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CharlieFirpo83
4 abonnés
71 critiques
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0,5
Publiée le 27 février 2021
film sans aucu n intérêt....c est mou..cest long...les acteurs ont l'air de s'endormir eux même... klapish essaye de nous captiver avec les petits soucis de deux trentenaires dont on.se fout au final royalement....je pense que même les parisiens ou des gens d autres grandes villes de cet âge seuls ne s'y reconnaissent pas ... en gros c'est avec ce genre de film à dormir debout ..que l'on a peur d aller voir un film français.....d e peur d'y perdre 2h de notre vie ..
destin croisé ... film agréable a suivre , simple et assez efficace malgré quelques longueurs . au final , il reste plaisant de suivre ces deux personnages .
Même si le film prend des tours de comédie romantique, CK sait y intégrer ça et là et avec bonheur nombre de touches et situations humoristiques assez plaisantes qui rendent l’ensemble très sympa malgré un fond plutôt morose sur l’époque actuelle et les fameux réseaux sociaux. « Pour que deux moi fassent un nous, il faut que les deux moi soient soi » Je trouve également C. Cottin vraiment intéressante dans ce qu’elle dit.
Le dernier film de Cédric Klapisch, ‘Ce qui nous lie’ et son univers viticole, avaient marqué un relatif renouveau après des années de vaches maigres, entre comédie sociale ratée (‘Ma part du gâteau’) et tentative encore plus ratée de conclure sa trilogie historique (‘Casse-tête chinois’). ‘Deux moi’ semble confirmer cette reprise, même si on peut nourrir l’impression que Klapisch arrive après la bataille, avec son histoire de deux trentenaires parisiens, voisins d’immeuble sans le savoir, victimes de ce spleen qui frappe les jeunes actifs isolés dans la grande ville : éloignement de la famille, géographiquement ou émotionnellement, activité professionnelle stressante ou, au contraire, vide de sens, solitude sentimentale et prise de conscience du médiocre palliatif que constituent les applis de rencontre, secrets et drames refoulés,...ce faisceau de causes ne pourra commencer à trouver sa résolution qu’à travers la libération progressive de la parole sur un divan de psy. Un tel pitch aurait pu servir de prétexte à une comédie plus ou moins finaude, mais Klapisch a toujours tourné le genre à sa manière, en y injectant de l’humour à petite dose, des moments de retrouvailles chaleureux, une observation souvent attentive des codes de la génération envisagée, des moments de réconfort et énormément d’empathie pour ses personnages déboussolés, et son dernier film mérite plus que jamais son statut de point médian entre production populaire et cinéma d’auteur. ‘Deux moi’ aurait également pu prendre la route de la rom’com puisqu’il tombe sous le sens qu’au cinéma, deux personnages esseulés et pourtant si proches sont voués à se rencontrer. C’est là que le réalisateur recourt à une astuce tout simple mais tout à fait logique dans le propos du film : le spleen urbain moderne a comme conséquence qu’on se croise sans se voir, qu’on est trop centré sur ses propres tracas pour remarquer ceux des autres, et que la multiplicité des occasions et des possibilités dissimule toujours l’évidence. Ce n’est peut-être pas grand chose mais c’est largement suffisant pour que ‘Deux mois’ marque sa (petite) différence avec le tout-venant de la production hexagonale.
J'ai bien aimé cette histoire de deux jeunes, dont les cicatrices de l'enfance ne sont pas toutes refermées et qui doivent se débattre pour prendre pleinement leur place d'adultes. Et puis, le destin qui va les rapprocher, on est beaucoup à reconnaitre cet heureux hasard, lorsqu'on fait "confiance en la vie".
Je suis resté totalement hermétique à ce drame social (et sociétal). 110 minutes durant lesquelles Cédric Klapisch tente de dépeindre la solitude des grandes villes à travers le prisme de la génération Y. Faisant partie de cette tranche d'âge, je pensais pouvoir m'identifier à eux ou du moins, pouvoir comprendre ce qu'ils ressentent, mais c'est peine perdue.
Le réalisateur du Péril jeune (1995) nous fait découvrir de l'intérieur la solitude de deux âmes en peine. Tous deux ont 30ans et vivent à Paris (ils sont voisins sans même le savoir). Tous deux ont des difficultés pour s'épanouir professionnellement et personnellement. Des vies étriquées et dont la solitude et la morosité ambiante emplissent leur vie de tous les jours.
En choisissant de filmer ces deux âmes esseulées qui ne cessent de se croiser mais qui s'ignorent au grès de leur train-train quotidien (métro, boulot, épicier, dodo), le film s'enlise dans un schéma narratif redondant et lassant. A trop vouloir surligner le côté "qui se ressemble, s'assemble" tout en ne parvenant jamais à les rassembler jusqu'au happy-end au combien prévisible, le réalisateur nous oblige à prendre notre mal en patience et à revivre sans cesse les mêmes séquences redondantes et ses innombrables chassés-croisés de nos deux héros.
Dépeindre la génération Y des grandes villes sans devoir passer par la case "cliché" était-il envisageable ? La réponse est non, entre les applis de rencontres & de livraisons à domicile (utilisées par Mélanie et ses copines), sans parler de Rémy (le seul provincial du film) qui visiblement, découvre les réseaux sociaux en 2019 après avoir débarqué à Paris). On sait pertinemment que l'on aurait éviter ces écueils si l'intrigue s'était déroulée en province.
Dans les rôles titres, on retrouve un sympathique duo, avec Ana Girardot & François Civil, que le réalisateur avait déjà dirigé dans Ce qui nous lie (2017). A trop vouloir jouer sur la corde dépressive, le film devient rapidement trop mollasson, pour ne pas dire fade...
Un film, malgré des trains qui passent dans un univers gris et sombre , qui illumine l'esprit et qui donne du sens à l'humain. En clair si vous n'avez pas le moral regardez le et souriez vous êtes filmés.
Une mise en parallèle de deux solitaires sympathiques et très humains qui sont voisins qui fait la part belle à ce que l'on peut appeler la psycho thérapie qui est comme une sorte de science moderne des comportements bienveillante. Le film est fait de telle façon que l'on attend, en attendant Godot par exemple, la confusion règne et l'on craint une issue qui soit dramatique. Mais c'est une comédie romantique et c'est davantage un hymne à la vie tel le poème de Gide qui nous parle des attentes.spoiler: Ils se rencontrent dans les 30 dernières secondes du film. Ce sont deux moi qui ne sont pas des ego dans le sens où ils ne nous font pas aller dans des excès comme trop souvent mais dans une histoire relativement simple et qui ressemble à celle de beaucoup de quidam des grandes villes. Le sujet reste limité et facile avec des psychologues qui ont le beau rôles mais l'intérêt du film est bien dans l'aspect intimiste et réaliste très réussit et bien convaincant des deux personnages principaux et de leurs proches.
Un film extrêmement touchant, je trouve que l'atmosphère qui s'en dégage est très poétique et vrai. Sauf 1/2 moments de gènes mis exprès par le réalisateur pour le spectateur le film se regarde sans jamais trouver le temps long. Un film dramatique certes mais aussi une une très jolie histoire. Une bien belle morale : avec la patiente et l'envie de changer les choses tout eut arriver. Je recommande ce film.
Dans une ville qui ne dort jamais, dans un monde pourtant si connecté, deux individus cherchent LA réponse aux profonds et mystérieux mal-êtres qui les rongent, UNE réponse à la solitude qu'ils subissent et dont ils souffrent. Un film qui se veut véritablement thérapeutique, qui montre que l'aide, le soutien et l'amour de l'autre est indispensable pour se forger une identité, pour librement se (re)construire, pour avancer dans notre monde bruyant hostile aux âmes sensibles mais aussi riche de toutes ses cultures et toutes ses innovations. Klapisch réalise là un film bien plus posé qu'à son habitude. On pourra reprocher au film son manque de rythme et son ton abattu mais cela reste en harmonie avec son scénario. Un film de Klapisch peut-être un peu plus mélancolique qu'à son habitude mais toujours très humaniste.
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1,5
Publiée le 9 novembre 2020
Une bonne ambiance et de bonne performances des artistes et les deux personnages principaux sont intéressants. Deux Moi est comme un économiseur d'écran agréable à regarder mais comme film il ne va vraiment nulle part...