
Drame familial, horreur intimiste puis monstrueux cauchemar, "Relic" est tout cela, grâce à l'écriture terriblement humaine et à la caméra sensible de Natalie Erika James. Avec ce premier long-métrage, elle impose une voix singulière, à suivre (en tremblant).
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Ecran Fantastique
par Yann Lebecque
Ce premier long-métrage est un modèle du genre, porté par des effets sonores inspirés de ce que ressentent les victimes de démence, remarquablement immersifs.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Ce récit terrifiant entretient le malaise jusqu'au dénouement extraordinaire.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par Michaël Ghennam
D’une grande maîtrise formelle sans sacrifier les émotions, ce premier film marque l’émergence d’une auteure à suivre.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Voici
par Daniel Blois
Entre drame familial, thriller et film d'horreur, Relic dérange autant qu'il émeut, et vous fera dresser les cheveux sur la tête !
Cahiers du Cinéma
par Olivia Cooper-Hadjian
La décrépitude s’assimile à un mal qui s’immiscerait sournoisement dans les murs du logis. L’expérience cauchemardesque des deux visiteuses révèle progressivement, en négatif, le point de vue fuyant de la vieille femme, dont la maison apparait comme une projection mentale.
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Bref, du déjà-vu. Sauf que l’horreur made in Australie a toujours quelque chose de plus poisseux et ambigu que sa cousine américaine. Ici, tout se joue dans un gynécée pervers, aux nombreux conflits irrésolus, plein de rancœurs et de névroses. Le sous-texte psychanalytique est plus flippant que le film lui-même.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Geek
par Cyril Valent
Pour un premier film, Natalie Erika James s’en tire correctement sans convaincre tout à fait.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Geek
Le Monde
par Jean-François Rauger
Le film confronte habilement la rhétorique du cinéma d’épouvante à de familières inquiétudes. Natalie Erika James décentre les clichés de l’horreur contemporaine pour fouiller dans la psyché de trois générations de femmes.
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Film d'épouvante de facture classique, « Relic » propose surtout une réflexion émouvante sur le vieillissement, la mort et le courage de l'affronter. Terrifiant et bouleversant.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Inrockuptibles
par Léo Moser
S'il n'a pas l'ampleur d'un "Hérédité", "Relic" réserve quelques moments d'angoisse sourde (visions glaçantes de la démence sénile), et propose un regard profondément troublant (et troublé) sur la famille, les non-dits qui la terrassent et les secrets enfouis qui la vicient.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Mad Movies
par Alexandre Poncet
D'une lenteur uniforme, la narration et le montage finissent par noyer le propos en dépit de quelques très belles idées, dont une scène claustrophobique où les murs se rapprochent peu à peu des personnages et un épilogue assez poétique.
Ouest France
par Christophe Narbonne
Un film d'horreur qui dissimule une réflexion (un peu démonstrative) sur la vieillesse et l'effacement.
Positif
par Philippe Rouyer
Tout n’est pas abouti dans ce premier long métrage, certains effets sont répétitifs ou trop appuyés. Mais Natalie Erika James témoigne d’un talent pour faire naître et cultiver l’horreur dont on a hâte de suivre les prochaines démonstrations.
Rolling Stone
par Xavier Bonnet
Ce sont en effet les non-dits entre ces trois femmes qui offrent une tonalité différente au film, de la grand-mère (Robyn Nevin, inquiétante à souhait) à la petite-fille (Bella Heathcote), avec lesquelles la mère et donc fille aura bien du mal (et du mérite…) à composer, dans une partition dont s’acquitte Emily Mortimer avec force et sa classe naturelle.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Télérama
par Marie Sauvion
La vision de cette demeure rongée par la putréfaction, l’exploration angoissante de ses labyrinthes font le lit (glacé) d’un drame dont le final, curieusement, baigne d’une réelle tendresse des images franchement gore.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Julien Rocher
Natalie Erika James inaugure, avec ce premier long métrage, le début d’une carrière qui s’annonce exaltante et palpitante, tant Relic arrive à jongler entre plusieurs tableaux, sans jamais tomber dans le recyclage. Une fabuleuse découverte.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Parisien
par Michel Valentin
Une fin incompréhensible finit de plomber ce film qui partait pourtant d'une bonne intention, montrer la déchéance et la solitude qui nous guettent tous à la fin de notre existence.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Première
par Christophe Narbonne
C’est la limite de Relic qu’on a l’impression d’avoir déjà (beaucoup) vu – nonobstant la comparaison écrasante avec Hérédité d’Ari Aster. Son originalité réside dans son traitement de la vieillesse et de la sénilité dont Natalie Erika James fait une allégorie aussi flippante que touchante jusqu’à un dénouement très réussi.
La critique complète est disponible sur le site Première
20 Minutes
Jouant sur les codes du cinéma d’horreur, la réalisatrice plonge les protagonistes dans un cauchemar aussi complexe que l’architecture de son décor.
CinemaTeaser
Le spectateur se laisse submerger par l’étrangeté qui règne, puis par l’horreur (le body horror, même) bien plus frontale qui finit par exploser.
Culturopoing.com
Le premier long-métrage de la réalisatrice nippo-australienne, Natalie Erika James, s’écarte respectueusement des chemins routiniers de l’horreur pour explorer des voies plus inattendues, qui ont le mérite de nous amener sur une terre peu exploitée, celle où peut fleurir une peur existentielle et mélancolique.
Ecran Large
Drame familial, horreur intimiste puis monstrueux cauchemar, "Relic" est tout cela, grâce à l'écriture terriblement humaine et à la caméra sensible de Natalie Erika James. Avec ce premier long-métrage, elle impose une voix singulière, à suivre (en tremblant).
L'Ecran Fantastique
Ce premier long-métrage est un modèle du genre, porté par des effets sonores inspirés de ce que ressentent les victimes de démence, remarquablement immersifs.
Le Journal du Dimanche
Ce récit terrifiant entretient le malaise jusqu'au dénouement extraordinaire.
Les Fiches du Cinéma
D’une grande maîtrise formelle sans sacrifier les émotions, ce premier film marque l’émergence d’une auteure à suivre.
Voici
Entre drame familial, thriller et film d'horreur, Relic dérange autant qu'il émeut, et vous fera dresser les cheveux sur la tête !
Cahiers du Cinéma
La décrépitude s’assimile à un mal qui s’immiscerait sournoisement dans les murs du logis. L’expérience cauchemardesque des deux visiteuses révèle progressivement, en négatif, le point de vue fuyant de la vieille femme, dont la maison apparait comme une projection mentale.
L'Obs
Bref, du déjà-vu. Sauf que l’horreur made in Australie a toujours quelque chose de plus poisseux et ambigu que sa cousine américaine. Ici, tout se joue dans un gynécée pervers, aux nombreux conflits irrésolus, plein de rancœurs et de névroses. Le sous-texte psychanalytique est plus flippant que le film lui-même.
Le Journal du Geek
Pour un premier film, Natalie Erika James s’en tire correctement sans convaincre tout à fait.
Le Monde
Le film confronte habilement la rhétorique du cinéma d’épouvante à de familières inquiétudes. Natalie Erika James décentre les clichés de l’horreur contemporaine pour fouiller dans la psyché de trois générations de femmes.
Les Echos
Film d'épouvante de facture classique, « Relic » propose surtout une réflexion émouvante sur le vieillissement, la mort et le courage de l'affronter. Terrifiant et bouleversant.
Les Inrockuptibles
S'il n'a pas l'ampleur d'un "Hérédité", "Relic" réserve quelques moments d'angoisse sourde (visions glaçantes de la démence sénile), et propose un regard profondément troublant (et troublé) sur la famille, les non-dits qui la terrassent et les secrets enfouis qui la vicient.
Mad Movies
D'une lenteur uniforme, la narration et le montage finissent par noyer le propos en dépit de quelques très belles idées, dont une scène claustrophobique où les murs se rapprochent peu à peu des personnages et un épilogue assez poétique.
Ouest France
Un film d'horreur qui dissimule une réflexion (un peu démonstrative) sur la vieillesse et l'effacement.
Positif
Tout n’est pas abouti dans ce premier long métrage, certains effets sont répétitifs ou trop appuyés. Mais Natalie Erika James témoigne d’un talent pour faire naître et cultiver l’horreur dont on a hâte de suivre les prochaines démonstrations.
Rolling Stone
Ce sont en effet les non-dits entre ces trois femmes qui offrent une tonalité différente au film, de la grand-mère (Robyn Nevin, inquiétante à souhait) à la petite-fille (Bella Heathcote), avec lesquelles la mère et donc fille aura bien du mal (et du mérite…) à composer, dans une partition dont s’acquitte Emily Mortimer avec force et sa classe naturelle.
Télérama
La vision de cette demeure rongée par la putréfaction, l’exploration angoissante de ses labyrinthes font le lit (glacé) d’un drame dont le final, curieusement, baigne d’une réelle tendresse des images franchement gore.
aVoir-aLire.com
Natalie Erika James inaugure, avec ce premier long métrage, le début d’une carrière qui s’annonce exaltante et palpitante, tant Relic arrive à jongler entre plusieurs tableaux, sans jamais tomber dans le recyclage. Une fabuleuse découverte.
Le Parisien
Une fin incompréhensible finit de plomber ce film qui partait pourtant d'une bonne intention, montrer la déchéance et la solitude qui nous guettent tous à la fin de notre existence.
Première
C’est la limite de Relic qu’on a l’impression d’avoir déjà (beaucoup) vu – nonobstant la comparaison écrasante avec Hérédité d’Ari Aster. Son originalité réside dans son traitement de la vieillesse et de la sénilité dont Natalie Erika James fait une allégorie aussi flippante que touchante jusqu’à un dénouement très réussi.