Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Si le film manque parfois de tomber dans l'exercice de style, il finit toutefois par se rattraper dans sa dernière partie, absolument virtuose de mise en scène. Une oeuvre de maître.
L’atmosphère, entre bigoterie et saloperie, est à couper au coutelas. L’image est eschatologique. Tous les acteurs sont hallucinés et remarquables. Et c’est ainsi que le vieux western retrouve, par la grâce d’un cinéaste irlandais, une redoutable jeunesse.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Lorsque débarquent les bandits (un John Cusack méconnaissable et sans scrupule entouré de ses acolytes, « le Muet » et « le Sicilien »…), « Never Grow Old » se fait de plus en plus oppressant… Jusqu'à devenir sanglant.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le thème rebattu de la confrontation entre le bien et le mal est abordé sans grande originalité. Mais ce western au réalisme crasseux distille une atmosphère intéressante, et l'interprétation est convaincante.
Comme un éléphant dans un magasin de porcelaine : [...] un mec habillé tout de noir, avec un chapeau trop large et un sourire maléfique vient troubler la belle bâtisse du projet [...]. Le film finit par ployer sous sa volonté de fable, ne parvenant jamais, au fond, à trouver l’équilibre entre ses tentations contraires.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Le soin accordé à la mise en scène et aux décors contraste hélas avec l'intrigue réchauffée et les personnages archétypaux, interprétés par des comédiens inégaux.
Ce western, qui se veut à la fois intimiste, social et moral, lorgne pas mal du côté d’Impitoyable, d’Eastwood, mais s’éparpille beaucoup en survolant, hélas, la plupart de ses thèmes.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Express
Si le film manque parfois de tomber dans l'exercice de style, il finit toutefois par se rattraper dans sa dernière partie, absolument virtuose de mise en scène. Une oeuvre de maître.
L'Obs
L’atmosphère, entre bigoterie et saloperie, est à couper au coutelas. L’image est eschatologique. Tous les acteurs sont hallucinés et remarquables. Et c’est ainsi que le vieux western retrouve, par la grâce d’un cinéaste irlandais, une redoutable jeunesse.
La Voix du Nord
Bonne surprise que ce western sombre et désabusé de l’Irlandais Ivan Kavanagh, tourné entre le Connemara et le Luxembourg.
Le Dauphiné Libéré
Un western qui se veut au plus près de la réalité d’époque, et dont la couleur et la lumière sont à l’image de sa tonalité : sombres.
Le Parisien
Lorsque débarquent les bandits (un John Cusack méconnaissable et sans scrupule entouré de ses acolytes, « le Muet » et « le Sicilien »…), « Never Grow Old » se fait de plus en plus oppressant… Jusqu'à devenir sanglant.
Voici
Efficace et prenant.
Femme Actuelle
A voir pour ce climat envoûtant, et quelques scènes vraiment intenses.
Les Fiches du Cinéma
Un western qui tombe souvent dans le prévisible, mais porté par la belle interprétation des protagonistes.
Positif
C'est une complainte, simple et sobre [...]. Qu'on l'ait déjà entendue ailleurs et autrement n'empêche pas de l'apprécier ici et maintenant.
Télé Loisirs
Le thème rebattu de la confrontation entre le bien et le mal est abordé sans grande originalité. Mais ce western au réalisme crasseux distille une atmosphère intéressante, et l'interprétation est convaincante.
Culturopoing.com
Comme un éléphant dans un magasin de porcelaine : [...] un mec habillé tout de noir, avec un chapeau trop large et un sourire maléfique vient troubler la belle bâtisse du projet [...]. Le film finit par ployer sous sa volonté de fable, ne parvenant jamais, au fond, à trouver l’équilibre entre ses tentations contraires.
Le Journal du Dimanche
Le soin accordé à la mise en scène et aux décors contraste hélas avec l'intrigue réchauffée et les personnages archétypaux, interprétés par des comédiens inégaux.
Le Monde
Multipliant les références respectables (Altman, Eastwood), Never Grow Old n’approche que de très loin ses modèles.
Libération
Le film n’a aucun intérêt sauf John Cusack.
Ouest France
Le cinéaste pense signer un western crépusculaire, mais se contente de réaliser un tunnel de violence, d'un ennui... mortel.
Télérama
Ce western, qui se veut à la fois intimiste, social et moral, lorgne pas mal du côté d’Impitoyable, d’Eastwood, mais s’éparpille beaucoup en survolant, hélas, la plupart de ses thèmes.