Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
37 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Le film Ouistreham est un miracle de cinéma social dans la lignée d’un Ken Loach.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Positif
par Frédéric Mercier
Carrère invente un film ambigu, à la lisière de plusieurs mondes, sur le fil, un film-funambule ouvert à des perspectives vertigineuses. Mais ce qui est peut-être le plus sûrement documenté dans ce long métrage bouleversant et simple à la fois, c’est l’écart, l’étanchéité entre les milieux sociaux, l’écart entre le réel et sa mise en forme artistique, l’écart entre la précarité et ceux qui n’en souffrent pas, l’écart entre deux réalités parallèles, le monde des écrivains et celui des femmes de ménage.
Bande à part
par Isabelle Danel
POUR : Le film mené par une Juliette Binoche juste et effacée, fait la part belle à ces femmes de l’ombre.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Culturopoing.com
par Maryline Alligier
Emmanuel Carrère déporte le portrait documentaire vers l'intime [...] "Ouistreham" est en cela une ode à la vérité de la fiction [...] un film, par sa justesse et son questionnement, nécessaire, profond et lumineux.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Un puissant témoignage.
Elle
par La Rédaction
Un film poignant.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Femme Actuelle
par La Rédaction
Même s'il les résume beaucoup, le film ne trahit pas les réalités décrites dans le livre et sert fort bien le propos d'origine. Edifiant.
L'Humanité
par Sophie Joubert
Cheminant sur une ligne de crête entre fiction et documentaire, Emmanuel Carrère filme, avec des actrices non professionnelles saisissantes de justesse, les gestes répétitifs qui usent prématurément les corps, les journées fragmentées qui détruisent les vies de famille mais aussi l’humanité, la solidarité de ce chœur de femmes.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Sophie Grassin
On portera ce choix au crédit du film, qui parvient à dresser un portrait des damnés du libéralisme voués à marner sans jamais protester : « Ne cherchez pas à faire l’éducation de ceux qui en ont plus que vous. »
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Emmanuel Carrère est habile à rendre compte de la précarité, avec un réalisme social sombre. Autour de Juliette Binoche, la star du film, double de cinéma de la journaliste Florence Aubenas, il est allé chercher des non-professionnelles, qui ont travaillé avec acharnement pour insuffler de la vie au scénario.
Le Figaro
par Eric Neuhoff
L’actrice incarne à la perfection une journaliste infiltrée sur les ferrys parmi les femmes de ménage.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphane Joby
Au-delà du drame social à la Ken Loach qu’ébauchent les premières scènes, il creuse son attrait pour le mensonge et la duplicité en fictionnant les états d’âme de son héroïne, coincée dans une relation qui ne peut que tourner à la trahison.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par La Rédaction
Si le film est si fort, c’est qu’outre la prestation remarquable de la Juliette Binoche dans le rôle de Marianne/Florence, le réalisateur a eu l’idée d’embaucher en têtes d’affiche de véritables travailleuses locales, qui y jouent leur propre rôle, donnant à son œuvre un incroyable vernis d’authenticité.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Florence Colombani
Une dénonciation vigoureuse de la vie de ces femmes de ménage.
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Singulier, « Ouistreham » est à la fois un film social puissant et une œuvre infiniment personnelle.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Marie Claire
par Emily Barnett
Un film intelligent, complexe et parfois retors, grâce au jeu naturaliste d'une Juliette Binoche qui n'en fait jamais trop, tout en malmenant son statut de star avec un plaisir certain.
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Un film utile, proche du documentaire, poignant et instructif (...).
Transfuge
par Serge Kaganski
Le jeu d’infiltration de Binoche-Winckler est passionnant car il ménage du suspens et soulève plein de questions [...]. Carrère affronte ces doutes et monte en puissance dans les dernières scènes du film, admirables.
Télé 2 semaines
par Marc Arlin
Librement adapté du récit de Florence Aubenas, Le Quai de Ouistreham, le film d'Emmanuel Carrère émeut et interroge la place de ces « invisibles » dans la société moderne.
Télé Loisirs
par Marc Arlin
Guidées par une Juliette Binoche convaincante, les autres comédiennes, non professionnelles, sont épatantes !
Télérama
par Louis Guichard
Au livre d’origine, le film superpose le paradoxe de la comédienne qui incarne Marianne, Juliette Binoche. Dans l’épure totale, entourée de non-professionnels remarquables, elle trouve là l’un de ses rôles les plus marquants (...).
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
Le regard empathique et les états d'âme de son héroïne-star arrondissent un peu l'angle de vue sur la brutale réalité que montre le film, avec émotion et sans misérabilisme, porté par un casting bluffant.
Cahiers du Cinéma
par Marcos Uzal
Ouistreham a ainsi le mérite de ne jamais valider une artificielle réconciliation sociale : ce grand sujet du cinéma français est ici soit le résultat d’un mensonge soit un échec. Même s’il n’est pas sans défaut et qu’il se maintient dans une forme très sage, ce film se coltine une vérité du cinéma : on n’accède jamais directement à l’autre.
Ecran Large
par La Rédaction
Le film reste néanmoins une étude sociologique assez passionnante, mais dont l’ambivalence du point de vue étouffe un peu l’émotion.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Franceinfo Culture
par Lorenzo Ciavarini Azzi
Si l'adaptation du livre de Florence Aubenas – qui a mis longtemps à accepter de céder ses droits – se veut une œuvre de fiction et intègre de nouveaux éléments dans l'histoire, Emmanuel Carrère ne s'éloigne pas beaucoup, en réalité, d'un traitement documentaire. On aurait pu attendre un parti pris plus audacieux de mise en scène pour faire décoller la réalisation au niveau cinématographique.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
La Croix
par Céline Rouden
Si le film est centré sur Marianne, l’héroïne et la narratrice, l’actrice trouve le juste équilibre en parvenant à s’effacer suffisamment pour faire exister chacun des personnages qui l’entourent.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Ouistreham a une fâcheuse tendance à corrompre l’écrivaine qu’il prétend admirer, et a parfois l’air de se faire secrètement contre elle, jusqu’à une fin qui profite malhonnêtement de la fiction pour se la payer assez durement.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Sandra Onana
Pas du tout dénué de mérites, Ouistreham se distingue surtout par son souci de ne trahir personne quand il chemine dans son paradoxe selon lequel il serait possible de mentir sans tricher.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Yannick Vely
Plus qu’un film coup de poing sur la France d'en bas, «Ouistreham» raconte surtout l’impossible dissimulation de sa classe sociale, le simulacre (pour reprendre un titre d’un roman de Philip K. Dick) d’une fraternité universelle.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Frédéric Foubert
Le film révèle au passage une actrice non-professionnelle stupéfiante, Hélène Lambert, qui tient la dragée haute à Binoche dans le rôle de l’amie trahie. Le genre d’apparition miraculeuse qui, pour le coup, ne peut arriver qu’au cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Sophie Avon
Si Marianne Winckler n’est plus tout à fait Florence Aubenas, elle se rapproche d’Emmanuel Carrère qui saisit immédiatement chez ces femmes leur héroïsme, au sens le plus romanesque du terme. Il ne s’agit pas d’en faire des super women, mais des personnages de plein droit. Qui rigolent, qui aiment, qui rêvent...
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Les actrices, presque toutes non-professionnelles, apportent vérité, justesse et humour à un film qui aurait mérité un scénario plus tenu.
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Une adaptation efficace et soignée de l’ouvrage de Florence Aubenas. Emmanuel Carrère trouve un juste équilibre entre le ton documentaire et l’émotion fictionnelle, et offre un bon rôle de maturité à Juliette Binoche.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Bande à part
par Benoit Basirico
CONTRE : Au-delà de l’excès de fictionnalisation, le plus gênant est le sentiment binaire de deux mondes irréconciliables, le réel et la fiction, la précarité et le confort, à jamais dissociés. Le film échoue à dépeindre une utopie, sans non plus parvenir à transmettre un désarroi.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Critikat.com
par Bastien Gens
Sans jamais être le grand film social attendu, Ouistreham parvient, par instants, à distiller un trouble.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
En voulant dénoncer l'aliénation des femmes de ménage, Emmanuel Carrère éclipse son sujet.
Les Fiches du Cinéma
par Thomas Fouet
En adaptant l’ouvrage de F. Aubenas, E. Carrère aborde maladroitement des sujets pourtant passionnants - l’éthique de l’écrivain, l’impossible rencontre entre les classes.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
20 Minutes
Le film Ouistreham est un miracle de cinéma social dans la lignée d’un Ken Loach.
Positif
Carrère invente un film ambigu, à la lisière de plusieurs mondes, sur le fil, un film-funambule ouvert à des perspectives vertigineuses. Mais ce qui est peut-être le plus sûrement documenté dans ce long métrage bouleversant et simple à la fois, c’est l’écart, l’étanchéité entre les milieux sociaux, l’écart entre le réel et sa mise en forme artistique, l’écart entre la précarité et ceux qui n’en souffrent pas, l’écart entre deux réalités parallèles, le monde des écrivains et celui des femmes de ménage.
Bande à part
POUR : Le film mené par une Juliette Binoche juste et effacée, fait la part belle à ces femmes de l’ombre.
Culturopoing.com
Emmanuel Carrère déporte le portrait documentaire vers l'intime [...] "Ouistreham" est en cela une ode à la vérité de la fiction [...] un film, par sa justesse et son questionnement, nécessaire, profond et lumineux.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Un puissant témoignage.
Elle
Un film poignant.
Femme Actuelle
Même s'il les résume beaucoup, le film ne trahit pas les réalités décrites dans le livre et sert fort bien le propos d'origine. Edifiant.
L'Humanité
Cheminant sur une ligne de crête entre fiction et documentaire, Emmanuel Carrère filme, avec des actrices non professionnelles saisissantes de justesse, les gestes répétitifs qui usent prématurément les corps, les journées fragmentées qui détruisent les vies de famille mais aussi l’humanité, la solidarité de ce chœur de femmes.
L'Obs
On portera ce choix au crédit du film, qui parvient à dresser un portrait des damnés du libéralisme voués à marner sans jamais protester : « Ne cherchez pas à faire l’éducation de ceux qui en ont plus que vous. »
Le Dauphiné Libéré
Emmanuel Carrère est habile à rendre compte de la précarité, avec un réalisme social sombre. Autour de Juliette Binoche, la star du film, double de cinéma de la journaliste Florence Aubenas, il est allé chercher des non-professionnelles, qui ont travaillé avec acharnement pour insuffler de la vie au scénario.
Le Figaro
L’actrice incarne à la perfection une journaliste infiltrée sur les ferrys parmi les femmes de ménage.
Le Journal du Dimanche
Au-delà du drame social à la Ken Loach qu’ébauchent les premières scènes, il creuse son attrait pour le mensonge et la duplicité en fictionnant les états d’âme de son héroïne, coincée dans une relation qui ne peut que tourner à la trahison.
Le Parisien
Si le film est si fort, c’est qu’outre la prestation remarquable de la Juliette Binoche dans le rôle de Marianne/Florence, le réalisateur a eu l’idée d’embaucher en têtes d’affiche de véritables travailleuses locales, qui y jouent leur propre rôle, donnant à son œuvre un incroyable vernis d’authenticité.
Le Point
Une dénonciation vigoureuse de la vie de ces femmes de ménage.
Les Echos
Singulier, « Ouistreham » est à la fois un film social puissant et une œuvre infiniment personnelle.
Marie Claire
Un film intelligent, complexe et parfois retors, grâce au jeu naturaliste d'une Juliette Binoche qui n'en fait jamais trop, tout en malmenant son statut de star avec un plaisir certain.
Ouest France
Un film utile, proche du documentaire, poignant et instructif (...).
Transfuge
Le jeu d’infiltration de Binoche-Winckler est passionnant car il ménage du suspens et soulève plein de questions [...]. Carrère affronte ces doutes et monte en puissance dans les dernières scènes du film, admirables.
Télé 2 semaines
Librement adapté du récit de Florence Aubenas, Le Quai de Ouistreham, le film d'Emmanuel Carrère émeut et interroge la place de ces « invisibles » dans la société moderne.
Télé Loisirs
Guidées par une Juliette Binoche convaincante, les autres comédiennes, non professionnelles, sont épatantes !
Télérama
Au livre d’origine, le film superpose le paradoxe de la comédienne qui incarne Marianne, Juliette Binoche. Dans l’épure totale, entourée de non-professionnels remarquables, elle trouve là l’un de ses rôles les plus marquants (...).
Voici
Le regard empathique et les états d'âme de son héroïne-star arrondissent un peu l'angle de vue sur la brutale réalité que montre le film, avec émotion et sans misérabilisme, porté par un casting bluffant.
Cahiers du Cinéma
Ouistreham a ainsi le mérite de ne jamais valider une artificielle réconciliation sociale : ce grand sujet du cinéma français est ici soit le résultat d’un mensonge soit un échec. Même s’il n’est pas sans défaut et qu’il se maintient dans une forme très sage, ce film se coltine une vérité du cinéma : on n’accède jamais directement à l’autre.
Ecran Large
Le film reste néanmoins une étude sociologique assez passionnante, mais dont l’ambivalence du point de vue étouffe un peu l’émotion.
Franceinfo Culture
Si l'adaptation du livre de Florence Aubenas – qui a mis longtemps à accepter de céder ses droits – se veut une œuvre de fiction et intègre de nouveaux éléments dans l'histoire, Emmanuel Carrère ne s'éloigne pas beaucoup, en réalité, d'un traitement documentaire. On aurait pu attendre un parti pris plus audacieux de mise en scène pour faire décoller la réalisation au niveau cinématographique.
La Croix
Si le film est centré sur Marianne, l’héroïne et la narratrice, l’actrice trouve le juste équilibre en parvenant à s’effacer suffisamment pour faire exister chacun des personnages qui l’entourent.
Les Inrockuptibles
Ouistreham a une fâcheuse tendance à corrompre l’écrivaine qu’il prétend admirer, et a parfois l’air de se faire secrètement contre elle, jusqu’à une fin qui profite malhonnêtement de la fiction pour se la payer assez durement.
Libération
Pas du tout dénué de mérites, Ouistreham se distingue surtout par son souci de ne trahir personne quand il chemine dans son paradoxe selon lequel il serait possible de mentir sans tricher.
Paris Match
Plus qu’un film coup de poing sur la France d'en bas, «Ouistreham» raconte surtout l’impossible dissimulation de sa classe sociale, le simulacre (pour reprendre un titre d’un roman de Philip K. Dick) d’une fraternité universelle.
Première
Le film révèle au passage une actrice non-professionnelle stupéfiante, Hélène Lambert, qui tient la dragée haute à Binoche dans le rôle de l’amie trahie. Le genre d’apparition miraculeuse qui, pour le coup, ne peut arriver qu’au cinéma.
Sud Ouest
Si Marianne Winckler n’est plus tout à fait Florence Aubenas, elle se rapproche d’Emmanuel Carrère qui saisit immédiatement chez ces femmes leur héroïsme, au sens le plus romanesque du terme. Il ne s’agit pas d’en faire des super women, mais des personnages de plein droit. Qui rigolent, qui aiment, qui rêvent...
Télé 7 Jours
Les actrices, presque toutes non-professionnelles, apportent vérité, justesse et humour à un film qui aurait mérité un scénario plus tenu.
aVoir-aLire.com
Une adaptation efficace et soignée de l’ouvrage de Florence Aubenas. Emmanuel Carrère trouve un juste équilibre entre le ton documentaire et l’émotion fictionnelle, et offre un bon rôle de maturité à Juliette Binoche.
Bande à part
CONTRE : Au-delà de l’excès de fictionnalisation, le plus gênant est le sentiment binaire de deux mondes irréconciliables, le réel et la fiction, la précarité et le confort, à jamais dissociés. Le film échoue à dépeindre une utopie, sans non plus parvenir à transmettre un désarroi.
Critikat.com
Sans jamais être le grand film social attendu, Ouistreham parvient, par instants, à distiller un trouble.
Le Monde
En voulant dénoncer l'aliénation des femmes de ménage, Emmanuel Carrère éclipse son sujet.
Les Fiches du Cinéma
En adaptant l’ouvrage de F. Aubenas, E. Carrère aborde maladroitement des sujets pourtant passionnants - l’éthique de l’écrivain, l’impossible rencontre entre les classes.