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Adelme d'Otrante
176 abonnés
1 145 critiques
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1,5
Publiée le 25 avril 2019
Les points positifs de ce film sont son coût : 80000€, sa façon de le financer loin du CNC, sa forme : expérimentale et libre et surtout sa musique : celle de Laurent Garnier. Pour le reste il faut avoir envie de se taper 1H30 de pensées pseudo-philosophiques d'une indigence absolue qui pourraient faire passer Paulo Coehlo pour du Nietzche, et un jeu d'acteur particulièrement irritant, sans doute volontairement improvisé, du moins je l'espère sinon c'est grave. En fait le seul personnage tirant son épingle du jeu est Paris (et sa population) et c'est la seule bonne idée du film.
Quel film étrange! Je n'ai pas compris la majorité et ce n'est pas parce que je parle le néerlandais. Ça a bien commencé, il y avait des sujets d'actualité: le terrorisme entre autres. Mais c'est aussi le seul commentaire positif. Je n’ai pas aimé les techniques du film, la performance était faible et il n’y avait pas de scénario. L'histoire contient de nombreux détails qui ne sont pas liés. Enfin: il ne faut pas regarder.
Ce film est ennuyant à mourir. La façon de filmer est insupportable et donne la gerbe au bout de quelques de minutes de visionnage. Sans parler du charisme inexistant des acteurs... Film prétentieux, Et inintéressant.
Le film n’est réellement intéressant que par son processus de création et tout le bruit qu’il y a eu autour. Autrement, le concentré de métaphores arty-intello mélangé à l’histoire qui tire un peu en longueur malgré ses 1h24 résulte en un gros pétard mouillé.
Je viens de perdre 1h25 de ma vie. On se croirait dans un mélange entre une pub H&M et un clip de fauve mettant en scène un couple de bobo blanc dépressif sans problème mais qui trouve le moyen de s´en inventer et le tout à travers un Paris faussement représentatif. Bref, ce « film » m’a seulement donné envie de prendre 3 xanax et de résilier mon compte netflix
Mélange entre docu-fiction (scènes tournées en pleine rue et durant des manifestations réelles : Fête de la Musique, Nuit Debout, Je suis Charlie, enterrement de Johnny...) et onirisme psychédélique (de loin les scènes les plus réussies du film), on a malgré tout du mal à ne pas s'endormir devant 1h30 de "je t'aime moi non plus, mais c'est quoi la vie" dont le seul message à retenir serait qu'il faut en profiter un maximum car tout peut s'arrêter du jour au lendemain.
Financé par crowdfunding (ce que les auteurs rappellent chaleureusement à la fin), on ne peut nier la sincérité évidente de Elizabeth Vogler, sa manière très personnelle de filmer, le jeu naturel des acteurs, la belle photographie et le travail intéressant de soundesign, mais un moyen-métrage de 40 minutes maximum aurait été largement suffisant pour ce type d'oeuvre.
Peut etre, de mon expérience, un peu trop vendu comme un film sur Paris ou comme un regard personnel sur les événements parisiens récents, le film est avant tout centré sur les psychoses du personnage principal. Très propre à l'écran, j'en sors au final séduit par la manière dont les événements servent de décor aux errements du personnage (même si certains événement comme "Nuit debout" aurait put être l'occasion d'un lien ou au moins d'une contextualisation un peu plus poussé à mon gout). Il est sur que ce discours à la Fauve (sans avoir réellement toujours sa puissance) peut faire soupirer à certains moments dans la mise en scène ou dans le texte d'un côté un peu trop "je veux me la ramener avec un discours pas toujours bien novateur", tout comme la mise en scène très personnel du réal, mais au moins c'est une oeuvre entière et très personnelle.
L'inspiration de Terrence Malick est évidente, mais le film trouve néanmoins sa propre identité sa propre émotion son propre souffle. Une belle envolée dans une quête d'amour et de recherche de soi dans une atmosphère sociale parisienne battant au même cœur que le personnage principal.
Film vide, prétentieux, écrit par un ou une abrutie tellement le scénario est mauvais et la narration aux fraises. Les dialogues ne mènent nulle part. La structure du film est complètement insensée et se donne de faux airs de film intelligent et profond. Une photographie et des plans plagiés sur Terrence Malick. La liste est encore longue...autant que l'impression sur la durée du film alors qu'en réalité il ne dure qu'une heure vingt. Vraiment aucun intérêt, c'est du gros caca.
Points positifs : bien filmé, sens esthétique, belles images. Points négatifs : tout le reste. Chiant, long, inepte, les errances sentimentales et affectives de l'actrice principale ne nous font ni chaud ni froid. Elle surjoue, on est presque dans du cinéma expérimental, avec tout le négatif que ça comporte. Ça se veut sensible et profond, c'est pédant et intello. Dommage.
Quand le projet fit son apparition sur les réseaux sociaux, j'avais été séduit par l'intention de ses porteurs et leur envie de faire un film résolument contemporain et nouveau. Comme quelques uns, j'ai fait partie des "crowfunders" et j'ai suivi avec envie toutes les étapes, le recueil des fonds, les actualités sur le film, etc. Quand le film a été (enfin) annoncé, première déception : le film ne sortirait pas en salles mais serait réservé au canal Netflix. J'aime bien Netflix mais pour un film ayant la vocation d'être représentatif de la jeunesse, je trouve que ça se conjugue mal avec le côté exclusif et payant du système... Déception moindre par rapport à celle que j'ai eue quand j'ai visionné ce film ou plutôt, devrais-je dire, subi ce film (est-ce un film ?). Les commentaires rédigées ici avec beaucoup d'application en disent long et je ne vais pas les répéter mais juste en faire une synthèse : un film longuet, pédant, ennuyeux, brouillon, incompréhensible, dénué de tout fil conducteur et d'histoire, prétentieux par ses effets faussement artistiques et frappé d'incontinence verbale, limite diarrhéique, déversant à rallonge des inepties vaguement psycho-philosophiques dignes des pires magazines de seconde zone. En somme, un raté artistique, une injure à l'égard du cinéma français, une entorse à la beauté de Paris et à la culture française... et enfin, une trahison totale vis-à-vis de ceux qui, comme moi, ont sorti de l'argent pour promouvoir sa création et aider un projet artistique pour se retrouver les dindons de la farce !
À fuir Associe différents plans de Paris ces 4 dernières années dans cohérence. Et si cela avait pour but de faire la promotion de la capitale sur ce média international qu'est Netflix, c'est complètement raté vu le nombre de scènes anxiogène mis bout à bout. À fuir donc
Ouverte a la nouveauté cinématographique et aux réalisations hors normes, ce film a attiré ma curiosité, mais très vite je me suis ennuyée et j'ai vraiment peiné à le regarder jusqu'au bout . Le pitch est interessant mais il est très mal abordé. Pas de scènario construit. une réalisation décousue et d'une lenteur. Des personnages sans émotions ou des acteurs qui se regardent le nombril ...Une voix off omniprésente avec des discours philosophiques de comptoir .. un manque total de vrais dialogues. Un message sur la place des jeunes dans la société a mon sens erroné . Bref ce film n' aucun intérêt si ce n'est quelques belles images placées un peu au hasard sans vraiment donner de sens au film dans son ensemble. Tout aurait pu être résumé dans un court métrage de 15 min ....