Avis : Titus - Page 2

- Adaptation très vivante, forte et inventive d'un texte prenant et violent .
- Des acteurs au sommet de leur art .

Par la future réalisatrice de "Frida" et de "Across the universe".
Julie Taymor a également signé une extraordinaire mise en scène du musical "Le Roi Lion" qui a triomphé mondialement.

A connaître absolument. On en prend plein les mirettes et les oreilles.
Et, ça fait rudement bien. Passionnant!

dommage que ce film manque de moyen car l'histoire est extraordinaire et quelle mise en scene ! jamais vu un film aussi cruel. il aurait du etre interdit aux moins de 12 ans a mon avis ce film n'est pas tout public

Un film méconnu (2 copies seulement sur Paris lors de sa sortie en salle) qui mérite de figurer dans toutes les vidéothèque. Une mise en scène impressionnante, un casting et un jeu d'acteur incroyables, une adaptation surprenante de l'œuvre de Shakespeare. À voir absolument.

Qu'il plaise ou déplaise, fascine ou dégoute, Titus ne laissera personne indifférent.
C'est avec un certain scepticisme que j'ai accueilli la première demi-heure de ce titanesque opéra shakesperien d'une barbare ampleur et puis à mesure que le récit avançait, je me suis laissé prendre par cette histoire violente et passionée d'honneur, de vengeance et de douleur.
Interprétation impeccable, mise en scène idéale, bande-son splendide, costumes et décors incroyables, on pourra dire de Titus qu'il jette de la poudre aux yeux mais alors c'est bel et bien de la poudre d'or.
On ne peut nier la lourdeur de certains passages et l'interprétation quelque peu forcée par moments mais tout de même : quelle fabuleux spectacle que celui-là !
J'ai tout de même été supris de l'absence d'interdiction aux moins de 12 ans voire 16 au vue de la violence et de l'horreur de certaines scènes.

J'ai eu énormément de difficultés à le regarder, mais il faut beaucoup de maturité pour apprécier ce film , ou certes les verbes sont parfois dure , l'intrigue étonnantes , les actions violentes , mais il faut remettre ce film dans sont contexte. Les temps ont changés ...
La façon de mêlée les costumes typiques et seux parfaitement moderne [année 80] sert à découdre un peu le contexte afin de sortir parfois le public des scènes très dure à montré.

Si l'on sait le comprendre ce film es un chef d'œuvre au point de vue remise en question sur la vengeance qui détruit plus ce que n'aide à faire le deuil...

TITUS de Julie Taymor – 1999

Adaptation à l’écran de la tragédie homonyme de Shakespeare, Titus nous emmène dans une Rome antique anachronique où le sang coule à flots. Mise en scène théâtrale, discours éloquents et pompeux sont de la partie. Tout le monde ne sera pas le public adéquat.

Synopsis : Titus, général sans pitié, rentre à Rome après sa victoire sur les Goths. Prié par son frère Marcus de prendre le pouvoir suite à la mort de l’Empereur, il refuse et soutient l’héritier direct de Ceasar, Saturninus. Ce dernier s’entache de la reine des Goths qui n’aura de cesse de se venger de Titus pour la mort de son fils lors de la victoire romaine.

La forme globale :
Issue d’une pièce de Shakespeare, la forme du film est cohérente. Le film adapte la pièce d’origine de manière pertinente et lui apporte une réelle plus-value, qu’il s’agisse de la narration ou de la mise en scène. La cohérence d’un film permet de répondre à la fonction suivante : pour chaque élément du film, qu’apporte-t-il ? Ici, s’agissant de l’adaptation d’une pièce d’un grand dramaturge, le défi est d’apporter les éléments du cinéma sans affaiblir la matrice. L’utilisation de l’anachronisme est intéressante. Mélange de Rome antique, voiture des années 50s et armées de la Wehrmacht, le film implante ce mélange dans les décors et les personnages. Il établit des similarités et des parallèles à nos connaissances (le dictateur, par exemple) qui satisfont nos attentes. Il mélange habilement décors actuels (bâtiments grandioses d’Italie) et antiques.

La narration :
L’histoire est contée comme au théâtre, les échanges verbaux sont parfois à la 3e personne, les discours sont longs et complexes. Ils sont à la fois doux et brutaux à l’oreille puisque Titus Andronicus est une pièce violente. Cette violence se retrouve dans le scénario. Long et posé, il renforce l’aspect dramatique du film. Illimité et subjectif, il nous confronte à la souffrance de notre héros.

Une scène illustre ce processus : Aaron (le Maure) se rend chez Titus et donne une échappatoire à l’exécution de deux de ses fils : qu’il se tranche la main. Après une scène burlesque sur qui de Titus, son fils exilé ou son frère accomplira cette horrible tâche, Aaron repart avec la main de Titus, s’arrête et s’exprime face à la caméra. Le spectateur comprend que ce n’était qu’un subterfuge et que Titus ne reverra pas ces fils. Ce regard-caméra (que l’on retrouve au théâtre) est intéressant puisqu’il donne une information au spectateur et le rend en quelque sorte complice, écœuré et impuissant. Il renforce la mise en scène des futurs plans lorsqu’on lui porte les têtes de ses fils.

Le scénario ne cesse de nous surprendre avec ses rebondissements et exécute une vengeance expéditive sur leurs ennemis.

La mise en scène :
La mise en scène, théâtrale, est un des gros points forts de Titus. Le soin apporté à cet élément, tout comme aux costumes ou à l’éclairage, est très bons et enrichit l’intrigue et les dialogues. Titus comprend plusieurs scènes choquantes, sublimées par son décor ou le contraste des couleurs. Mais il laisse également place à la déduction, laissant au spectateur la libre interprétation des horreurs qui vont se dérouler. Certes, Titus n’est pas le seul film qui utilise à bon escient la mise en scène, par contre, il la travaille également dans des plans moins importants ce qui rend l’expérience très agréable.
Le jeu des acteurs est également bon. Tout particulièrement Anthony Hopkins, dans le rôle de Titus qui joue un personnage charismatique et dur.

À l’écran, la vue est généralement équilibrée (entre la gauche et la droite). Pour les scènes importantes, le contraste est bien implanté (un contraste fort dans certains plans) et renforce la mise en scène. De même, les valeurs de plans apportent un plus non négligeable à la mise en scène.

Cinematography :
Le film reste classique dans son cadrage et l’utilisation de la caméra malgré quelques effets particuliers ( la scène de fin et l'utilisation d'un ralentissent jusqu’à l’exécution de l’empereur). Enfin, de nombreux très longs plans sont utilisés ce qui met en valeur les paysages et monuments.

C'est le pire film que j'ai vu de ma vie et encore si je peux l'appeler film car il a plus l'air d'un théâtre filmé (au style de l'avare mais qui se rattrapait quand même assez bien grâce au rôle de Louis de Funès) sauf que là il y a pas de Funès résultats on a une histoire malmenée une intrigue pourrie (depuis quand les Romains ont des motos s'il vous plaît?) bref le début est vraiment nul je l'ai pas fini tellement j'en peux plus au bout de 10 minutes c'était horrible je ne vous le conseille pas si vous voulez pas avoir mal à la tête ne regardez pas ce film c'est un énorme navet.

Je commencerai pars demandé indulgence pour mon orthographe puis je vous dirai que je n aurai jamais ecrit si je ne m etais aventuré a lire les critiques me précédent, l'euvre est je pense grandiloquante par nature est presque imposible a rendre justice dans son traitement sans prendre en compte son contexte de création qu il est extremement difficile de retranscrire ds notre culture actuelle. J ai 27 ans le dernier film que j ai etais voire au cine est spider man no way home je parle un anglais basic. la vf a reussi a me toucher tidus est extraordinaine les autres roles (surtout l'imperatrice et son mari) son je trouve plus caricaturaux que les lignes le demande et les années 2000 ne le permette mais je crois le film sincere et rends reelement homage a l 'euvre originelle.
En tout cas il ma permis de la decouvrire, de l aprecier je trouve cela magnifique, un texte qui as 400 ans.
Pour les prochain scribes je vous pris d'imaginé remettre ce texte a son epoque avant de critiquer les essais qui lui rende homage