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defleppard
Des faits historiques certes, mais un léger ennui survient au bout de vingt minutes, à recommander surtout à ceux qui sont intéressés par le sujet, deux étoiles et demie.
Une adaptation intéressante, de très belles scènes dont celle où Yveton fait traverser les rues à Hélène en pleine nuit pour lui faire « goûter » Alger. Les acteurs principaux sont vraiment impressionnants. Je trouve cependant dommage ces allers et retours dans le temps, ce grand nombre de scènes qui m’ont un peu perdue et éloignée du film, de son récit. Je regrette que tous les personnages du livres ne soient pas dans le film et je pense bien sûr à Jacqueline Guerroudj si marquante et importante dans le livre d’Andras, comme dans la vie d’Yveton.
J’ai passé malgré tout un bon moment de cinéma et d’Histoire.
J’ai passé malgré tout un bon moment de cinéma et d’Histoire.
Hélier Cisterne arrive à trouver un réel équilibre entre récit historique et efforts faits pour susciter chez le public de l’intérêt : Il n’est ici pas question d’un film qui confine ses acteurs/actrices, par le biais de son écriture, à des rôles d’allégories, nous sommes en train de regarder un long-métrage qui a compris que pour que nous puissions y entrer, il faut y inclure un véritable degré d’humanité, il faut que nous ressentions de l’empathie pour les personnages pour pouvoir suivre cette histoire, car c’est ce que nous venons chercher en salles.
En nous accordant cela, le long-métrage a compris l’essentiel : Pour entrer dans une histoire et en embrasser la large perspective, il faut pouvoir, au minima, la comprendre, et lorsque je vois De Nos Frères Blessés, je comprends.
Je comprends le film, je comprends ses enjeux qui me dépassent mais ne me noient pas, en tant que spectateur je m’attache au couple de personnages principaux, je suis touché par les évènements qui se produisent et qui les impactent directement, et si je vous parle de ce film, c’est parce que je pense qu’un long-métrage traitant d’un chapitre sombre de l’histoire de la France et de l’Histoire de façon globale, doit être vu, ayant valeur de source d’information.
Si le cinéma est avant tout une question de regard, Hélier Cisterne, ici, cherche à nous informer, à nous éclairer, ce que j’applaudis !
J’ai été happé par le long-métrage : Nous tremblons avec les personnages à chacune des étapes auxquelles ils sont confrontés.
Lorsqu’ils se retrouvent au milieu d’une crise intense et que, les suivant de près, nous sommes nous-mêmes témoins des événements, nous saisissons les enjeux de ce qui se déroule, et nous ne pouvons que nous sentir concernés, ce qui est le but recherché par le film :
Nous interpeller, que nous connaissions bien ou non ce chapitre historique, en suscitant chez nous de vives émotions !
Instagram: @passion.culture
En nous accordant cela, le long-métrage a compris l’essentiel : Pour entrer dans une histoire et en embrasser la large perspective, il faut pouvoir, au minima, la comprendre, et lorsque je vois De Nos Frères Blessés, je comprends.
Je comprends le film, je comprends ses enjeux qui me dépassent mais ne me noient pas, en tant que spectateur je m’attache au couple de personnages principaux, je suis touché par les évènements qui se produisent et qui les impactent directement, et si je vous parle de ce film, c’est parce que je pense qu’un long-métrage traitant d’un chapitre sombre de l’histoire de la France et de l’Histoire de façon globale, doit être vu, ayant valeur de source d’information.
Si le cinéma est avant tout une question de regard, Hélier Cisterne, ici, cherche à nous informer, à nous éclairer, ce que j’applaudis !
J’ai été happé par le long-métrage : Nous tremblons avec les personnages à chacune des étapes auxquelles ils sont confrontés.
Lorsqu’ils se retrouvent au milieu d’une crise intense et que, les suivant de près, nous sommes nous-mêmes témoins des événements, nous saisissons les enjeux de ce qui se déroule, et nous ne pouvons que nous sentir concernés, ce qui est le but recherché par le film :
Nous interpeller, que nous connaissions bien ou non ce chapitre historique, en suscitant chez nous de vives émotions !
Instagram: @passion.culture
Qui se souvient des harkis massacrés par centaine de milliers ? De ces milliers de pieds noirs enlevés et jamais retrouvé au destin si funeste ? De ces enfants décapités parce qu'europeens ... de ces soldats pieds noirs venus défendre leur France en 40 et en 44, de ces petits commerçants, ces ouvriers, ces pêcheurs, des petites gens qui n'ont eu que le tort de naître du mauvais côté de la méditerranée et qui furent ensuite jetés en pâture à l'histoire ... et tout ce que l'on retient de ces innombrables drames et souffrances c'est ce traître, sans âme et sans honneur ... à l'image l'image de la société actuelle ... hélas
Sobre, efficace, engagé, un film militant impeccablement joué et mis en scène. Comment les français ont-ils pu, Mitterrand compris, se tromper à ce point ? Le film est réalisé sans exagération, sans voyeurisme et cette simplicité donne aux personnages toute leur humanité. Suis allé au café après la séance partager un verre avec Hugo, Sartre et Camus qui auraient aimé co-produire le film, participer à l'écriture du scénario, et bien sûr assister à la projection!
Adaptée d'un livre, l'histoire vraie de Fernand Iveton est portée par deux grands acteurs (Vincent Lacoste et Vicky Krieps), mais aussi par une mise en scène qui installe en montage parallèle l'histoire d'amour du couple et l'affaire. Loin de fatiguer, ces play-backs dynamisent l'intrigue, qui n'oublie pas d'épingler le rôle peu reluisant de François Mitterrand dans l'histoire.
Le sujet est passionnant, mais la réalisation n'est pas à la hauteur pour moi. l'histoire est tragique, poignante, mais je n'ai jamais été ému par le film. Trop d'allers et retours entre le passé et le présent m'ont empêché de me laisser prendre par l'histoire. De plus j'ai trouvé la bande son vraiment mauvaise, entre les moments de paroles chuchotées et les moments de musique trop fortes.
Film bouleversant. Ce n'est peut être pas un cfef d'oeuvre cinématographique, mais il permet, comme le livre, de faire connaître cette histoire. Pour éviter de juger trop vite et de façon péremptoire ce qui se passe ailleurs.
Merci à Andras et à Cisterne
Merci à Andras et à Cisterne
Film qui vaut pour son histoire d'amour et ses acteurs principaux. On voit peu Alger et au final on parle peu de la guerre d'Algérie. C'est l'histoire d'un choix, d'une action et d'un procès inique dans le contexte d'un amour fou pour un homme qui aime un ami qui a fait un choix fou, un pays et ses hommes.
Fernand IVETON travaillait à l'E.G.A. (électricité-Gaz d'Algérie) et il appartenait au Parti communiste Algérien, en dissidence avec le Parti Communiste Français qui, lui, était légaliste et condamnait les attentats du F.L.N. Juste ce rappel pour situer le contexte de 1956 et comprendre que le complice des fellagahs - le pauvre Fernand - condamné à mort, n'a pas été gracié par le président de la République René COTY, sur avis défavorable du Garde des Sceaux de l'époque. Point ! Fermez le ban !
Il fut le seul européen guillotiné. Et, sur le site Facebook de TELERAMA, tous les commentaires - je dis bien tous ! - sont le fait d'Algériens qui encensent "ce juste" et traitent Mitterrand de fascho.
Voilà du cinéma hémiplégique ! On oublie bien sûr, la même année, le 17 mai 1956, dans les Gorges de Palestro, le massacre d'une section de jeunes appelés par les felllaghas avec mutilations, yeux crevés et émasculations.
Le sort malheureux du pauvre Fernand YVETON, dans de telles conditions (en 1956) ne me fait ni chaud ni froid...
Il fut le seul européen guillotiné. Et, sur le site Facebook de TELERAMA, tous les commentaires - je dis bien tous ! - sont le fait d'Algériens qui encensent "ce juste" et traitent Mitterrand de fascho.
Voilà du cinéma hémiplégique ! On oublie bien sûr, la même année, le 17 mai 1956, dans les Gorges de Palestro, le massacre d'une section de jeunes appelés par les felllaghas avec mutilations, yeux crevés et émasculations.
Le sort malheureux du pauvre Fernand YVETON, dans de telles conditions (en 1956) ne me fait ni chaud ni froid...
In memoriam,
Le film n'a pas grand intérêt sinon de rappeler que des communistes européens ont lutté pour l'indépendance de l'Algérie. Il est assez bien joué mais n'émeut pas vraiment. Il reste trop imprécis au plan historique sur, notamment, les relations "sociales" entre ouvriers algériens et pied-noirs, les débats au sein du PCF, en France et localement au sein du PCA, ses relations avec le FLN...
Heureusement, de belles images d’Alger.
Tours CinéStudio 24 mars 2022
Le film n'a pas grand intérêt sinon de rappeler que des communistes européens ont lutté pour l'indépendance de l'Algérie. Il est assez bien joué mais n'émeut pas vraiment. Il reste trop imprécis au plan historique sur, notamment, les relations "sociales" entre ouvriers algériens et pied-noirs, les débats au sein du PCF, en France et localement au sein du PCA, ses relations avec le FLN...
Heureusement, de belles images d’Alger.
Tours CinéStudio 24 mars 2022
1954, Alger, Fernand est un militant communiste qui se bat pour l’indépendance de l’Algérie. Ce jeune homme va rencontrer Hélène dont il va tomber amoureux. Une histoire teintée de drames face aux atrocités dont la France se rend alors coupable. Une histoire dure si importante à raconter et portée par de très bons comédiens.
Sur la base d'une histoire vraie : celle d'un homme français en Algérie, torturé et condamné à mort par des français avec la complicité du pouvoir politique. Le film jette un éclairage inédit sur cette période sombre qui distille encore des rancœurs. Une belle histoire d'amour pour tempérer un peu la lourdeur du fond. Un cinéaste engagé et des acteurs impliqués.
Ce n'est pas un film indispensable mais on peut se laisser tenter.
Ce n'est pas un film indispensable mais on peut se laisser tenter.
Film pas mal qui relate un épisode de l'histoire au moment de la guerre d'Algérie et la détermination de certains à lutter pour garder leur pays. Vincent Lacoste et Vicky Krisp jouent très bien.
Un film nécessaire inspiré de l'histoire vraie de Fernand Iveton, histoire malheureusement trop méconnue en France.
Le contraste entre la douceur d'une histoire d'amour, sublimement interprétée par les deux acteurs, et la violence d'un système injuste, est saisissant. Merci d'avoir mis en valeur d'une façon si touchante le combat de Fernand Iveton.
Le contraste entre la douceur d'une histoire d'amour, sublimement interprétée par les deux acteurs, et la violence d'un système injuste, est saisissant. Merci d'avoir mis en valeur d'une façon si touchante le combat de Fernand Iveton.
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