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POUR : Un huis clos ultra-stylisé, parisien et baroque qui dissèque avec délectation les tourments de la perversité narcissique et de l’amour. Addictif et délicieusement sadien.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Après avoir rendu hommage à Demy et Varda, le couple Ducastel-Martineau aborde le surréalisme bunuélien. Pas sûr que ce soit leur meilleur port d’attache, la construction du scénario demeurant trop théorique. Mais le film gagne en nuance et complexité grâce à la mise en scène et au charisme, crépusculaire et solaire, des comédiens.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Certains reprocheront la non-action du film, son unité de lieu et de temps, mais c’est sa beauté fragile de nous plonger, avec une élégante délicatesse, au cœur de l’émotion de chacun des protagonistes, de les laisser explorer leur propre douleur.
Fausse pièce de théâtre, Haut perchés travaille le pastiche. Le film n’est pas sans rappeler l’art vidéo de Pierrick Sorin à la charnière des années 2000 : un univers ludique, peuplé de minuscules silhouettes que le magicien de l’image animait derrière ses plaques de verre.
Ce huis clos à l’esthétique recherchée, dans lequel un manipulateur pervers enferme ses victimes, sait établir efficacement les relations entre ses personnages. Cependant, son rythme monotone pourra lasser le spectateur insensible à la profusion de dialogues.
Si peu inspiré soit-il, bavard, méchamment mièvre, en son retour morne aux grandes heures du théâtre filmé, "Haut perchés" d’Olivier Ducastel et Jacques Martineau appuie au moins là où ça fait mal, à sa manière - rose, bizarre, irrespirable - il filme la jeunesse qui n’a rien à dire d’elle-même, vite vieillie, transparente, traumatisée par le néant d’amour quotidien [...].
La critique complète est disponible sur le site Libération
La tension se dissout parfois dans un exercice de style artificiel. Mais le film séduit par sa façon juvénile de jouer avec le feu en gardant une touche ludique.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Si au petit matin, les personnages clament de manière emphatique s’être libérés de l’emprise de leur mentor, le spectateur a plutôt eu l’impression d’avoir patienté dans un bocal fluo, attendant en vain que pointe la fiction derrière le pitch conceptuel.
L'image est superbe, les acteurs parfaits, mais le dispositif du film, un peu artificiel, inutilement pesant, empêche le spectateur d'entrer vraiment dans ces récits. Dommage.
CONTRE : Les réalisateurs n’évitent ni les lieux communs, ni le cynisme gratuit, ni les redondances dans une histoire qui peine s’installer sur la durée. Le film n’en demeure pas moins singulier et ambitieux.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Closer
Une comédie dramatique qui, comme le promet son titre, vous fera forcément décoller.
aVoir-aLire.com
POUR : Un huis clos ultra-stylisé, parisien et baroque qui dissèque avec délectation les tourments de la perversité narcissique et de l’amour. Addictif et délicieusement sadien.
L'Obs
Après avoir rendu hommage à Demy et Varda, le couple Ducastel-Martineau aborde le surréalisme bunuélien. Pas sûr que ce soit leur meilleur port d’attache, la construction du scénario demeurant trop théorique. Mais le film gagne en nuance et complexité grâce à la mise en scène et au charisme, crépusculaire et solaire, des comédiens.
La Septième Obsession
Certains reprocheront la non-action du film, son unité de lieu et de temps, mais c’est sa beauté fragile de nous plonger, avec une élégante délicatesse, au cœur de l’émotion de chacun des protagonistes, de les laisser explorer leur propre douleur.
Le Monde
Fausse pièce de théâtre, Haut perchés travaille le pastiche. Le film n’est pas sans rappeler l’art vidéo de Pierrick Sorin à la charnière des années 2000 : un univers ludique, peuplé de minuscules silhouettes que le magicien de l’image animait derrière ses plaques de verre.
Les Fiches du Cinéma
Ce huis clos à l’esthétique recherchée, dans lequel un manipulateur pervers enferme ses victimes, sait établir efficacement les relations entre ses personnages. Cependant, son rythme monotone pourra lasser le spectateur insensible à la profusion de dialogues.
Libération
Si peu inspiré soit-il, bavard, méchamment mièvre, en son retour morne aux grandes heures du théâtre filmé, "Haut perchés" d’Olivier Ducastel et Jacques Martineau appuie au moins là où ça fait mal, à sa manière - rose, bizarre, irrespirable - il filme la jeunesse qui n’a rien à dire d’elle-même, vite vieillie, transparente, traumatisée par le néant d’amour quotidien [...].
Télérama
La tension se dissout parfois dans un exercice de style artificiel. Mais le film séduit par sa façon juvénile de jouer avec le feu en gardant une touche ludique.
Cahiers du Cinéma
Si au petit matin, les personnages clament de manière emphatique s’être libérés de l’emprise de leur mentor, le spectateur a plutôt eu l’impression d’avoir patienté dans un bocal fluo, attendant en vain que pointe la fiction derrière le pitch conceptuel.
Le Journal du Dimanche
Si ce huis clos théâtral instaure d’emblée une réelle atmosphère, "Haut perchés" peine à tenir sur la longueur.
Les Inrockuptibles
L'image est superbe, les acteurs parfaits, mais le dispositif du film, un peu artificiel, inutilement pesant, empêche le spectateur d'entrer vraiment dans ces récits. Dommage.
Positif
[...] un huis clos banal et bavard qui sent l’artifice.
aVoir-aLire.com
CONTRE : Les réalisateurs n’évitent ni les lieux communs, ni le cynisme gratuit, ni les redondances dans une histoire qui peine s’installer sur la durée. Le film n’en demeure pas moins singulier et ambitieux.
Première
Au final, le spectateur se sent comme prisonnier, lui aussi, de cet exercice scolaire qui ne suscite pas plus d’émotion que de romanesque.