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L’amour est-il la clé de la résilience? Ce serait une réponse trop facile. Celle de Christophe Blanc est plus nuancée. Osée, même. Mais le réalisateur semble défendre corps et âme l’idée que l’énergie de la jeunesse peut tout faire quand on entre dans l’âge adulte. Même soulever des montagnes.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
À la croisée du road movie et du film d'apprentissage, "Just Kids" délivre une fable amère et attachante sur la fin de l'innocence quand celle-ci a été précipitée.
[...] un film sensible et convaincant sur le destin d’une fratrie adolescente livrée à elle-même après la mort d’un père idéalisé. Au sein d’un casting impeccable, deux portraits opposés s’affirment avec un sens très juste de l’incarnation [...].
Magnifique, Kacey Mottet-Klein porte le film de bout en bout, et poursuit à 21 ans une carrière sans fausses notes, accompagné ici du prometteur Andrea Maggiulli.
(...) la mise en scène qui saisit la révolte des corps et l’impuissance des gestes de réconfort que par un scénario qui avance parfois à coups d’archétypes. Léger bémol pour un film qui se nourrit sans surenchérir de la rage ravalée de ses héros.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
(...) un récit qui n’aime rien tant que sortir des sentiers battus pour explorer les multiples facettes (attachantes comme irritantes) de cet ado incapable d’accepter l’amour des autres tant il peine à s’aimer lui- même.
La critique complète est disponible sur le site Première
Christophe Blanc cherche dans les images métaphoriques la voie pour parler de façon originale de la jeunesse et la confrontation au deuil sans y parvenir.
Le Figaro
L’amour est-il la clé de la résilience? Ce serait une réponse trop facile. Celle de Christophe Blanc est plus nuancée. Osée, même. Mais le réalisateur semble défendre corps et âme l’idée que l’énergie de la jeunesse peut tout faire quand on entre dans l’âge adulte. Même soulever des montagnes.
Le Parisien
Avec beaucoup de justesse et de tendresse, « Just Kids » met en scène un préadolescent et un jeune homme propulsés brutalement dans le monde adulte.
Marie Claire
À la croisée du road movie et du film d'apprentissage, "Just Kids" délivre une fable amère et attachante sur la fin de l'innocence quand celle-ci a été précipitée.
Positif
[...] un film sensible et convaincant sur le destin d’une fratrie adolescente livrée à elle-même après la mort d’un père idéalisé. Au sein d’un casting impeccable, deux portraits opposés s’affirment avec un sens très juste de l’incarnation [...].
Franceinfo Culture
Magnifique, Kacey Mottet-Klein porte le film de bout en bout, et poursuit à 21 ans une carrière sans fausses notes, accompagné ici du prometteur Andrea Maggiulli.
L'Obs
(...) la mise en scène qui saisit la révolte des corps et l’impuissance des gestes de réconfort que par un scénario qui avance parfois à coups d’archétypes. Léger bémol pour un film qui se nourrit sans surenchérir de la rage ravalée de ses héros.
La Croix
Si dans ses errances, la fratrie perd parfois le spectateur de vue, la tonalité de Just kids sonne terriblement juste.
Première
(...) un récit qui n’aime rien tant que sortir des sentiers battus pour explorer les multiples facettes (attachantes comme irritantes) de cet ado incapable d’accepter l’amour des autres tant il peine à s’aimer lui- même.
Télérama
Le film explore le bouleversement d'une relation fraternelle avec beaucoup de sensibilité.
Le Journal du Dimanche
Un mélo sincère et plutôt bien interprété, mais aussi maladroit par endroits.
Le Monde
Inspiré de l’histoire de son réalisateur, ce film parfois mal maîtrisé offre de jolis moments de grâce.
Les Fiches du Cinéma
Christophe Blanc cherche dans les images métaphoriques la voie pour parler de façon originale de la jeunesse et la confrontation au deuil sans y parvenir.