Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
L'Humanité
par Sarah Sid Larbi
Après Béliers, où deux frères tentaient de sauver leurs moutons, Grimur Hakonarson continue de nous faire voyager dans ce monde paysan islandais, isolé, rude. Vallées enclavées, paysages magiques sculptés par un climat rigoureux…
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Les Fiches du Cinéma
par Venceslas Fouineteau
Mjólk met en exergue les difficultés des habitants de l'Islande rurale en délivrant, au passage, une critique des dérives du modèle capitaliste, dans une œuvre portée par un personnage principal qui est, bel et bien, une femme en guerre.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Eithne O'Neill
"Mjólk" est une jolie fable qui mélange guerre et paix, espoir et gravité. À voir.
Cahiers du Cinéma
par Nicolas Azalbert
Grímur Hákonarson continue d’ausculter les transformations de la campagne islandaise et la manière dont le néolibéralisme affecte la culture traditionnelle d’un pays replié sur lui-même comme l’Islande.
L'Obs
par François Forestier
C’est beau à regarder, un peu glacé et, pour ceux qui s’intéressent à la ruralité, certainement pertinent. Un petit supplément d’émotion n’aurait pas fait de mal…
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Un beau portrait de femme forte et un récit d'émancipation plein d'espoir.
Ouest France
par La Rédaction
Sympathique à défaut d'être original.
Voici
par La Rédaction
Pas mal du tout.
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Après le formidable Béliers, Grímur Hákonarson revient avec une histoire tirée de faits réels, mais sans retrouver l’inspiration de son premier film.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par La Rédaction
Mjolk raconte la lutte d’Inga, seule à la tête d’une exploitation laitière à la mort de son mari, contre les abus et le monopole de la coopérative locale. Mais le cinéaste islandais a oublié son humour au vestiaire. Un combat trop manichéen pour émouvoir.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Thomas Sotinel
Mjolk décrit par le menu la dégénérescence d’un rêve collectif devenu monopole, sans s’élever au-dessus des péripéties du récit.
Première
par Thierry Chèze
Hákonarson ne démérite pas mais ne parvient jamais à imprimer une réelle singularité dans un récit aux rebondissements trop téléphonés pour susciter la surprise.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Frédéric Strauss
Tout en s’aventurant sur les terres sociales de Ken Loach, le réalisateur ne semble pas prendre au sérieux cette guerre. Il s’en sort avec un hymne joliment envoyé, mais bien vite expédié, à la liberté des femmes.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Ce que le film feint d'exhiber comme une forme austère et rigoureuse se révèle au fil des minutes un grimage pour dissimuler une mise en scène terriblement inanimée et un récit construit à partir de mécanismes, comme tout droit recopiés d'un manuel de scénario.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
L'Humanité
Après Béliers, où deux frères tentaient de sauver leurs moutons, Grimur Hakonarson continue de nous faire voyager dans ce monde paysan islandais, isolé, rude. Vallées enclavées, paysages magiques sculptés par un climat rigoureux…
Les Fiches du Cinéma
Mjólk met en exergue les difficultés des habitants de l'Islande rurale en délivrant, au passage, une critique des dérives du modèle capitaliste, dans une œuvre portée par un personnage principal qui est, bel et bien, une femme en guerre.
Positif
"Mjólk" est une jolie fable qui mélange guerre et paix, espoir et gravité. À voir.
Cahiers du Cinéma
Grímur Hákonarson continue d’ausculter les transformations de la campagne islandaise et la manière dont le néolibéralisme affecte la culture traditionnelle d’un pays replié sur lui-même comme l’Islande.
L'Obs
C’est beau à regarder, un peu glacé et, pour ceux qui s’intéressent à la ruralité, certainement pertinent. Un petit supplément d’émotion n’aurait pas fait de mal…
Le Journal du Dimanche
Un beau portrait de femme forte et un récit d'émancipation plein d'espoir.
Ouest France
Sympathique à défaut d'être original.
Voici
Pas mal du tout.
La Croix
Après le formidable Béliers, Grímur Hákonarson revient avec une histoire tirée de faits réels, mais sans retrouver l’inspiration de son premier film.
Le Figaro
Mjolk raconte la lutte d’Inga, seule à la tête d’une exploitation laitière à la mort de son mari, contre les abus et le monopole de la coopérative locale. Mais le cinéaste islandais a oublié son humour au vestiaire. Un combat trop manichéen pour émouvoir.
Le Monde
Mjolk décrit par le menu la dégénérescence d’un rêve collectif devenu monopole, sans s’élever au-dessus des péripéties du récit.
Première
Hákonarson ne démérite pas mais ne parvient jamais à imprimer une réelle singularité dans un récit aux rebondissements trop téléphonés pour susciter la surprise.
Télérama
Tout en s’aventurant sur les terres sociales de Ken Loach, le réalisateur ne semble pas prendre au sérieux cette guerre. Il s’en sort avec un hymne joliment envoyé, mais bien vite expédié, à la liberté des femmes.
Les Inrockuptibles
Ce que le film feint d'exhiber comme une forme austère et rigoureuse se révèle au fil des minutes un grimage pour dissimuler une mise en scène terriblement inanimée et un récit construit à partir de mécanismes, comme tout droit recopiés d'un manuel de scénario.