Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
26 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Récemment césarisé pour « Illusions perdues », Vincent Lacoste trouve un nouveau rôle passionnant.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Bande à part
par Benoit Basirico
Hélier Cisterne confirme, après Vandal, sa capacité à scruter les âmes, leurs passions dévorantes et leurs zones d'ombre dans ce nouveau film profondément romantique.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
CNews
par La rédaction
Fort, pertinent et nécessaire.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Joseph Andras en a ranimé la mémoire oubliée comme le fait Hélier Cisterne qui adapte le livre, avec Vincent Lacoste pour incarner avec une maturité étonnante le destin tragique de ce combattant considéré comme un héros en Algérie, un moudjahid, et avec Vicky Krieps pour jouer avec conviction sa femme Hélène.
L'Humanité
par Michaël Mélinard
Après Vandal, Hélier Cisterne signe une libre adaptation du roman de Joseph Andras. Il redonne magnifiquement corps à l’ouvrier Fernand Iveton, engagé dans la lutte anticoloniale, et à son épouse Hélène.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par François Forestier
Le film, passionnant, est porté par une conviction d’airain, un acteur formidable (Vincent Lacoste) et un désir total de s’élever contre l’indignité de l’Etat. On sort de là brûlé par la mort d’Iveton et la honte d’une justice asservie.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Ce film de mémoire fait sienne la réhabilitation de Fernand Iveton et porte clairement la condamnation de l’arbitraire du jugement expéditif qui l’a conduit à la guillotine.
Le Parisien
par La Rédaction
Pour incarner les deux amoureux, le duo Vincent Lacoste et Vicky Krieps fonctionne à merveille.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Florent Boutet
Au cœur des années de “braise” de la guerre d’Algérie, Hélier Cisterne adapte Andras en s’intéressant au sort de Fernand Iveton. Une charge anti-colonialiste magnifiée par le duo Lacoste/Krieps, qui donne vie à un couple simple épris de liberté et de justice.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Sandra Onana
La mémoire de l’histoire comme impératif ne donne pas toujours de bons films. La force d’expression de celui-ci, défendable, vient de ce que son auteur ne se repose pas derrière une caméra explicative et une baguette d’instit.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Olivier De Bruyn
Malgré ses maladresses formelles, le film d’Hélier Cisterne retient l’attention grâce à son scénario passionnant historiquement, à sa sensibilité pudique et à la conviction de ses deux acteurs principaux : Vincent Lacoste et Vicky Krieps.
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
À découvrir absolument.
Télérama
par Jacques Morice
Avec sa sobriété, sa pudeur, De nos frères blessés est poignant, tant l’injustice racontée est criante. Et en plus de faire connaître cette affaire, le flm révèle le rôle de François Mitterrand, garde des Sceaux de l’époque, qui signa l’arrêt de mort de Fernand Iveton.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Ce film brillant et courageux, qui dénonce avec force la honte française dans l’Algérie des années 50, est porté par deux comédiens de haute voltige.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
En privilégiant un point de vue extérieur sur le destin de Fernand Iveton, Hélier Cisterne offre plutôt qu’une thèse, la possibilité aux spectateurs de se faire une opinion. Le combat de Fernand Iveton est-il juste ? Ses actes sont-ils justifiés ? Le procès est-il équitable ?
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
La Voix du Nord
par Catherine Painset
Un film instructif à la réalisation hélas trop convenue et encombrée par les flashback.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Figaro
par Olivier Delcroix
La caméra d'Hélier Cisterne accompagne le drame avec pudeur et précision.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
Ce film de facture assez classique parvient assez également et subtilement à faire coexister le trouble d’une époque et la naissance d’un amour.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Sud Ouest
par Sophie Avon
Destin tragique et beau film du jeune réalisateur Hélier Cisterne.
Cahiers du Cinéma
par Jean-Marie Samocki
Hélier Cisterne se révèle incapable de susciter d’autres sentiments qu’une pitié éplorée. L’alternance systématique entre le présent du jugement et le passé d’une vie insouciante et amoureuse condamne la mise en scène à des oppositions prévisibles : obscurité versus lumière, chair tuméfiée versus érotisme.
Critikat.com
par Bastien Gens
Le parallèle évident avec L'Étranger de Camus apparaît malheureusement trop vite comme un simple paravent pour masquer la tentation hagiographique à laquelle le film finit par céder.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Croix
par Céline Rouden
Évocation d’un épisode méconnu de « la bataille d’Alger » – la condamnation à mort du militant communiste et indépendantiste Fernand Iveton –, ce film peine à restituer toute la violence politique de l’époque malgré l’interprétation sensible de Vincent Lacoste et de Vicky Krieps.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Mathieu Macheret
Tiraillé entre le passé ensoleillé du couple et le présent sombre du procès, le film prend un tour didactique, figeant les personnages dans des destinées monolithiques de héros et de martyrs.
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Adapté d'un roman de Joseph Andras, lui-même tiré d'une histoire vraie, « De nos frères blessés » est aussi intéressant par son contenu que maladroit par sa forme. Il reste un film instructif sur une justice dévoyée, employée par l'Etat comme moyen de terreur.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Première
par Thierry Chèze
Mais le scénario ne parvient jamais à trouver son équilibre entre les deux personnages et crée de la frustration en restant chez l’un comme chez l’autre à la surface des choses, malgré ses deux épatants interprètes, Vincent Lacoste et Vicky Krieps.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Dommage que la mise en scène, classique et maladroite, manque d’ampleur et ne rende pas hommage à son sujet.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
20 Minutes
Récemment césarisé pour « Illusions perdues », Vincent Lacoste trouve un nouveau rôle passionnant.
Bande à part
Hélier Cisterne confirme, après Vandal, sa capacité à scruter les âmes, leurs passions dévorantes et leurs zones d'ombre dans ce nouveau film profondément romantique.
CNews
Fort, pertinent et nécessaire.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Joseph Andras en a ranimé la mémoire oubliée comme le fait Hélier Cisterne qui adapte le livre, avec Vincent Lacoste pour incarner avec une maturité étonnante le destin tragique de ce combattant considéré comme un héros en Algérie, un moudjahid, et avec Vicky Krieps pour jouer avec conviction sa femme Hélène.
L'Humanité
Après Vandal, Hélier Cisterne signe une libre adaptation du roman de Joseph Andras. Il redonne magnifiquement corps à l’ouvrier Fernand Iveton, engagé dans la lutte anticoloniale, et à son épouse Hélène.
L'Obs
Le film, passionnant, est porté par une conviction d’airain, un acteur formidable (Vincent Lacoste) et un désir total de s’élever contre l’indignité de l’Etat. On sort de là brûlé par la mort d’Iveton et la honte d’une justice asservie.
Le Dauphiné Libéré
Ce film de mémoire fait sienne la réhabilitation de Fernand Iveton et porte clairement la condamnation de l’arbitraire du jugement expéditif qui l’a conduit à la guillotine.
Le Parisien
Pour incarner les deux amoureux, le duo Vincent Lacoste et Vicky Krieps fonctionne à merveille.
Les Fiches du Cinéma
Au cœur des années de “braise” de la guerre d’Algérie, Hélier Cisterne adapte Andras en s’intéressant au sort de Fernand Iveton. Une charge anti-colonialiste magnifiée par le duo Lacoste/Krieps, qui donne vie à un couple simple épris de liberté et de justice.
Libération
La mémoire de l’histoire comme impératif ne donne pas toujours de bons films. La force d’expression de celui-ci, défendable, vient de ce que son auteur ne se repose pas derrière une caméra explicative et une baguette d’instit.
Positif
Malgré ses maladresses formelles, le film d’Hélier Cisterne retient l’attention grâce à son scénario passionnant historiquement, à sa sensibilité pudique et à la conviction de ses deux acteurs principaux : Vincent Lacoste et Vicky Krieps.
Télé 7 Jours
À découvrir absolument.
Télérama
Avec sa sobriété, sa pudeur, De nos frères blessés est poignant, tant l’injustice racontée est criante. Et en plus de faire connaître cette affaire, le flm révèle le rôle de François Mitterrand, garde des Sceaux de l’époque, qui signa l’arrêt de mort de Fernand Iveton.
aVoir-aLire.com
Ce film brillant et courageux, qui dénonce avec force la honte française dans l’Algérie des années 50, est porté par deux comédiens de haute voltige.
Franceinfo Culture
En privilégiant un point de vue extérieur sur le destin de Fernand Iveton, Hélier Cisterne offre plutôt qu’une thèse, la possibilité aux spectateurs de se faire une opinion. Le combat de Fernand Iveton est-il juste ? Ses actes sont-ils justifiés ? Le procès est-il équitable ?
La Voix du Nord
Un film instructif à la réalisation hélas trop convenue et encombrée par les flashback.
Le Figaro
La caméra d'Hélier Cisterne accompagne le drame avec pudeur et précision.
Les Inrockuptibles
Ce film de facture assez classique parvient assez également et subtilement à faire coexister le trouble d’une époque et la naissance d’un amour.
Sud Ouest
Destin tragique et beau film du jeune réalisateur Hélier Cisterne.
Cahiers du Cinéma
Hélier Cisterne se révèle incapable de susciter d’autres sentiments qu’une pitié éplorée. L’alternance systématique entre le présent du jugement et le passé d’une vie insouciante et amoureuse condamne la mise en scène à des oppositions prévisibles : obscurité versus lumière, chair tuméfiée versus érotisme.
Critikat.com
Le parallèle évident avec L'Étranger de Camus apparaît malheureusement trop vite comme un simple paravent pour masquer la tentation hagiographique à laquelle le film finit par céder.
La Croix
Évocation d’un épisode méconnu de « la bataille d’Alger » – la condamnation à mort du militant communiste et indépendantiste Fernand Iveton –, ce film peine à restituer toute la violence politique de l’époque malgré l’interprétation sensible de Vincent Lacoste et de Vicky Krieps.
Le Monde
Tiraillé entre le passé ensoleillé du couple et le présent sombre du procès, le film prend un tour didactique, figeant les personnages dans des destinées monolithiques de héros et de martyrs.
Les Echos
Adapté d'un roman de Joseph Andras, lui-même tiré d'une histoire vraie, « De nos frères blessés » est aussi intéressant par son contenu que maladroit par sa forme. Il reste un film instructif sur une justice dévoyée, employée par l'Etat comme moyen de terreur.
Première
Mais le scénario ne parvient jamais à trouver son équilibre entre les deux personnages et crée de la frustration en restant chez l’un comme chez l’autre à la surface des choses, malgré ses deux épatants interprètes, Vincent Lacoste et Vicky Krieps.
Le Journal du Dimanche
Dommage que la mise en scène, classique et maladroite, manque d’ampleur et ne rende pas hommage à son sujet.