Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
26 critiques presse
BIBA
par Mélanie Klein
"Poissonsexe" est un film magnifique : à la fois drôle, irréel, poétique et à l'image et à la musique hypnotiques.
20 Minutes
par Caroline Vié
Alors que sa vie sentimentale tourne au fiasco et que sa dépression s’aggrave, la découverte d’un axolotl, adorable salamandre marine qui ressemble à un Pokémon vivant, l’aide à retrouver le chemin de l’optimisme et de l’amour. Cettte drôle de créature est à l’image du film : aussi touchante qu’attachante.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Scientifique romance, Poissonsexe trouve sa place dans le cinéma, quelque part entre Vincent n’a pas d’écailles de Thomas Salvador, film de superhéros ordinaire avec un homme-poisson amoureux, et Little Joe de Jessica Hausner, semant une plante du bonheur.
La critique complète est disponible sur le site Dernières Nouvelles d'Alsace
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Le très singulier Olivier Babinet ( Robert Mitchum est mort, Swagger ) ne se noie pas dans la fable écologique alarmiste : il déploie son romantisme étonnant dans une sorte de dystopie paisible enregistrant l’engloutissement d’un monde où les survivants cherchent l’amour.
Le Journal du Dimanche
par Stéphane Joby
Derrière les situations farfelues se dessine un propos écologique, technologique et humain pertinent. On s'attache à ces personnages paumés sauvés par la tendresse, avec un poétique Gustave Kervern bien dans son élément. Réjouissant.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par Catherine Balle
Au milieu de scientifiques cyniques et d'autres personnages un peu bas de plafond, Daniel fait partie d'une espèce en voie de disparition : les romantiques. Le décalage entre ce spécimen rare et son milieu crée des situations très drôles et on se laisse charmer de bout en bout par cette romance poétique incarnée par un Gustave Kervern très touchant (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Marianne
par Olivier De Bruyn
Dans Poissonsexe, Olivier Babinet aborde des thèmes qui n’ont a priori rien de frivole, mais il ne se départit jamais d’une légèreté de ton et d’un humour décalé donnant tout son prix à ce « petit » film qui, malgré ses longueurs, en vaut bien des grands.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Marie Claire
par Vincent Cocquebert
Une dystopie aquatique au romantisme doux-amer aussi drôle que poétique.
Ouest France
par Pierre Lunn
Une comédie réjouissante.
Positif
par Yann Tobin
[...] les acteurs, mêlant un physique atypique à leur capacité d’élan romanesque, sont essentiels à la réussite du film ; ils se délectent d’un dialogue parcimonieux, auquel ils prêtent des intonations quasi musicales dans leur clarté laconique, aidés en cela par leurs complices de jeu [...].
Sud Ouest
par Sophie Avon
Il y a de l'anticipation et de la poésie dans cette fable écologique qui n'en est pas moins romantique, où chaque personnage est dessiné avec finesse.
Voici
par La Rédaction
On aime beaucoup.
CinemaTeaser
par Perrine Quennesson
Avec sa fable écologiste et existentialiste, Olivier Babinet livre un film d’anticipation lo-fi tendre et réflexif.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Culturopoing.com
par Emmanuel Le Gagne
"Poissonssexe" s’inscrit dans une veine assumée de la rom-com contemporaine. Les codes de la comédie sentimentale hollywoodienne sont intelligemment réactivés à l’intérieur d’une dystopie décalée et nonchalante, prenant appui sur des thèses très crédibles.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Femme Actuelle
par Sabrina Nadjar
Un récit étrange, parfois dérangeant, gris et froid, mais hélas pas si irréaliste que ça.
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Le film séduit par l’univers décalé et pourtant familier qu’il fait surgir. Mais peu à peu le scénario tourne en rond, répète des motifs comme l’attroupement des scientifiques autour du bocal d’Adam et Ève, et ce qui paraissait drôle et émouvant devient trop appuyé.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Clarisse Fabre
Le charme de Poissonsexe tient à sa grande liberté et à sa fantaisie (...).
Les Fiches du Cinéma
par Clément Deleschaud
Film-valise (à l’image de son titre), "Poissonsexe" hésite entre la comédie romantique, la sotie écolo et le film de déprime péri-urbain. Si cette indécision séduit, elle confère aussi au film une légère forme d’inconséquence - "Poissonsexe" tire à vue, mais à blanc.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Télé 7 Jours
par La rédaction
Une comédie tendre et écologique.
Télérama
par Samuel Douhaire
(...) cette histoire d’un biologiste solitaire qui cherche à réveiller la libido des poissons en voie de disparition, tout en étant hanté par le désir d’être père, ne tient pas toutes ses promesses. La faute à un rythme trop indolent et à un équilibre instable entre humour (parfois scabreux) et émotion. Restent de jolies scènes oniriques et le plaisir de retrouver India Hair (...).
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Cyril Jacquens
Après quatre ans d’absence sur grand écran, Poissonsexe marque le retour d’Olivier Babinet et de son univers poétique, fantasque. Une grande bouffée d’oxygène, mais pas que...
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Fernando Ganzo
Parmi les éléments un peu factices, juxtaposés comme les accessoires d’un décor d’aquarium, surnage India Hair. Son burlesque minimaliste, son air de sortir du fin fond du plan et du film ne l’empêchent pas d’en devenir le point focal, l’ancrage le plus profond.
Libération
par Sandra Onana
On regrette pourtant qu’Olivier Babinet n’ait pas fignolé davantage le surréalisme de cette fantaisie d’éprouvette, où la dérision se promène sans tonus, comme coupée à l’eau sous l’influence de ses personnages neurasthéniques.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Thierry Chèze
La douce dinguerie de cette fable séduit donc, d’autant plus qu’elle est portée par deux merveilleux comédiens (Gustave Kervern et India Hair). Mais sur la longueur, le film a tendance à laisser un certain réalisme le gangrener.
La critique complète est disponible sur le site Première
L'Obs
par Nicolas Schaller
Les idées manquent, le ton est vague, le rythme, vaseux, et rien ne surnage. Dommage pour la poétique India Hair, sous-exploitée, face à un Gustave Kervern en mode mollusque.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Olivier Babinet, réalisateur du très prometteur "Swagger", se perd dans une dystopie écologique embarrassante.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
BIBA
"Poissonsexe" est un film magnifique : à la fois drôle, irréel, poétique et à l'image et à la musique hypnotiques.
20 Minutes
Alors que sa vie sentimentale tourne au fiasco et que sa dépression s’aggrave, la découverte d’un axolotl, adorable salamandre marine qui ressemble à un Pokémon vivant, l’aide à retrouver le chemin de l’optimisme et de l’amour. Cettte drôle de créature est à l’image du film : aussi touchante qu’attachante.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Scientifique romance, Poissonsexe trouve sa place dans le cinéma, quelque part entre Vincent n’a pas d’écailles de Thomas Salvador, film de superhéros ordinaire avec un homme-poisson amoureux, et Little Joe de Jessica Hausner, semant une plante du bonheur.
Le Dauphiné Libéré
Le très singulier Olivier Babinet ( Robert Mitchum est mort, Swagger ) ne se noie pas dans la fable écologique alarmiste : il déploie son romantisme étonnant dans une sorte de dystopie paisible enregistrant l’engloutissement d’un monde où les survivants cherchent l’amour.
Le Journal du Dimanche
Derrière les situations farfelues se dessine un propos écologique, technologique et humain pertinent. On s'attache à ces personnages paumés sauvés par la tendresse, avec un poétique Gustave Kervern bien dans son élément. Réjouissant.
Le Parisien
Au milieu de scientifiques cyniques et d'autres personnages un peu bas de plafond, Daniel fait partie d'une espèce en voie de disparition : les romantiques. Le décalage entre ce spécimen rare et son milieu crée des situations très drôles et on se laisse charmer de bout en bout par cette romance poétique incarnée par un Gustave Kervern très touchant (...).
Marianne
Dans Poissonsexe, Olivier Babinet aborde des thèmes qui n’ont a priori rien de frivole, mais il ne se départit jamais d’une légèreté de ton et d’un humour décalé donnant tout son prix à ce « petit » film qui, malgré ses longueurs, en vaut bien des grands.
Marie Claire
Une dystopie aquatique au romantisme doux-amer aussi drôle que poétique.
Ouest France
Une comédie réjouissante.
Positif
[...] les acteurs, mêlant un physique atypique à leur capacité d’élan romanesque, sont essentiels à la réussite du film ; ils se délectent d’un dialogue parcimonieux, auquel ils prêtent des intonations quasi musicales dans leur clarté laconique, aidés en cela par leurs complices de jeu [...].
Sud Ouest
Il y a de l'anticipation et de la poésie dans cette fable écologique qui n'en est pas moins romantique, où chaque personnage est dessiné avec finesse.
Voici
On aime beaucoup.
CinemaTeaser
Avec sa fable écologiste et existentialiste, Olivier Babinet livre un film d’anticipation lo-fi tendre et réflexif.
Culturopoing.com
"Poissonssexe" s’inscrit dans une veine assumée de la rom-com contemporaine. Les codes de la comédie sentimentale hollywoodienne sont intelligemment réactivés à l’intérieur d’une dystopie décalée et nonchalante, prenant appui sur des thèses très crédibles.
Femme Actuelle
Un récit étrange, parfois dérangeant, gris et froid, mais hélas pas si irréaliste que ça.
La Croix
Le film séduit par l’univers décalé et pourtant familier qu’il fait surgir. Mais peu à peu le scénario tourne en rond, répète des motifs comme l’attroupement des scientifiques autour du bocal d’Adam et Ève, et ce qui paraissait drôle et émouvant devient trop appuyé.
Le Monde
Le charme de Poissonsexe tient à sa grande liberté et à sa fantaisie (...).
Les Fiches du Cinéma
Film-valise (à l’image de son titre), "Poissonsexe" hésite entre la comédie romantique, la sotie écolo et le film de déprime péri-urbain. Si cette indécision séduit, elle confère aussi au film une légère forme d’inconséquence - "Poissonsexe" tire à vue, mais à blanc.
Télé 7 Jours
Une comédie tendre et écologique.
Télérama
(...) cette histoire d’un biologiste solitaire qui cherche à réveiller la libido des poissons en voie de disparition, tout en étant hanté par le désir d’être père, ne tient pas toutes ses promesses. La faute à un rythme trop indolent et à un équilibre instable entre humour (parfois scabreux) et émotion. Restent de jolies scènes oniriques et le plaisir de retrouver India Hair (...).
aVoir-aLire.com
Après quatre ans d’absence sur grand écran, Poissonsexe marque le retour d’Olivier Babinet et de son univers poétique, fantasque. Une grande bouffée d’oxygène, mais pas que...
Cahiers du Cinéma
Parmi les éléments un peu factices, juxtaposés comme les accessoires d’un décor d’aquarium, surnage India Hair. Son burlesque minimaliste, son air de sortir du fin fond du plan et du film ne l’empêchent pas d’en devenir le point focal, l’ancrage le plus profond.
Libération
On regrette pourtant qu’Olivier Babinet n’ait pas fignolé davantage le surréalisme de cette fantaisie d’éprouvette, où la dérision se promène sans tonus, comme coupée à l’eau sous l’influence de ses personnages neurasthéniques.
Première
La douce dinguerie de cette fable séduit donc, d’autant plus qu’elle est portée par deux merveilleux comédiens (Gustave Kervern et India Hair). Mais sur la longueur, le film a tendance à laisser un certain réalisme le gangrener.
L'Obs
Les idées manquent, le ton est vague, le rythme, vaseux, et rien ne surnage. Dommage pour la poétique India Hair, sous-exploitée, face à un Gustave Kervern en mode mollusque.
Les Inrockuptibles
Olivier Babinet, réalisateur du très prometteur "Swagger", se perd dans une dystopie écologique embarrassante.