Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Culturopoing.com
par Guillaume Goujet
Entre visions cinéphiles et immersion extrême dans la réalité, depuis la caravane de Jean-Charles Hue, le voyage à Tijuana est géographique et mental.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Humanité
par Genica Baczynski
Le cinéaste accomplit les mots de Sartre, il y a émotion quand le monde des ustensiles s’évanouit brusquement et que le monde magique apparaît à sa place.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Nicolas Schaller
A travers le parcours d’un ex-marine addict au crack et d’une Mexicaine à la recherche de son frère, Jean-Charles Hue (« Mange tes morts ») nous plonge dans cette cour des miracles, aux mains des cartels, avec un sens tranchant de l’immersion documentaire et un rapport mystique à la fiction.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Parisien
par Michel Valentin
Tijuana Bible n'est heureusement pas que l'histoire d'un bon Samaritain qui trouve sa rédemption en aidant son prochain. Ceci grâce à la prestation bluffante de Paul Anderson, l'un des acteurs principaux de la série Peaky Blinders, qui incarne ici avec un réalisme stupéfiant le personnage principal, Nick, camé jusqu'à la moelle.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Voici
par La Rédaction
Un drame sauvage, entre langueur poisseuse et tension extrême, par un réalisateur fan de Sam Peckinpah.
Le Journal du Dimanche
par K.L.
De vrais acteurs comme Paul Anderson (Peaky Blinders) mais aussi des habitants et une photographie surexposée pour un film christique où tous les personnages sont en quête de rédemption.
Les Fiches du Cinéma
par Thomas Fouet
Jean-Charles Hue signe un drame mâtiné de film noir et empreint de religiosité qui vaut - entre autres - pour sa lumière et ses accents documentaires.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Fabien Baumann
Il y a aura une apparition miraculeuse, traitée au premier degré, des embardées dans des décors inattendus, pourquoi pas bibliques, mais aussi des dialogues convenus (figurez-vous que la guerre, ça traumatise les âmes) et des personnages déjà vus.
Première
par Thierry Chèze
Hue n’en rajoute jamais, il se saisit juste pleinement de l’extrême dangerosité de la ville et de ses fantômes pour embarquer le spectateur dans un voyage aussi troublant que dérangeant, en compagnie d’une étonnante troupe d’acteurs (...).
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Jérémie Couston
Une descente aux enfers dans la ville-frontière, à la fois éprouvante et jalonnée de scènes superbes.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Figaro
par Etienne Sorin
Manque un scénario consistant ou l'écriture d'un James Crumley.
Le Monde
par Philippe Ridet
Chaque personnage se raconte au lieu de faire avancer une action qui pourrait être captivante. On les regarde, mais on peine à s’y intéresser.
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Un thriller de cartel à la frontière mexicaine auquel manque la magie de "Mange tes morts", précédent film du cinéaste. [...] un récit certes sans faux pas, mais qui peine à réinvoquer l’espèce de souffle majestueux, de ballet de dieux de son opus précédent [...] Reste un travail à vif, une captation sauvage et vivante.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Laura Tuillier
[...] malgré le climat de cité interlope qui nimbe chaque coin de rue, tout est plus sage, à commencer par le scénario : très balisé en même temps qu’assez vague et embrouillé, il corsète le film qui multiplie les passages obligés (règlements de compte avec le caïd local, scène plus relax à la plage) sans trouver un souffle propre à la mise en scène.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Mad Movies
par Gilles Esposito
Artificiel et souvent folklorique dans sa peinture de la déglingue junkie, ce "Tijuana Bible" semble surtout soucieux de cocher toutes les cases de l'Art & Essai qui fait genre [...].
Cahiers du Cinéma
par Marcos Uzal
La ville et sa faune, ses gringos égarés, ses junkies, ses prostituées, sont tenus à l’écart par un récit assez convenu dans sa manière de s’inscrire dans une mythologie très nord-américaine – le Mexique comme lieu de perdition envoûtant, où des égarés unissent leurs quêtes avec la rédemption comme horizon.
Culturopoing.com
Entre visions cinéphiles et immersion extrême dans la réalité, depuis la caravane de Jean-Charles Hue, le voyage à Tijuana est géographique et mental.
L'Humanité
Le cinéaste accomplit les mots de Sartre, il y a émotion quand le monde des ustensiles s’évanouit brusquement et que le monde magique apparaît à sa place.
L'Obs
A travers le parcours d’un ex-marine addict au crack et d’une Mexicaine à la recherche de son frère, Jean-Charles Hue (« Mange tes morts ») nous plonge dans cette cour des miracles, aux mains des cartels, avec un sens tranchant de l’immersion documentaire et un rapport mystique à la fiction.
Le Parisien
Tijuana Bible n'est heureusement pas que l'histoire d'un bon Samaritain qui trouve sa rédemption en aidant son prochain. Ceci grâce à la prestation bluffante de Paul Anderson, l'un des acteurs principaux de la série Peaky Blinders, qui incarne ici avec un réalisme stupéfiant le personnage principal, Nick, camé jusqu'à la moelle.
Voici
Un drame sauvage, entre langueur poisseuse et tension extrême, par un réalisateur fan de Sam Peckinpah.
Le Journal du Dimanche
De vrais acteurs comme Paul Anderson (Peaky Blinders) mais aussi des habitants et une photographie surexposée pour un film christique où tous les personnages sont en quête de rédemption.
Les Fiches du Cinéma
Jean-Charles Hue signe un drame mâtiné de film noir et empreint de religiosité qui vaut - entre autres - pour sa lumière et ses accents documentaires.
Positif
Il y a aura une apparition miraculeuse, traitée au premier degré, des embardées dans des décors inattendus, pourquoi pas bibliques, mais aussi des dialogues convenus (figurez-vous que la guerre, ça traumatise les âmes) et des personnages déjà vus.
Première
Hue n’en rajoute jamais, il se saisit juste pleinement de l’extrême dangerosité de la ville et de ses fantômes pour embarquer le spectateur dans un voyage aussi troublant que dérangeant, en compagnie d’une étonnante troupe d’acteurs (...).
Télérama
Une descente aux enfers dans la ville-frontière, à la fois éprouvante et jalonnée de scènes superbes.
Le Figaro
Manque un scénario consistant ou l'écriture d'un James Crumley.
Le Monde
Chaque personnage se raconte au lieu de faire avancer une action qui pourrait être captivante. On les regarde, mais on peine à s’y intéresser.
Les Inrockuptibles
Un thriller de cartel à la frontière mexicaine auquel manque la magie de "Mange tes morts", précédent film du cinéaste. [...] un récit certes sans faux pas, mais qui peine à réinvoquer l’espèce de souffle majestueux, de ballet de dieux de son opus précédent [...] Reste un travail à vif, une captation sauvage et vivante.
Libération
[...] malgré le climat de cité interlope qui nimbe chaque coin de rue, tout est plus sage, à commencer par le scénario : très balisé en même temps qu’assez vague et embrouillé, il corsète le film qui multiplie les passages obligés (règlements de compte avec le caïd local, scène plus relax à la plage) sans trouver un souffle propre à la mise en scène.
Mad Movies
Artificiel et souvent folklorique dans sa peinture de la déglingue junkie, ce "Tijuana Bible" semble surtout soucieux de cocher toutes les cases de l'Art & Essai qui fait genre [...].
Cahiers du Cinéma
La ville et sa faune, ses gringos égarés, ses junkies, ses prostituées, sont tenus à l’écart par un récit assez convenu dans sa manière de s’inscrire dans une mythologie très nord-américaine – le Mexique comme lieu de perdition envoûtant, où des égarés unissent leurs quêtes avec la rédemption comme horizon.