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    Never Grow Old
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    64 critiques spectateurs

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    videoman29
    videoman29

    247 abonnés 1 833 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 20 juin 2019
    « Never grow old » c'est un pasteur qui se comporte comme un petit dictateur avec sa ligue de tempérance... c'est aussi un vilain trio de hors la loi qui achète le saloon local pour mettre la ville en coupe réglée, c'est un shérif vieux et pas trop courageux, une mère qui prostitue sa fille et un croque-mort qui prétend aimer sa famille mais qui ne crache pas sur l'argent... Et la morale dans tout ça ? Ben y'en a pas, mais alors pas du tout ! Tout comme les gentils d'ailleurs, qui sont totalement absents du casting... les pauvres victimes tombent donc comme des mouches, avec une espèce de fatalité morbide et dans l'indifférence générale. Du coup, cette avalanche de misère et d'injustice nous mène tout droit au bord de la dépression et visionner ce western jusqu'au bout demande un effort quasi surhumain... que j'ai consenti à faire dans le simple but de vous conseiller gentiment, mais fermement, de passer votre chemin. Fuyez !
    William Dardeau
    William Dardeau

    32 abonnés 176 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 13 août 2019
    On ne voit pas bien l'intérêt de ce pseudo western européen lorgnant furieusement vers le Impitoyable du grand Clint. Les baraques en boie, la boue, quelques trognes ne suffisent pas ! Il faut aussi un scénario qui se tient, ce qui est loin d'être le cas. D'ailleurs le réalisateur paresseux se moque du monde, avec de grossières ellipses (personne ne semble se préoccuper de la disparition du muet !). Le spectateur estival est indulgent; alors il regarde quand même, en marmonnant. John Cusak, en méchant plus ou moins mystique, tire son épingle du jeu.
    FaRem
    FaRem

    8 704 abonnés 9 561 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 mars 2019
    Nouveau film, nouveau genre, même ambiance. Cinq ans après "The Canal" un film d'horreur qui était plutôt pas mal et qui valait le coup d’œil pour son côté mystérieux et surtout son ambiance pesante, Ivan Kavanagh est de retour derrière la caméra avec un western très classique, mais pas moins efficace. Ce film suit l'histoire de Patrick Tate, un mari et père de famille, qui gagne sa vie en étant à la fois menuisier et croque-morts. S'il mène une vie paisible dans cette ville dirigée par un homme religieux, les affaires ne marchent pas trop. L'arrivée du terrible Dutch Albert et de sa bande va perturber l'équilibre du coin et lui donner beaucoup de travail... L'histoire n'est pas très originale, il faut le reconnaître et elle est même prévisible et redondante avec cette succession de morts et d'enterrement, mais "Never Grow Old" est western réussi et authentique qui a autre chose à offrir. Comme dans son précédent film, le réalisateur irlandais arrive à créer une ambiance pesante qui nous accompagne lors de chaque scène. On ressent à chaque instant la peur des personnes lorsqu'ils sont au contact de Dutch Albert. Une atmosphère sombre qui colle bien au film qui se déroule soit la nuit soit dans un brouillard épais. Les scènes de nuit sont particulièrement réussies et visuellement très agréables avec comme seule source de lumière le feu. Tout cela permet comme je l'ai dit de compenser les lacunes du scénario au même titre que la performance des acteurs. Emile Hirsch, Déborah François et John Cusack qui sont les trois personnages principaux sortent clairement du lot. J'ai bien aimé Cusack qui ne parle pas beaucoup, mais qui est bien dans son rôle et charismatique. En somme, un bon western à la fois sobre et solide qui est captivant et efficace quand il le faut comme lors de cette dernière partie.
    this is my movies
    this is my movies

    706 abonnés 3 087 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 mars 2020
    Western moderne qui offre donc, comme c'est devenu la règle depuis "La porte du Paradis", une relecture de l'Histoire américaine à travers une histoire de flingues et de sang, sans s'appesantir sur le génocide indien si ce n'est à travers le prêche inaugural du prêcheur du patelin. Ici donc, c'est l'histoire d'un croque-mort/charpentier d'une petite ville qui voit débarquer un chasseur de primes inquiétant, avec son équipe toute aussi inquiétante, et qui vont rouvrir le saloon/bordel du coin, faisant ainsi la fortune de notre héros. Visuellement, c'est magnifique, avec des lumières d'une grande beauté, sans oublier des cadrages impressionnants et un découpage soigné, qui sait faire monter la tension et se montrer abrupt comme il faut pour faire ressentir la violence. Je soulignerai aussi la qualité de la reconstitution, avec des décors et des costumes vraiment soignés. Le casting est dominé par Emile Hirsch qui fait face à John Cusack, qui n'a pas le charisme et la profondeur pour jouer ce rôle de pur salaud, mais il s'en sort honnêtement. A noter aussi la présence de la française Déborah François, dans un rôle intéressant et dont elle s'acquitte avec métier. Quant au film, il reste efficace et pertinent sur son sujet, avec des très belles séquences, mais il se révèle aussi bien classique dans son genre, avec juste ce qu'il faut de perversion pour captiver. Beau, bien rythmé, assez puissant, il mérite un peu mieux que l'indifférence polie qui accompagne sa sortie. D'autres critiques sur thisismymovies.over-blog.com
    Yves G.
    Yves G.

    1 481 abonnés 3 497 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 août 2019
    1849. Patrick Tate (Emile Hirsch), sa femme Audrey (Déborah François) et leurs deux enfants se sont arrêtés sur le chemin de la Californie dans une petite bourgade sous la coupe d’un predicateur anglican. Patrick y est devenu charpentier et croque-mort. Audrey attend un troisième enfant. La famille vivrait en paix si le sinistre Dutch Albert (John Cusack), flanqué de ses deux acolytes, le Sicilien et le Muet, n’avait pas décidé de s’installer en ville et d’y ouvrir un saloon au grand dam du pasteur et du shérif.

    Après son âge d’or dans les années cinquante, le western est entré dans une longue décadence. On a annoncé sa renaissance au début des années quatre-vingt-dix avec "Impitoyable". Mais le genre est aujourd’hui moribond dont les realisations chaque année ne se comptent tout au plus que sur les doigts d’une ou deux mains : l’excellent "Hostiles", l’oubliable "Jane Got a Gun", le surcoté "Les Frères Sister"…

    "Never Grow Old" n’est pas sans rappeler le western de Jacques Audiard : mêmes lumières nocturnes, même âpreté des caractères, même boue sale. Mais son scénario est plus ramassé, qui jamais ne franchit les limites de la petite ville où les destins de Pat Tate et de Dutch Albert s’entrechoquent.

    On comprend mal le sens de cette histoire digne d’une tragédie grecque, si ce n’est peut-être comme l’annonce l’affiche de dénoncer la cupidité. Le pasteur anglican y apparaît au départ comme un fanatique dangereux qui entend imposer sa loi à ses concitoyens. Mais dès que Dutch Albert apparaît, cette figure disparaît – presque – sans combattre, laissant les deux principaux protagonistes seuls face à face. Ils ne le sont pas tout à fait, Déborah François réussissant à trouver sa place entre les deux acteurs masculins.

    "Never Grow Old" n’est sans doute pas un chef-d’œuvre, qui échoue à se hisser à la hauteur de ses ambitions. Mais c’est un film beau et grave dont la date de sortie en plein cœur de l’été, coincée entre "Midsommar" et "Once upon a time"… le condamne à l’invisibilité.
    S5Clem
    S5Clem

    83 abonnés 437 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 13 septembre 2019
    Dans un monde de truands, les meilleurs sont souvent aussi les pires. Une tranche de vie des années mi-1800 d'un petit village d'Amerique où une équipe de chasseurs de primes vient poser bagages et terroriser les habitants. Plutôt crédible dans l'ensemble, le scénario manque juste de densité et de rythme pour être vraiment convaincant. Une morale assez basique autour de la valeur de l'argent. Une fin explosive et attendue. À voir une fois, histoire de.. Et non, ce n'est pas Jack Black ^^
    A v
    A v

    4 abonnés 31 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 avril 2019
    «Never Grow Old», Emile Hirsch joue un entrepreneur de pompes funèbres et charpentier, installé avec sa famille dans une ville du nom de Garlow, situé sur la piste de Californie, comme l'indique une carte de titre. Ce sentier s'étend de l'ouest du Missouri au nord de la Californie. Les environs de cet occidental écrit et réalisé par le cinéaste irlandais Ivan Kavanagh sont sans pitié. La photographie de Piers Mc grail met volontairement l'accent sur le ciel gris et la boue abondent.

    Le personnage de Hirsch, ( Patrick Tate ), est un rouage lent dans les roues à rotation lente de Garlow, nous l'apprenons après un prologue promettant une violence cathartique. Après l'avoir montré présidant un enterrement, le film présente le prédicateur de la ville, feu et soufre, discutant avec ennui, à quel point la ville est mieux maintenant que l'alcool est interdit. Il discute de ce que signifie être en Amérique et de tout ce non-sens que les écrivains contemporains des révisionnistes occidentaux aiment imaginer par des personnages non éclairés du 19 ème siècle qui dribblaient avant que tout le monde ne connaisse mieux. Sauf que tout le monde ne sait pas mieux, c'est le but.

    La paix de la ville est interrompue par l’arrivée du non-hollandais Albert, interprété par John Cusack, entièrement vêtu de noir et qui cache souvent une grande partie de son visage derrière le large bord de son chapeau de cow-boy. Néerlandais n’est pas impressionné par la piété de la ville et rouvre le salon, le transformant rapidement en une maison close. Il commence également à tuer des gens, ce qui augmente les affaires de Patrick. Dans la grande tradition de criminalité jamais réelle, néerlandais s'intéresse à Patrick relativement vertueux. Constatant qu'il est un immigré irlandais, il interroge l'entrepreneur sur la façon dont il se sent aux États-Unis. Cela le gêne-t-il que les Irlandais soient perçus par d'autres couches de la population comme des «sauvages» ? Enfin, il demande: «Vous pensez qu'un homme honnête, comme vous, peut être ami avec un gars comme moi ?

    Audrey ( Deborah François ), la femme de Patrick, sourcille devant une telle alliance, qui est bien sûr vouée à la ruine.

    "Never Grow Old" regorge de clichés, le méchant philosophique de Cusack l’un des plus remarquables. «Parfois, je pense que le monde entier est uni par des mensonges. Mais je ne vais pas vous mentir, Mme Crabtree. Je vais tuer votre mari », a-t-il dit à un moment donné, avant de répéter cette phrase de « Dirty Harry »sur le fait de se nettoyer la tête. Comme Eli Wallach l’a dit dans un autre Western de Sergio Leone, «Quand vous devez tirer, tirez. Ne parlez pas. "
    Caine78
    Caine78

    6 738 abonnés 7 398 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 17 septembre 2019
    Premier film d'Ivan Kavanagh ayant les honneurs d'une sortie en salles, « Never Grow Old » laisse un sentiment mitigé. D'un côté, les westerns sont devenus tellement rares que chaque nouveau titre suscite un minimum de curiosité, le choix d'en faire quelque chose de très réaliste, presque une chronique de l'Ouest au XVIIIème siècle, où l'on travaille à longueur de journée la terre pour tenter de vaguement s'en sortir pouvant égayer l'intérêt. La description est plutôt convaincante, que ce soit dans le rendu visuel ou certains détails (la boue rendue omniprésente par la pluie), comme cette volonté du scénario de renvoyer (plus ou moins) dos à dos fanatisme religieux et violence des hors-la-loi. De l'autre, écrire que nous sommes passionnés par ce que nous voyons serait mentir. Si certaines scènes retiennent l'attention, comme quelques bouffées de fureur, on reste dans une logique assez lente, manquant régulièrement ses scènes nocturnes (hélas nombreuses) tant la photo est alors sombre et quasi-illisible. Côté interprétation, si Emile Hirsch manque un peu de prestance, Déborah François s'en tire avec les honneurs, John Cusack restant toutefois le plus marquant dans un rôle de méchant légèrement ambigu, dont l'étonnant visage scarifié n'est étrangement quasiment jamais exploité par le réalisateur... Bref, une expérience pas inintéressante, pouvant compter sur son registre devenu rare au XXIème siècle pour mériter un semblant d'attention, à défaut d'être réellement convaincant.
    Alexandre Cacheux
    Alexandre Cacheux

    58 abonnés 541 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 11 août 2019
    Le western américain une nouvelle fois revisité et pour le meilleur ! Comment le mal détruit le bien...comment le bien génère le mal… Un scénario implacable, une réalisation originale et nerveuse au service d'acteurs crédibles et possédés.
    Le tout produit un film haletant avec une tension dramatique parfois insupportable.
    Un film vérité sur le coût physique et moral du "rêve américain".
    sebou36
    sebou36

    70 abonnés 381 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 16 septembre 2019
    Voila un très grand film. Trés violent , à l'image d'une société déboussolée dont les sujets ne savent plus à quel extrémiste se vouer. La photographie est superbe, crépusculaire, ce qui amène les critiques pros à comparer le film avec celui d'Eastwood. Il n,y a pas à comparer, ce sont les mêmes écrivaillons qui bavaient il y a peu de temps sur mon réalisateur fétiche en le traitant de facho. L'ambiguité ne fait pas partie des qualités requises par ces gens-là. Car ici, tout est ambigu est c'est tant mieux. personne n'a entièrement tort, ni entièrement raison. La folie des hommes vient de leur incapacité à comprendre l'autre. En France, on se plait à juger , à pré-juger. Alors quand les codes deviennent flous, on se raccroche à une valeur sûre, universellement reconnue pour dénigrer l'autre. Bref, un très beau western
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    693 abonnés 3 019 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 7 décembre 2019
    Que le personnage principal se définisse par sa peur et sa lâcheté devant l’horreur s’avère plutôt intéressant et constitue, en tant que tel, une raison suffisante pour visionner ce western au crépusculaire facile et complaisant dans la violence qu’il montre. Car Never Grow Old se vautre dans un déballage de plans grandiloquents au service d’une intrigue poussive et maladroite : on ne croit guère à cette association d’une bande de tueurs avec un croque-mort, pas plus qu’au cumul d’images pensées comme des hommages aux westerns antérieurs. Tout semble surfait, surchargé, sur-appuyé, à l’instar des séquences dotées d’une tonalité féministe qui martèlent la bassesse des comportements masculins avec une grossièreté telle que le spectateur, de son côté, se demande quelle direction l’œuvre va se résoudre à emprunter. Du sang, des tripes, des armes blanches ou à feu : servez-vous, il y en aura pour tout le monde… Non que John Cusack en grand méchant bouffi ne convainque pas, non que la qualité des décors et des accessoires doive être remise en question, non que la mise en scène ne propose un certain nombre de plans à l’esthétique forte. Ce n’est pas ça. C’est de carence d’âme dont il s’agit, de l’absence d’une vision claire et pertinente d’un genre dont les derniers souffles paraissent ravir les vautours qui s’en repaissent.
    tonton29
    tonton29

    24 abonnés 294 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 août 2019
    Western glauque, sombre, poisseux qui rappelle que les États-Unis sont une jeune Nation construite sur l'espoir à grand coup de violence, que le Self-Made-Man voit d'abord son intérêt personnel avant le bien-être de la communauté et n'hésitera pas à éliminer ce (ceux) qui l'empêche (nt) de progresser vers son but. L'histoire se déroule dans un No Man's Land sur la voie royale de la Californie. Mais au lieu d'être comme la plupart des villes de western une bourgade croulant sous la chaleur d'un soleil implacable comme la justice divine et la poussière emportée par un vent vicieux, c'est la pluie et la boue qui sont les compagnons quotidiens. Chacun se dépatouille au mieux pour survivre avec ses espoirs déçus. Et bien sûr surgit au loin un gang douteux cupide et violent. Tous les ingrédients classiques dans un décor atypique pour une histoire traditionnelle cousue de fil blanc mais ou la tension est palpable et progressivement de plus en plus oppressante. Alors ce n'est pas le meilleur western mais il rappelle fortement ceux de l'Age d'Or en leur rendant hommage de manière très respectueuse sans non plus trop se tourner vers les actuels qui sont plus psychologiques. Certains personnages ou situations auraient mérités plus d'approfondissement mais ça aurait pu nuire à la fluidité de l'histoire. Un bon film
    Pierrot59
    Pierrot59

    11 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 août 2019
    J'ai vraiment beaucoup aimé ce film qui montre de façon très réaliste ce que pouvait être la vie des immigrants à l'époque. La dictature du pasteur sur la petite population de la ville, l'arrivée du méchant et la position du charpentier-croque mort vis à vis de celui-ci, position difficile à tenir entre le fait de mieux gagner sa vie à cause des désordres occasionnés par le "méchant" et la morale défendue en particulier par son épouse.
    Bien entendu on peut voir dans ce "western" une caricature avec les bons et les méchants classiques mais ce film va bien au delà dans une atmosphère sombre et réaliste.
    moket
    moket

    532 abonnés 4 338 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 mars 2020
    Un western sans désert ni grands espaces, juste la pénombre, la boue et le brouillard. Il règne donc une ambiance pesante et mystique, accentuée par le poids de la religion et d'un pasteur extrémiste et l'ombre de John Cusack, excellent truand sans conscience. La brume cache quelques faiblesses dans la réalisation mais globalement c'est un western bien fichu.
    Hotinhere
    Hotinhere

    560 abonnés 4 972 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 mai 2020
    L'arrivée d'étrangers malsains va troubler la tranquillité d'une ville pieuse de Californie. Un western sanglant et prenant, à l'atmosphère crasseuse, porté par une excellente interprétation.
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