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Tout l’amour du monde ne suffit pas toujours à réparer les fêlures… Un beau premier film sur la folie d’un père, vue à travers les yeux d’une adolescente. Et la révélation d’une jeune actrice, Léonie Souchaud, fracassante…
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Sans jamais tomber dans la caricature, le premier film de Vero Cratzborn raconte une famille touchée par la maladie mentale. Un film porté par son excellent casting.
Ce premier long métrage de fiction de Vero Cratzborn nous emmène à la frontière du normal et du pathologique à travers le regard que porte une adolescente sur les troubles mentaux de son père. Dommage que le film s’enlise dans la psychologie.
Acteurs impeccables, (Alban Lenoir au plus loin du mystère, Ludivine Sagnier d'une tranchante vérité), séquences puissantes – la visite à l'asile, la folle virée en voiture… « La Forêt de mon père » dégage une intensité qui vous prend à la gorge.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
On est touché par cette tribu au bord de la rupture, incarnée par des interprètes très émouvants, notamment Alban Lenoir, touchant et inquiétant [...].
L’atout majeur de ce récit intimiste, parfois étiré ou maladroit, est la jeune Léonie Souchaud en fille farouche, déterminée à chercher son père jusqu’au fond des plus noires futaies.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Un premier long métrage plein de promesses. Vero Cratzborn parvient à renouveler le portrait de l’adolescence, à travers l’histoire d’une famille impactée par la maladie psychiatrique du père.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
[...] le ton qui sonne parfois faux de "La forêt de mon père", les dialogues peu consistants et quelques situations invraisemblables surprennent. Ils laissent à la surface un sujet pourtant fort, ce qu’aggrave une direction d’acteurs en roue libre, avec un enthousiasme surjoué des enfants et Alban Lenoir peu convaincant en père qui déraille.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Dommage que la psychologie des personnages ne soit pas plus approfondie, car les situations sont réalistes (la gestion de la maladie mentale par l’entourage, la précarité au quotidien) et les acteurs, attachants, Alban Lenoir en tête.
On aimerait être ému par cette histoire de glissement vers la folie, de bouleversement familial et de révolte adolescente, mais la réalisatrice confond note d’intention et écriture cinématographique.
Si les intentions sont bonnes, leur matérialisation souffre d’un excès de “fabrication”, notamment dans l’interprétation un poil trop illuminée d’Alban Lenoir -à sa décharge, rien de plus compliqué à jouer.
La critique complète est disponible sur le site Première
Bande à part
Tout l’amour du monde ne suffit pas toujours à réparer les fêlures… Un beau premier film sur la folie d’un père, vue à travers les yeux d’une adolescente. Et la révélation d’une jeune actrice, Léonie Souchaud, fracassante…
Dernières Nouvelles d'Alsace
Sans jamais tomber dans la caricature, le premier film de Vero Cratzborn raconte une famille touchée par la maladie mentale. Un film porté par son excellent casting.
Le Figaro
[...] un film fort sur un sujet toujours tabou.
Les Fiches du Cinéma
Ce premier long métrage de fiction de Vero Cratzborn nous emmène à la frontière du normal et du pathologique à travers le regard que porte une adolescente sur les troubles mentaux de son père. Dommage que le film s’enlise dans la psychologie.
La Voix du Nord
Un film-témoignage porté par une évidente sincérité.
Le Parisien
Acteurs impeccables, (Alban Lenoir au plus loin du mystère, Ludivine Sagnier d'une tranchante vérité), séquences puissantes – la visite à l'asile, la folle virée en voiture… « La Forêt de mon père » dégage une intensité qui vous prend à la gorge.
Télé Loisirs
On est touché par cette tribu au bord de la rupture, incarnée par des interprètes très émouvants, notamment Alban Lenoir, touchant et inquiétant [...].
Télérama
L’atout majeur de ce récit intimiste, parfois étiré ou maladroit, est la jeune Léonie Souchaud en fille farouche, déterminée à chercher son père jusqu’au fond des plus noires futaies.
Voici
Comme la forêt à côté de laquelle elle vit avec ses parents, pour Gina, 15 ans, la figure de son père est à la fois protectrice et inquiétante.
aVoir-aLire.com
Un premier long métrage plein de promesses. Vero Cratzborn parvient à renouveler le portrait de l’adolescence, à travers l’histoire d’une famille impactée par la maladie psychiatrique du père.
Franceinfo Culture
Un drame sincère mais qui ne parvient pas toujours à émouvoir, empêché par un scénario et une mise en scène qui ne convainquent pas.
L'Obs
[...] à l’écran il ne se passe rien, malgré les efforts d’Alban Lenoir.
La Croix
[...] le ton qui sonne parfois faux de "La forêt de mon père", les dialogues peu consistants et quelques situations invraisemblables surprennent. Ils laissent à la surface un sujet pourtant fort, ce qu’aggrave une direction d’acteurs en roue libre, avec un enthousiasme surjoué des enfants et Alban Lenoir peu convaincant en père qui déraille.
Le Journal du Dimanche
Dommage que la psychologie des personnages ne soit pas plus approfondie, car les situations sont réalistes (la gestion de la maladie mentale par l’entourage, la précarité au quotidien) et les acteurs, attachants, Alban Lenoir en tête.
Le Monde
Piloté avec une extrême timidité, le film fait regretter les aspérités qui auraient apporté plus de vigueur au propos.
Positif
On aimerait être ému par cette histoire de glissement vers la folie, de bouleversement familial et de révolte adolescente, mais la réalisatrice confond note d’intention et écriture cinématographique.
Première
Si les intentions sont bonnes, leur matérialisation souffre d’un excès de “fabrication”, notamment dans l’interprétation un poil trop illuminée d’Alban Lenoir -à sa décharge, rien de plus compliqué à jouer.