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    Deux Moi
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    brisbane78
    brisbane78

    5 abonnés 182 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 29 janvier 2021
    Ennui, longueur, lassitude, inintérêt, que dire d'autre pour résumer ce film dans lequel il ne se passe rien. On attend que ça vienne, on attend, et quand ça arrive, eh ben il ne reste qu'une minute et c'est le générique de fin. Cédric Klapish a été bien plus inspiré dans le passé, mais là, erreur de parcours...
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    704 abonnés 3 055 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 3 février 2020
    Deux Moi a l’intelligence de tout redoubler, des situations vécues par chacun des deux protagonistes principaux – et qui s’ouvrent aux autres personnages en présence, notamment les deux psychologues, les deux familles – au cinéma de Cédric Klapisch lui-même qui trouve ici une synthèse brillante de ce qui le fonde. Tout redoubler ? non ce n’est pas vrai. Il n’y a qu’un seul chat. Et c’est ce seul chat qui est à l’origine de la rencontre : son évasion hors du domicile de Rémy intervient au beau milieu du film, coupe ce dernier en deux parties d’un miroir qui, tendues l’une face à l’autre, décuplent les possibles, révèlent la pluri-dimensionnalité du monde et la propension de l’amour à en être le véhicule (ou le moteur, pour parler mécanique). Du chat à l’épicier, de l’épicier au cours de danse. L’amour au rendez-vous. La société contemporaine dans laquelle s’activent péniblement nos deux personnages est une collection d’instances de dépossession de soi : le travail enferme, le restaurant se livre à domicile, la technologie donne l’illusion d’une rencontre humaine entre deux êtres et qui n’est en réalité que le résultat matériel d’un algorithme tout-puissant destiné à pallier un besoin sexuel, puis recommencer de plus belle. Encore et encore. Pour accentuer leur isolement, Klapisch n’a pas son pareil pour composer des plans à la fois superbes et forts d’un symbolisme diffus : quand Mélanie reçoit la visite d’Agathe, quand les deux femmes se parlent dans la cuisine, c’est dans deux couleurs qu’elles apparaissent, correspondant à la couleur de leurs vêtements – le vert d’Agathe, le rose orangé de Mélanie. Pas de dialogue possible, seulement la juxtaposition de deux conceptions du monde qui ne peuvent entrer en contact. De même Rémy souhaite-t-il emprunter un chemin qui mène à l’église ; ses parents refusent, il vaut mieux se contenter de suivre le parcours habituel, ne pas innover, ne pas parler des choses qui fâchent ou qui font mal. Pourtant c’est par la parole que les cœurs se pansent, se pensent : en témoignent les séances de psychanalyse qui de faire-valoir grotesque se changent progressivement en espace de méditation et de médiation par l’autre vers soi. D’où le titre. D’où son singulier. Deux Moi est un chef-d’œuvre d’immunothérapie qui se propose de soigner le cancer de la solitude par l’échange qui s’établit entre deux corps étrangers, d’abord étrangers et qui s’apprivoisent le temps d’une dance. Cédric Klapisch apporte à cette renaissance par l’autre et en soi une beauté plastique prodigieuse, preuve que le cinéma français est capable de s’emparer de sujets de société sans laisser de côté l’art, sans laisser de côté le cinéma avec lequel il communie merveilleusement. Un immense film.
    MediaShow
    MediaShow

    146 abonnés 541 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 septembre 2019
    La comédie dramatique « Deux moi » est une agréable surprise dans le registre. Une belle alliance entre la simplicité de l’histoire, la complexité psychologique des personnages et l’émotion que procurent la distribution. A ne pas manquer !

    Ma critique complète : https://mediashowbydk.com/critique-film-deux-moi/ (sans spoilers)
    Ninjaw P
    Ninjaw P

    36 abonnés 299 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 septembre 2019
    Après l’excellent Ce qui nous lie, Deux moi est très bon, Klapisch est vraiment de retour au top pour moi. Si on pourra regretter voire être repoussé par deux trois scènes possiblement ringardes, puisque c'est son style. Le scénario est fascinant, inhabituel, certains pourraient le trouver léger, ce n'est pas mon cas, les acteurs remarquablement touchants, tout comme cette vision et lieux du paris 19e que j'ai bien reconnu. Comme souvent c'est émouvant et très drôle, c'est aussi très beau, enfin ces quartiers pas si beaux de paris sont très bien filmés, quoi. Une chronique de vies parisiennes qui se pose des questions existentielles sur la solitude parisienne, mais aussi le conflit parental, le conflit avec la vie à la montagne, avec un bon morceau de psychologie.
    Karine S
    Karine S

    3 abonnés 10 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 14 septembre 2019
    J'adore Klapisch depuis... le péril jeune. Enchantée et ravie par TOUS ses films. Sauf celui-ci. Long. Sombre. Monté étrangement (une multitude de scénettes sans intérêt mises bout à bout). Une histoire déjà vue 10 fois au ciné (mais traitée 1000 fois mieux genre Sliding Doors). Des acteurs bof bof. Mon compagnon a dormi rapidement. Moi limite. Bref un vraie vraie vraie bouse. La première de Klapisch. La dernière allez !
    Claudine G
    Claudine G

    207 abonnés 496 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 11 septembre 2019
    La solitude dans une grande ville n'est pas chose rarissime, surtout Paris et sa banlieue. Bien interprété (bien que le passage Niney soit inutile), mais quelques longueurs. La psychothérapie est utile lorsque l'on désamorce un ressentiment de souche familiale, c'est le cas pour Rémy et Mélanie, qui, vu la tournure du film, finiront heureux....personnellement j'ai trouvé le temps long....Klapish a fait mieux.
    cine25 2.
    cine25 2.

    4 abonnés 31 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 12 septembre 2019
    Le film est lent, on peux trouver qu'il y ait des longueurs mais ça va avec le sujet, on passe un bon moment . Les acteurs sont naturels et François Civil est très bon. Le film est rempli de plein de petites choses très bien vu et on peux s'y retrouver suivant le vécu. Et qd il dit qu'on respire mieux à Paris , c'est bien vu et juste.
    elbandito
    elbandito

    349 abonnés 964 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 octobre 2019
    Qui d’autre que Cédric Klapisch pourrait si bien conter la rencontre de deux âmes sœurs esseulées dans un monde citadin qui les engloutit chaque jour. Peut-être cet épicier espiègle et très observateur interprété avec brio par Simon Abkarian, où encore ce pharmacien coincé que joue si bien Zinedine Soualem. Et pourquoi pas deux psychologues, très subtils Camille Cottin et François Berléand ? Pas loin de tous les clichés possibles, Mélanie et Rémy finiront pas dépasser des événements enfouis qui les empêchent d’avancer dans leur vie, ils vont nécessairement se rencontrer, tôt ou tard, ils vivront forcément une romance parfaite, et sans doute beaucoup plus encore… Cette histoire moderne repose principalement sur le talent, la grâce et le charme naturel de ces deux héros du quotidien, interprétés par deux jeunes talents du cinéma français, Ana Girardot et François Civil, étonnants de justesse et de sobriété.
    velocio
    velocio

    1 321 abonnés 3 153 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 septembre 2019
    "Si vous voulez qu'on vous aime", commencez par vous aimer vous-même" : conseil de psy à une âme en peine. Dans "Deux Moi", il y a deux âmes en peine : une, Mélanie, qui se réfugie dans des nuits de sommeil de 15 ou 16 heures, l'autre, Rémy, qui est insomniaque, une qui n'arrive pas à se remettre des abandons qu'elle a connus dans sa vie, celui de son père, celui de sa mère, celui de l'homme qu'elle aimait ; l'autre qui a la certitude qu'il a toujours porté la poisse, que ce soit à sa sœur, morte d'un cancer à l'âge de 7 ans, à ses collègues licenciés alors que lui est resté dans l'entreprise, à l'adorable petit chat blanc qu'il a adopté un peu contre son gré et qui a disparu. Ces deux âmes en peine habitent à 4 mètres de distance à vol d'oiseau, mais ils ne se connaissent pas, quand bien même ils peuvent parfois être assis l'un à côté de l'autre dans le métro, quand bien même ils fréquent la même épicerie orientale du quartier où ils habitent. Après son escapade bourguignonne de "Ce qui nous lie", Klapisch retrouve le bitume et le métro parisiens. Il en profite pour revisiter "Chacun cherche son chat" et Renée Le Calm, véritable centenaire au moment du tournage et décédée 3 mois avant la sortie du film; Il se moque gentiment d'un monde connecté où tout le monde s'agite sur les réseaux sociaux, ne serait-ce que pour trouver l'âme sœur, mais ne connait pas ses voisins les plus proches. N'oubliant pas que sa mère était psychanalyste, il conduit les deux âmes en peine chez des psy qui s'avèrent plutôt efficaces. Avec Ana Girardot dans le rôle de Mélanie et François Civil dans celui de Rémy, il retrouve deux des interprètes principaux de "Ce qui nous lie". Il retrouve aussi Zinedine Soualem, très souvent présent dans ses films, et l'immense Simon Abkarian, qui n'avait pas tourné avec lui depuis plusieurs années. Un film intéressant sur l'évolution de la vie dans une grande ville comme Paris, à l'heure des réseaux sociaux. Une ville que Rémy, originaire de La Grave, au milieu des montagnes, a choisi de rejoindre, afin, dit-il, de pouvoir respirer !!
    VILLE.G
    VILLE.G

    55 abonnés 675 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 23 septembre 2019
    Un film à la gloire de la psychanalyse.
    Deux personnes névrosées par des évènements familiaux retrouvent confiance grâce à leurs psy.
    Pourquoi pas. Mais c'est quand même un chouilla longuet pour ne pas dire plus.
    Et sans grand intérêt.
    Pas grand chose à voir non plus avec cette sois-disant solitude liée aux réseaux sociaux qu'on a essayé de nous vendre.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 11 septembre 2019
    Klapisch, le spécialiste attitré des trentenaires et de leurs crises en tous genres, livre une fausse comédie romantique qui démarre comme une chronique bien morose de deux quotidiens parisiens, entrecoupée d’apparitions de guests venus faire leur numéro avec plus ou moins de talent (Abkarian manque de crédibilité, Niney est dans un surjeu insupportable, Cottin fait du Cottin... Seul Berléand s’en sort vraiment avec les honneurs). On apprécie l’effort que fait le réalisateur pour montrer au passage les différentes facettes de la capitale, mais sa peinture du Paris multiculturel paraît un peu figée et forcée. Quant aux incursions oniriques dans l’inconscient du couple de protagonistes, les deux séquences de rêves proposées tombent à plat et font regretter la grâce de certaines scènes des Poupées russes, comme cette marche au ralenti dans une rue aux dimensions idéales. En bref, pendant un bon moment, il faut le charisme des deux acteurs principaux pour maintenir Deux moi à flot.

    Pendant son petit tiers central, le récit trouve enfin son rythme de croisière et réussit à montrer de manière assez juste la façon dont ces deux êtres fragiles se laissent chahuter par les événements les plus banals et affrontent leurs dépressions respectives avec des armes aussi dérisoires que touchantes. Mais quel dommage que tout ça soit ensuite canalisé par une fable psy à la morale presque gênante de mièvrerie (« il faut deux moi pour faire un nous »)! Après une demi-heure dans cette veine, à voir s’enchaîner quelques poncifs parmi les plus rebattus (le discours de la jeune fille timide devant un public hostile mais finalement conquis, la révélation et les larmes dans le cabinet de psy, l’enfance obscurcie par un deuil mal digéré, etc.), on se sent obligé de repenser le film comme un petit scénario à concept, inspiré des pires clichés des manuels de développement personnel.

    Il faut quand même le souligner: on rit souvent et on prend globalement un certain plaisir devant Deux moi. Là encore, le talent de Girardot et Civil y est pour beaucoup. Mais à l’inverse, on pleurerait presque (de désespoir) en entendant Berléand prononcer, sans le moindre second degré, cette réplique improbable : « vous avez le droit de toucher, Rémy ». Deux moi font peut-être un nous, mais on a maintenant la preuve que deux bons acteurs ne suffisent pas à faire un bon film.
    jspl
    jspl

    23 abonnés 231 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 18 septembre 2019
    Pure perte de temps.!Film sans intérêt aucun et quelle paresse dans les prises de vue et que de clichés. Nombreux sont sortis avant la fin et on les comprend !!!
    Michel C.
    Michel C.

    278 abonnés 1 475 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 15 septembre 2019
    Un merveilleux Klapisch qui fera fondre les plus récalcitrants..... un petit bijou - même si cela devient une habitude - à savourer délicieusement ! Deux parcours qui résonneront chez la plupart d'entre-nous, une vérité éclatante, un scénario de rêve, et deux merveilleux jeunes acteurs : Ana Girardot & François Civil - une alchimie judicieuse ! Bien entendu, avec des décors Parisiens et de Montagne ravissants mais surtout une musique parfaitement distillée sublimant les scènes des plus simples aux plus abouties ! Et je ne pourrai passer sous silence cette formidable illustration de danse finale, une initiation locale et colorée, étincelle ou miracle - le parallèle à l'explication du moteur à combustion de Remy est amusante ! D'autres scènes avec psy ( F Berleand génial, C Cottin) , commerces cocasses ou perversité des nouvelles technologies et leurs applications + ou - farfelues, tapissent un film émouvant, optimiste et réussi !! **
    gaetan1.arnould
    gaetan1.arnould

    52 abonnés 386 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 13 septembre 2019
    Trop long à mon goût... Les acteurs ont beau être convaincants (mention spéciale au chat !), l'histoire est trop banale et plate pour avoir de l'intérêt. Ceux qui espèrent voir un film romantique peuvent passer leur chemin, de même que ceux qui ne supportent pas les films sans rebondissement. Ce film de Klapisch sera vite oublié.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 11 septembre 2019
    Alors je vais peut-être aller à l'encontre de certaines critiques dithyrambiques mais pour moi, ce film a été un véritable pensum rempli de poncifs où tout, absolument tout, sonne faux et forcé. En plus, c'est interminable et ce n'est pas en ajoutant de la musique électro par dessus que ça va changer le rythme. Et je ne parle pas des plans caméra qui donnent le tournis. Alors bien le clin d’œil à Chacun cherche son chat peut prêter à sourire mais à peine. En parlant de sourire, rien de drôle dans ce film ni dans les sous intrigues dignes d'un téléfilm mal traité et de psychologie de comptoir. Je serais bien parti avant mais placé où je l'étais, j'aurais dû déranger plusieurs spectateurs (remarquez, on était 10 dans une grande salle et pas un rire n'a fusé).
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