AlloCiné
Mon compte
Note moyenne
3,6
25 titres de presse
-
Femme Actuelle
-
Marianne
-
20 Minutes
-
CNews
-
Franceinfo Culture
-
L'Express
-
La Voix du Nord
-
Le Dauphiné Libéré
-
Le Figaro
-
Le Parisien
-
Le Point
-
Ouest France
-
Sud Ouest
-
Télé 7 Jours
-
Télé Loisirs
-
Télérama
-
Bande à part
-
Le Journal du Dimanche
-
Positif
-
Première
-
Voici
-
aVoir-aLire.com
-
L'Obs
-
La Croix
-
Le Monde
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
- Meilleurs films
- Meilleurs films selon la presse
Femme Actuelle
On a rarement filmé le monde agricole avec tant de vérité.
Marianne
Avec une puissance rare, le film s'inscrit dans une mouvance du cinéma français qui, loin de Paris et de l'intimisme en chambre, observe le pays réel et ses souffrances.
20 Minutes
On pense à la force et à la dureté du cinéma de Ken Loach devant cette chronique qui prend les spectateurs aux tripes.
CNews
Un film poignant sur le monde paysan.
Franceinfo Culture
Un film fort et sensible qui dit, à travers l'histoire tragique d'une famille, toute la détresse du monde paysan d'aujourd'hui.
L'Express
Emouvant, "Au nom de la terre" est, au-delà d'une tragédie épique, le témoin sans fard d'un monde en péril.
La Voix du Nord
Un film fort.
Le Dauphiné Libéré
Sur plus de 40 ans, un film qui rend compte de façon sensible des transformations du monde paysan, avec un souci de réalisme de la part d’un réalisateur qui raconte sa propre expérience familiale.
Le Figaro
Un tableau réaliste et poignant.
Le Parisien
Inspiré de la propre histoire du père du réalisateur, un drame qui fait écho aux problèmes que rencontre le monde paysan d'aujourd'hui. Implacable et bouleversant.
Le Point
Le résultat est bouleversant.
Ouest France
Un film dur mais indispensable.
Sud Ouest
Guillaume Canet habite avec passion le personnage, auprès de Veerle Baetens, formidable actrice repérée notamment dans "Duelles", et d’Anthony Bajon dans le rôle du fils.
Télé 7 Jours
On garde longtemps en mémoire ces personnages, vrais et attachants, incarnés par des comédiens formidables.
Télé Loisirs
[...] ce drame familial bouleversant, tiré d'une histoire vraie.
Télérama
Lui-même fils d’agriculteurs, le réalisateur met en scène le drame de l’endettement des paysans français comme un western crépusculaire.
Bande à part
Portrait terrible et sans fard du monde paysan, "Au nom de la terre" montre avec beaucoup de justesse comment les valeurs qui fondent l’idée de la vie agricole se vident peu à peu de leur substance. Comment un monde se meurt.
Le Journal du Dimanche
Si sa mise en scène manque un brin d’audace ou d’expérience, Edouard Bergeon prend aux tripes avec ce drame familial très dense, engagé et romanesque, auquel il confère un petit côté western.
Positif
Bergeon restitue avec justesse la vie de la ferme et les travaux agricoles, ce qui n'est pas si fréquent. Mais la vision surplombante du drame à venir [...] a la lourdeur d'une démonstration.
Première
Modeste dans sa mise en scène, Bergeon rend le plus digne des hommages à son père, ne sacrifiant jamais à la sensiblerie. Il est accompagné par un Guillaume Canet bouleversant, entouré par les non moins magnifiques Veerle Baetens, Anthony Bajon, Rufus...
Voici
Ce film mêle chronique agricole réaliste et saga familiale émouvante.
aVoir-aLire.com
Un film bouleversant qui tire le signal d’alarme sur les grandes difficultés que rencontrent des agriculteurs livrés à eux-mêmes, face aux multiples contraintes qui s’abattent sur leur profession.
L'Obs
Noble cause, bons acteurs. Manque l’essentiel : un regard.
La Croix
Si Edouard Bergeon parvient à restituer avec sensibilité le quotidien de la vie à la campagne, la beauté de celle-ci, les souvenirs des jours heureux dans une famille unie malgré les difficultés, le film pâtit d’un défaut d’écriture qui le rend maladroit et platement démonstratif.
Le Monde
Le respect pour cette histoire poignante s’accompagne toutefois d’un doute sur la capacité de cette fiction à l’élever au niveau qu’elle aurait exigé.