Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Libération
par Marcos Uzal
Avec un talent très sûr pour un premier long métrage, Blaise Harrison revisite les angoisses de la jeunesse, mais aussi une part de son imaginaire - le romantisme, les récits d’épouvante, le psychédélisme - à l’aune de peurs et de questionnements contemporains : les capacités destructrices de la science et du progrès, la perspective d’une disparition de l’espèce humaine, d’une désintégration du vivant…
La critique complète est disponible sur le site Libération
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Dans cette ambiance lourde et menaçante, profondément triste et inquiète, Les Particules revêt presque les atours d’un Donnie Darko normcore. Un amalgame particulièrement réussi de réel et d’étrange qui laisse le spectateur à ses questions et à ses propres réponses. Une réussite.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Dans une mise en scène où alternent sobriété et fulgurance, Blaise Harrison trouble le spectateur en jouant à la fois de la fiction et d’une approche psychologique réaliste de l’adolescence. Il en émane une poésie à la croisée des chemins, entre rêve et réalité.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Monde
par Murielle Joudet
L’adolescence des Particules est concrète, rugueuse, dépourvue des joliesses habituelles. Elle est aussi furieuse qu’apathique, belle et boutonneuse.
Les Fiches du Cinéma
par Clément Deleschaud
Drôle de film protéiforme, terrassant et badin, que ces "Particules", qui oscille sans cesse entre mouvement fantastique et décélération naturaliste, sans trancher - épousant ainsi avec brio les errances transitoires de ces héros velléitaires, mais résolus à enfin habiter l’Espace.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
Le quotidien d’un groupe de lycéens est émaillé par des phénomènes étranges. Un beau et sombre teen movie, qui signe la naissance d’un cinéaste prometteur.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télérama
par Jacques Morice
Dans ce film en apesanteur, à l’image élégante, l’adolescence est une étrangeté, un univers inquiétant, à la limite du fantastique.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par Daniel Blois
Une proposition de cinéma singulière.
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
Entre des moments réellement gracieux et d’autres à la main un peu plus lourde, Les Particules réussit son expérience à front renversé : trouver l’aisance de sa démarche en remettant ses pas dans l’âge de l’embarras.
Critikat.com
par Olivia Cooper-Hadjian
L’originalité du film réside avant tout dans la tension entre sa matière quasi-documentaire et un mouvement vers le fantastique.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Femme Actuelle
par Sabrina Nadjar
Un premier long métrage présenté à la Quinzaine - un gage d'originalité.
Positif
par Philippe Rouyer
Malgré le charisme de son interprète Thomas Daloz et la poésie des images de Colin Lévêque, le récit est étiré, languissant. N’était les questions de scénario, un talent est bien là, et nous attendons avec curiosité le prochain film de Harrison.
L'Ecran Fantastique
par Cédric Coppola
[...] dans ses meilleurs moments "Les Particules" intrigue, allant jusqu'à nous faire penser au maître Lynch dans sa manière de jouer avec la temporalité et le ressenti. Puis le mystère s'éclaircit et fait apparaître les rouages d'un film radical, qui peine à convaincre sur la longueur.
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Le scénario, théorique et bavard, phagocyte une mise en scène qui n’est qu’un trompe-l’œil et masque mal la vacuité du propos. Seule l’interprétation opaque et taciturne du jeune Thomas Daloz apporte une touche d’anxiété.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Malgré son interprétation sensible, Thomas Daloz (Pierre-André) ne parvient pas à sauver le spectateur d’un ennui tenace.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Dommage que le propos glisse dans l’abstraction. L’ennui s’installe, la faute au scénario fumeux et au rythme languissant.
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Ce film cherche sans succès à nous attirer dans son mystère.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Première
par Thierry Chèze
L’ambition affichée de Blaise Harrison de mêler naturalisme et dérèglement progressif du réel, univers de teen movies et trip psychés à la Ken Russell finit vite écrasée par le poids des références et des symboles.
La critique complète est disponible sur le site Première
Libération
Avec un talent très sûr pour un premier long métrage, Blaise Harrison revisite les angoisses de la jeunesse, mais aussi une part de son imaginaire - le romantisme, les récits d’épouvante, le psychédélisme - à l’aune de peurs et de questionnements contemporains : les capacités destructrices de la science et du progrès, la perspective d’une disparition de l’espèce humaine, d’une désintégration du vivant…
CinemaTeaser
Dans cette ambiance lourde et menaçante, profondément triste et inquiète, Les Particules revêt presque les atours d’un Donnie Darko normcore. Un amalgame particulièrement réussi de réel et d’étrange qui laisse le spectateur à ses questions et à ses propres réponses. Une réussite.
Franceinfo Culture
Dans une mise en scène où alternent sobriété et fulgurance, Blaise Harrison trouble le spectateur en jouant à la fois de la fiction et d’une approche psychologique réaliste de l’adolescence. Il en émane une poésie à la croisée des chemins, entre rêve et réalité.
Le Monde
L’adolescence des Particules est concrète, rugueuse, dépourvue des joliesses habituelles. Elle est aussi furieuse qu’apathique, belle et boutonneuse.
Les Fiches du Cinéma
Drôle de film protéiforme, terrassant et badin, que ces "Particules", qui oscille sans cesse entre mouvement fantastique et décélération naturaliste, sans trancher - épousant ainsi avec brio les errances transitoires de ces héros velléitaires, mais résolus à enfin habiter l’Espace.
Les Inrockuptibles
Le quotidien d’un groupe de lycéens est émaillé par des phénomènes étranges. Un beau et sombre teen movie, qui signe la naissance d’un cinéaste prometteur.
Télérama
Dans ce film en apesanteur, à l’image élégante, l’adolescence est une étrangeté, un univers inquiétant, à la limite du fantastique.
Voici
Une proposition de cinéma singulière.
Cahiers du Cinéma
Entre des moments réellement gracieux et d’autres à la main un peu plus lourde, Les Particules réussit son expérience à front renversé : trouver l’aisance de sa démarche en remettant ses pas dans l’âge de l’embarras.
Critikat.com
L’originalité du film réside avant tout dans la tension entre sa matière quasi-documentaire et un mouvement vers le fantastique.
Femme Actuelle
Un premier long métrage présenté à la Quinzaine - un gage d'originalité.
Positif
Malgré le charisme de son interprète Thomas Daloz et la poésie des images de Colin Lévêque, le récit est étiré, languissant. N’était les questions de scénario, un talent est bien là, et nous attendons avec curiosité le prochain film de Harrison.
L'Ecran Fantastique
[...] dans ses meilleurs moments "Les Particules" intrigue, allant jusqu'à nous faire penser au maître Lynch dans sa manière de jouer avec la temporalité et le ressenti. Puis le mystère s'éclaircit et fait apparaître les rouages d'un film radical, qui peine à convaincre sur la longueur.
L'Obs
Le scénario, théorique et bavard, phagocyte une mise en scène qui n’est qu’un trompe-l’œil et masque mal la vacuité du propos. Seule l’interprétation opaque et taciturne du jeune Thomas Daloz apporte une touche d’anxiété.
La Croix
Malgré son interprétation sensible, Thomas Daloz (Pierre-André) ne parvient pas à sauver le spectateur d’un ennui tenace.
Le Journal du Dimanche
Dommage que le propos glisse dans l’abstraction. L’ennui s’installe, la faute au scénario fumeux et au rythme languissant.
Le Parisien
Ce film cherche sans succès à nous attirer dans son mystère.
Première
L’ambition affichée de Blaise Harrison de mêler naturalisme et dérèglement progressif du réel, univers de teen movies et trip psychés à la Ken Russell finit vite écrasée par le poids des références et des symboles.