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28 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Ce film présenté au Festival de Gérardmer fait souffler un vent de nouveauté bienvenu sur le cinéma fantastique français.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Bande à part
par Hélène Robert
Péripéties à l’effet boule de neige et intrigue faussement naïve : La Dernière Vie de Simon s’inscrit dans la digne lignée des contes cruels intemporels.
CNews
par La rédaction
Un premier essai plus que convaincant.
Ecran Large
par Simon Riaux
Mais l’amour sincère du fantastique qui s’y déploie, l’intelligence de son écriture et l’artisanat stimulant qui préside à sa mise en scène en font une des plus touchantes surprises de ce début d’année.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Mystérieux et envoûtant, un magnifique film, parfaitement écrit et maîtrisé. On reste sous le charme.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Ecran Fantastique
par Julien Cassarino
Cet humble hommage énamouré au fantastique émotionnel de Spielberg et Robert Zemeckis soigne sa mise en forme, offrant d’amples mouvements d'appareil gorgés de sens, use de discrets effets spéciaux réussis, et cultive malgré ses références américaines affirmées une authentique patte hexagonale (les paysages naturels bretons sont de toute beauté et favorisent l'immersion).
L'Express
par Antoine Le Fur
Le film surprend par son habileté à jouer sur différents registres, de l'enchantement au drame. Le scénario ne cesse de surprendre, jusqu'à un dénouement d'une intensité rare.
L'Obs
par Nicolas Schaller
Pour un premier film, dans un genre si peu français – le merveilleux à la Spielberg –, ça ressemble à un coup de petit-maître.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Un conte naïf et cruel, moderne et déchirant, qui rend hommage au cinéma de Spielberg avec beaucoup d’humilité.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Figaro
par Jean Talabot
Ambitieux et intelligent, le fantastique français existe bel et bien.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Lumineux et poignant, jamais ridicule, son film empreinte tous les codes du genre mais parvient à trouver sa propre identité, quelque part entre le conte fantastique et le mélo intime.
Le Parisien
par Michel Valentin
Un excellent film fantastique.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Amélie Leray
Entre conte, drame et récit d’apprentissage, Léo Karmann tente de ressusciter la magie et l’émotion des grands classiques de son enfance. Un coup d’essai plutôt réussi dont les limites se révèlent en seconde partie, plus confuse et trop prévisible.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Mad Movies
par Gilles Esposito
[...] le film rappelle donc davantage l'animation japonaise, qui n'a pas son pareil pour glisser des sujets très audacieux au coeur du cinéma pour adolescents. Sous notre stylo-bille, cette comparaison n'est pas un mince compliment.
Ouest France
par La Rédaction
Un film fantastique aussi minimaliste que puissamment romanesque.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Sans être tout à fait accompli, le film conjugue habilement la douleur de l’attachement, l’inaccomplissement intérieur, la flamme des passions enfantines, jamais oubliées.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Voici
par A.V.
Le premier long métrage audacieux et enthousiasmant d'un jeune réalisateur.
CinemaTeaser
par Alex Masson
Il y a, dans cette Dernière vie de Simon, toutes les vertus d'une nouvelle génération de cinéastes appelés à devenir grands.
La Croix
par France Lebreton
Ces pistes de réflexion, intéressantes, ne masquent pas la faiblesse de certains personnages, notamment les parents, dont le jeu caricatural tranche à côté de l’intensité du jeune trio d’acteurs qui savent, jusqu’au bout, nous tenir en haleine.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Libération
par Camille Nevers
Alors malgré ses références parfois accablantes (Spielberg, Abrams), exhibées de copiste, malgré une musique hyper «johnwilliamsienne» à la E.T., il reste un sens du merveilleux dans ce film au plaisir communicatif, grandissant.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Yannick Vely
Premier film français audacieux et poétique, "La Dernière vie de Simon" surprend par sa tonalité fantastique plutôt rare dans le cinéma français.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Yann Tobin
Risque méritoire, ce premier long métrage reste sérieux et sentimental, y compris dans les scènes d'action de la dernière partie : techniquement efficace, bien mené, professionnel.
Première
par Christophe Narbonne
En l’état, La Dernière Vie de Simon est une jolie proposition qui s’inscrit dans la lignée de Vincent n’a pas d’écailles, le film de superhéros minimaliste de Thomas Salvador.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Guillemette Odicino
Léo Karmann a le sens du romanesque, et un talent certain pour la belle image, effets spéciaux compris, mais son film pèche encore par des maladresses et une croyance un peu naïve dans la magie du cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Un film plutôt savamment mené, qui séduira les adolescents en quête de sentiments romantiques et de sortilèges.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Les Inrockuptibles
par Emily Barnett
Un premier long habile mais inégal qui ne parvient pas à s’émanciper de ses modèles. [Le film] copie les “maîtres” de l’entertainment fantastique américain des années 1980: caméra portée, musique envahissante, suspense enfantin à la Spielberg. Le jeune réalisateur nous perd [...], jusqu’à sa morale sucrée.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Cahiers du Cinéma
par Quentin Papapietro
La Dernière Vie de Simon se contente de calquer des formes d’une époque et d’un contexte révolus dans une Bretagne carte-postalisée.
Le Monde
par Véronique Cauhapé
Sur le thème de l’usurpation d’identité, Léo Karmann construit un premier longmétrage bourré de bons sentiments, qui éclairent d’une bien pâle aura la dimension fantastique du film.
20 Minutes
Ce film présenté au Festival de Gérardmer fait souffler un vent de nouveauté bienvenu sur le cinéma fantastique français.
Bande à part
Péripéties à l’effet boule de neige et intrigue faussement naïve : La Dernière Vie de Simon s’inscrit dans la digne lignée des contes cruels intemporels.
CNews
Un premier essai plus que convaincant.
Ecran Large
Mais l’amour sincère du fantastique qui s’y déploie, l’intelligence de son écriture et l’artisanat stimulant qui préside à sa mise en scène en font une des plus touchantes surprises de ce début d’année.
Franceinfo Culture
Mystérieux et envoûtant, un magnifique film, parfaitement écrit et maîtrisé. On reste sous le charme.
L'Ecran Fantastique
Cet humble hommage énamouré au fantastique émotionnel de Spielberg et Robert Zemeckis soigne sa mise en forme, offrant d’amples mouvements d'appareil gorgés de sens, use de discrets effets spéciaux réussis, et cultive malgré ses références américaines affirmées une authentique patte hexagonale (les paysages naturels bretons sont de toute beauté et favorisent l'immersion).
L'Express
Le film surprend par son habileté à jouer sur différents registres, de l'enchantement au drame. Le scénario ne cesse de surprendre, jusqu'à un dénouement d'une intensité rare.
L'Obs
Pour un premier film, dans un genre si peu français – le merveilleux à la Spielberg –, ça ressemble à un coup de petit-maître.
La Voix du Nord
Un conte naïf et cruel, moderne et déchirant, qui rend hommage au cinéma de Spielberg avec beaucoup d’humilité.
Le Figaro
Ambitieux et intelligent, le fantastique français existe bel et bien.
Le Journal du Dimanche
Lumineux et poignant, jamais ridicule, son film empreinte tous les codes du genre mais parvient à trouver sa propre identité, quelque part entre le conte fantastique et le mélo intime.
Le Parisien
Un excellent film fantastique.
Les Fiches du Cinéma
Entre conte, drame et récit d’apprentissage, Léo Karmann tente de ressusciter la magie et l’émotion des grands classiques de son enfance. Un coup d’essai plutôt réussi dont les limites se révèlent en seconde partie, plus confuse et trop prévisible.
Mad Movies
[...] le film rappelle donc davantage l'animation japonaise, qui n'a pas son pareil pour glisser des sujets très audacieux au coeur du cinéma pour adolescents. Sous notre stylo-bille, cette comparaison n'est pas un mince compliment.
Ouest France
Un film fantastique aussi minimaliste que puissamment romanesque.
Sud Ouest
Sans être tout à fait accompli, le film conjugue habilement la douleur de l’attachement, l’inaccomplissement intérieur, la flamme des passions enfantines, jamais oubliées.
Voici
Le premier long métrage audacieux et enthousiasmant d'un jeune réalisateur.
CinemaTeaser
Il y a, dans cette Dernière vie de Simon, toutes les vertus d'une nouvelle génération de cinéastes appelés à devenir grands.
La Croix
Ces pistes de réflexion, intéressantes, ne masquent pas la faiblesse de certains personnages, notamment les parents, dont le jeu caricatural tranche à côté de l’intensité du jeune trio d’acteurs qui savent, jusqu’au bout, nous tenir en haleine.
Libération
Alors malgré ses références parfois accablantes (Spielberg, Abrams), exhibées de copiste, malgré une musique hyper «johnwilliamsienne» à la E.T., il reste un sens du merveilleux dans ce film au plaisir communicatif, grandissant.
Paris Match
Premier film français audacieux et poétique, "La Dernière vie de Simon" surprend par sa tonalité fantastique plutôt rare dans le cinéma français.
Positif
Risque méritoire, ce premier long métrage reste sérieux et sentimental, y compris dans les scènes d'action de la dernière partie : techniquement efficace, bien mené, professionnel.
Première
En l’état, La Dernière Vie de Simon est une jolie proposition qui s’inscrit dans la lignée de Vincent n’a pas d’écailles, le film de superhéros minimaliste de Thomas Salvador.
Télérama
Léo Karmann a le sens du romanesque, et un talent certain pour la belle image, effets spéciaux compris, mais son film pèche encore par des maladresses et une croyance un peu naïve dans la magie du cinéma.
aVoir-aLire.com
Un film plutôt savamment mené, qui séduira les adolescents en quête de sentiments romantiques et de sortilèges.
Les Inrockuptibles
Un premier long habile mais inégal qui ne parvient pas à s’émanciper de ses modèles. [Le film] copie les “maîtres” de l’entertainment fantastique américain des années 1980: caméra portée, musique envahissante, suspense enfantin à la Spielberg. Le jeune réalisateur nous perd [...], jusqu’à sa morale sucrée.
Cahiers du Cinéma
La Dernière Vie de Simon se contente de calquer des formes d’une époque et d’un contexte révolus dans une Bretagne carte-postalisée.
Le Monde
Sur le thème de l’usurpation d’identité, Léo Karmann construit un premier longmétrage bourré de bons sentiments, qui éclairent d’une bien pâle aura la dimension fantastique du film.