Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Nicholas Elliott
La Chine n’est pas le seul pays à oublier les leçons de l’Histoire. C’est toute la force de Wang Bing de nous le rappeler en faisant résonner, aujourd’hui, la voix des morts.
Critikat.com
par Raphaëlle Pireyre
Dans son attention à se recueillir devant les ossements humains qui ressurgissent sous le sable, "Les Âmes mortes" opère un glissement qui va de la mise au jour d’une mémoire commune enfouie pour devenir le lieu de sépulture de ces âmes oubliées.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Humanité
par Emile Breton
C’est un film, et c’est plus qu’un film. Un lamento sur des morts programmées. Un mémorial pour la suite des temps, pour que les vivants d’aujourd’hui sachent qu’ici des hommes sont morts.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Les Fiches du Cinéma
par Gaël Reyre
Un véritable document d’histoire pétri d’humanité, terrible et riche en informations, à voir et à méditer.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Wang apporte une pierre de plus à l’édifice qu’il construit depuis "A l’ouest des rails", ce tombeau à la mémoire des dizaines de millions de Chinois morts pour servir un régime dément. Mais jamais, peut-être, il n’en avait si bien montré la face absurde, d’un point de vue quasi métaphysique. Un document historique considérable, une œuvre magistrale.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Didier Péron
Tous ces hommes et femmes face caméra parlent au bord du silence imposé et dans le compte à rebours biologique de leur disparition annoncée. Le cinéaste, tel un enfant écarquillé de Shéhérazade, est là pour que dure leur récit et que la mort et l’oubli soient repoussés ou infiniment retardés.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Transfuge
par François Bégaudeau
Wang Bing est peut-être le plus grand documentariste actuel. Avec "Les Âmes mortes", film-somme de plus de huit heures, le cinéaste signe un chef-d’œuvre autour de rescapés des camps de rééducation de Jiabiangou et de Mingshui.
Télérama
par François Ekchajzer
Au gré de longues séquences dont le montage respecte la durée, leur parole se déploie sans que Wang Bing intervienne (presque) jamais ; faisant preuve d’une écoute attentive qui favorise la nôtre, Les Âmes mortes construit une représentation intime de cette histoire par ceux qui l’ont vécue.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Express
par Antoine Le Fur
Malgré son format étiré qui peut faire perdre son attention au spectateur, ces "Âmes mortes" demeurent l'un des films les plus édifiants sur la Chine contemporaine.
L'Obs
par François Forestier
Il ne reste, aujourd'hui, que des terres parsemées d'ossements blanchis par le vent, faute de sépultures. Le Grand Timonier, jadis porté aux nues par une gauche aveugle, faisait rang égal avec Staline et Hitler. Ce film de Wang Bing, qui sortira en trois parties, le rappelle.
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Dans un documentaire-fleuve, Wang Bing poursuit son inlassable travail de vérité du passé récent de la Chine, à la recherche des charniers du maoïsme.
Le Figaro
par La Rédaction
Le film est tissé des témoignages minutieux des survivants.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Mathieu Macheret
Wang Bing construit, pour les intervenants, un cadre qui, au sein de leurs petits intérieurs, leur ouvre un espace de parole approprié. Les témoins se montrent alternativement diserts ou évasifs, distants ou emportés, mais ce que l’on remarque à leur côté, c’est aussi la présence de leurs épouses.
Positif
par Antony Fiant
Dès lors, le film ne se contente pas d'accumuler les témoignages mais tisse des liens entre eux tout en jouant de rythmes différents, tout en les entrecoupant de séquences déjouant le dispositif testimonial, tout en adaptant la mise en scène à des témoignages de différentes natures.
Cahiers du Cinéma
La Chine n’est pas le seul pays à oublier les leçons de l’Histoire. C’est toute la force de Wang Bing de nous le rappeler en faisant résonner, aujourd’hui, la voix des morts.
Critikat.com
Dans son attention à se recueillir devant les ossements humains qui ressurgissent sous le sable, "Les Âmes mortes" opère un glissement qui va de la mise au jour d’une mémoire commune enfouie pour devenir le lieu de sépulture de ces âmes oubliées.
L'Humanité
C’est un film, et c’est plus qu’un film. Un lamento sur des morts programmées. Un mémorial pour la suite des temps, pour que les vivants d’aujourd’hui sachent qu’ici des hommes sont morts.
Les Fiches du Cinéma
Un véritable document d’histoire pétri d’humanité, terrible et riche en informations, à voir et à méditer.
Les Inrockuptibles
Wang apporte une pierre de plus à l’édifice qu’il construit depuis "A l’ouest des rails", ce tombeau à la mémoire des dizaines de millions de Chinois morts pour servir un régime dément. Mais jamais, peut-être, il n’en avait si bien montré la face absurde, d’un point de vue quasi métaphysique. Un document historique considérable, une œuvre magistrale.
Libération
Tous ces hommes et femmes face caméra parlent au bord du silence imposé et dans le compte à rebours biologique de leur disparition annoncée. Le cinéaste, tel un enfant écarquillé de Shéhérazade, est là pour que dure leur récit et que la mort et l’oubli soient repoussés ou infiniment retardés.
Transfuge
Wang Bing est peut-être le plus grand documentariste actuel. Avec "Les Âmes mortes", film-somme de plus de huit heures, le cinéaste signe un chef-d’œuvre autour de rescapés des camps de rééducation de Jiabiangou et de Mingshui.
Télérama
Au gré de longues séquences dont le montage respecte la durée, leur parole se déploie sans que Wang Bing intervienne (presque) jamais ; faisant preuve d’une écoute attentive qui favorise la nôtre, Les Âmes mortes construit une représentation intime de cette histoire par ceux qui l’ont vécue.
L'Express
Malgré son format étiré qui peut faire perdre son attention au spectateur, ces "Âmes mortes" demeurent l'un des films les plus édifiants sur la Chine contemporaine.
L'Obs
Il ne reste, aujourd'hui, que des terres parsemées d'ossements blanchis par le vent, faute de sépultures. Le Grand Timonier, jadis porté aux nues par une gauche aveugle, faisait rang égal avec Staline et Hitler. Ce film de Wang Bing, qui sortira en trois parties, le rappelle.
La Croix
Dans un documentaire-fleuve, Wang Bing poursuit son inlassable travail de vérité du passé récent de la Chine, à la recherche des charniers du maoïsme.
Le Figaro
Le film est tissé des témoignages minutieux des survivants.
Le Monde
Wang Bing construit, pour les intervenants, un cadre qui, au sein de leurs petits intérieurs, leur ouvre un espace de parole approprié. Les témoins se montrent alternativement diserts ou évasifs, distants ou emportés, mais ce que l’on remarque à leur côté, c’est aussi la présence de leurs épouses.
Positif
Dès lors, le film ne se contente pas d'accumuler les témoignages mais tisse des liens entre eux tout en jouant de rythmes différents, tout en les entrecoupant de séquences déjouant le dispositif testimonial, tout en adaptant la mise en scène à des témoignages de différentes natures.