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La dramaturgie maintient le récit dans un état de tension constant, trace sa propre voie sans se soucier des barrières entre bis et approche auteuriste.
Mais c’est la mise en scène qui emporte l’adhésion, conjuguant une direction d’acteurs précise et convaincante avec un vrai panache visuel : sens épique des paysages naturels – tournés au Canada, avec notamment une scène de précipice qui nous ramène au pur plaisir physique de la série B –, climax nocturne flamboyant et quasi fantastique…
Si "L'État sauvage" ne convainc pas sur le fond, trop schématique, trop fourni et en même temps pas suffisamment traité, il montre une belle ambition de mise en scène et une réelle envie de sortir le cinéma français de son carcan parisien et/ou réaliste.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
On peut surtout remercier David Perrault de ne pas nous avoir resservi un énième western crépusculaire, tarte à la crème d’un genre épuisé, mais, pour une fois, un western véritablement « étranger », c’est-à-dire venu d’ailleurs.
[...] le réalisateur français David Perrault confirme son talent singulier et sa cinéphilie, avec ce film étrange, western sous références mais aussi très original qui fait le lien entre le romantisme européen et le mythe du Grand Ouest.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
L'"Etat sauvage" est d’abord celui de la jeune et vierge Esther (Alice Isaaz, magnifique), aux prises avec toutes les violences, mais aussi avec son attirance irrésistible pour le mercenaire. Là encore, la romance avec ce viril personnage évoque un ressort de scénario quelque peu forcé.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Si L'Etat sauvage a le mérite de choisir un prisme original et féminin pour revisiter le western, il se perd dans une narration un peu trop superficielle. Reste une esthétique marquante et une troupe d'excellentes actrices.
Certains partis pris, comme les masques qui rendent abstraits les membres d’un gang à la poursuite de Victor, frisent même le ridicule, ainsi que certaines scènes, dont l’une au péril surfait où les femmes doivent longer un chariot bloqué au bord d’une falaise. Néanmoins, L’état sauvage s’impose comme un film ambitieux.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
David Perrault soigne sa mise en scène, cédant parfois à des afféteries agaçantes, mais ces beaux atours peinent à masquer l’inconsistance du scénario.
On ne demanderait pas mieux que de se laisser embarquer par ce western féministe qui se déroule pendant la guerre de Sécession. Mais très vite, il sent la copie laborieuse, sans imagination personnelle, sans souffle mais gorgée de poncifs.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Ce dont souffre le plus ce film, c’est d'un terrible esprit de sérieux qui ligote ses personnages, corps dévitalisés dont les mines sévères et les paroles emphatiques frisent souvent le ridicule. Au-dedans comme au-dehors, rien ne respire.
L’intrigue pâtit de dialogues assez plats qui viennent même gâcher les scènes clés les plus prometteuses comme celle du passage de la diligence au-dessus de la falaise. Quel dommage !
La critique complète est disponible sur le site Première
L'Express
Des personnages d'une complexité rare pour un film qui se vit comme une véritable expérience sensorielle. Un tour de force cinématographique.
20 Minutes
Le réalisateur David Perrault signe un film d’aventures à la fois intimiste et spectaculaire.
BIBA
Du grand spectacle, à voir sur grand écran.
Cahiers du Cinéma
Malgré quelques réserves, L’état sauvage est un exemple de beau film populaire, toujours respectueux de son spectateur.
L'Ecran Fantastique
L’épilogue [...] achève de confirmer l’ambition revigorante de cette œuvre envoûtante.
Mad Movies
La dramaturgie maintient le récit dans un état de tension constant, trace sa propre voie sans se soucier des barrières entre bis et approche auteuriste.
Positif
Mais c’est la mise en scène qui emporte l’adhésion, conjuguant une direction d’acteurs précise et convaincante avec un vrai panache visuel : sens épique des paysages naturels – tournés au Canada, avec notamment une scène de précipice qui nous ramène au pur plaisir physique de la série B –, climax nocturne flamboyant et quasi fantastique…
Ecran Large
Si "L'État sauvage" ne convainc pas sur le fond, trop schématique, trop fourni et en même temps pas suffisamment traité, il montre une belle ambition de mise en scène et une réelle envie de sortir le cinéma français de son carcan parisien et/ou réaliste.
Le Monde
On peut surtout remercier David Perrault de ne pas nous avoir resservi un énième western crépusculaire, tarte à la crème d’un genre épuisé, mais, pour une fois, un western véritablement « étranger », c’est-à-dire venu d’ailleurs.
Paris Match
[...] le réalisateur français David Perrault confirme son talent singulier et sa cinéphilie, avec ce film étrange, western sous références mais aussi très original qui fait le lien entre le romantisme européen et le mythe du Grand Ouest.
Télérama
L'"Etat sauvage" est d’abord celui de la jeune et vierge Esther (Alice Isaaz, magnifique), aux prises avec toutes les violences, mais aussi avec son attirance irrésistible pour le mercenaire. Là encore, la romance avec ce viril personnage évoque un ressort de scénario quelque peu forcé.
Voici
Si L'Etat sauvage a le mérite de choisir un prisme original et féminin pour revisiter le western, il se perd dans une narration un peu trop superficielle. Reste une esthétique marquante et une troupe d'excellentes actrices.
CinemaTeaser
L'ambiance est là, l'esthétique aussi, mais le scénario a sapé notre enthousiasme.
La Croix
Certains partis pris, comme les masques qui rendent abstraits les membres d’un gang à la poursuite de Victor, frisent même le ridicule, ainsi que certaines scènes, dont l’une au péril surfait où les femmes doivent longer un chariot bloqué au bord d’une falaise. Néanmoins, L’état sauvage s’impose comme un film ambitieux.
Le Journal du Dimanche
David Perrault soigne sa mise en scène, cédant parfois à des afféteries agaçantes, mais ces beaux atours peinent à masquer l’inconsistance du scénario.
Les Fiches du Cinéma
Un western au féminin assez boursouflé, dont le discours sur l'émancipation est excessivement rhétorique.
Libération
Trop sentencieux, le film de David Perrault sur une famille française tentant de fuir la guerre civile américaine épuise par son lyrisme de façade.
Ouest France
David Perrault s'aventure dans un très ambitieux projet de western qui ploie hélas sous les références et se regarde trop filmer pour convaincre.
L'Obs
A force de vouloir faire « artistique », ça sent l’huile de coude, la sueur au front et la prétention tocarde.
Le Figaro
On ne demanderait pas mieux que de se laisser embarquer par ce western féministe qui se déroule pendant la guerre de Sécession. Mais très vite, il sent la copie laborieuse, sans imagination personnelle, sans souffle mais gorgée de poncifs.
Les Inrockuptibles
Ce dont souffre le plus ce film, c’est d'un terrible esprit de sérieux qui ligote ses personnages, corps dévitalisés dont les mines sévères et les paroles emphatiques frisent souvent le ridicule. Au-dedans comme au-dehors, rien ne respire.
Première
L’intrigue pâtit de dialogues assez plats qui viennent même gâcher les scènes clés les plus prometteuses comme celle du passage de la diligence au-dessus de la falaise. Quel dommage !