Note moyenne
3,2
14 titres de presse
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Le Figaro Magazine
La mise en scène brillamment stylisée, inventive, d'une audace rare, frappe comme un uppercut. Le texte d'une violence implacable (...) nous jette au tapis.
Première
(...) Julie Taymor fait preuve de créativité à chaque plan. Fille improbable mais insolemment douée de Leni Riefensthal et de Peter Greenaway (...)
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
(...) si quelques scories viennent heurter un film qui a soudain peur de sa propre audace (...)son mélange audacieux de styles correspond avec justesse à la pièce, mélange d'atrocité, de poésie et d'absurdité qui n'a pas d'équivalent dans le théâtre shakespearien.
Le Parisien
(...) une excellente adaptation de la pièce de William Shakespeare, à la fois créative, originale et ambitieuse. Anthony Hopkins est impressionnant.
MCinéma.com
(...) malgré ses imperfections, et en partie grâce à sa traduction visuelle intemporelle et osée, Titus provoque une passionnante excitation.
Aden
(...) un film incongru, inégal et foisonnant.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
MCinéma.com
(...) malgré ses imperfections, et en partie grâce à sa traduction visuelle intemporelle et osée, Titus provoque une passionnante excitation.
Chronic'art.com
Marre des adaptations "auteurisantes" de Shakespeare ? Passez votre chemin.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Repérages
La palette graphique s'explose aux acides et la mise en scène de Julie Taymor (...) se dilue dans un barococo très léché quand il s'agit d'en venir aux faits. Ce qui voulait être un grand film n'est en fait qu'un long film.
Télérama
D'un drame shakespearien, Julie Taymor fait un énorme et tonitruant «gloubiboulga», qui puise sa seule originalité dans l'anachronisme des décors et des costumes, entre chic mussolinien et cuir véritable. Suprêmement pompier.
Urbuz
(...) la pièce est suffisamment chargée, ce qui n'empêche pas la réalisatrice d'y ajouter un bric-à-brac totalement indigeste de références et d'artifices visuels.