Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
33 critiques presse
BIBA
par Lili Yubari
Klapisch dresse un portrait drôle, émouvant et percutant de l'ultra-moderne solitude urbaine et du célibat connecté à l'ère des réseaux sociaux en racontant non pas une histoire d'amour, mais une préhistoire d'amour - toutes les galères par lesquelles on passe avant de tomber amoureux.
20 Minutes
par Caroline Vié
Un conte moderne pétillant.
Bande à part
par Anne-Claire Cieutat
On se promène un peu le vague à l’âme, mais avec le sourire aussi, dans cette variation contemporaine et éloignée de "The Shop Around the Corner" de Lubitsch, et après un prologue un brin long à la détente, on se laisse cueillir par l’humanité de tous les personnages de cette histoire, dont le centre névralgique est une épicerie de quartier, qui ressemble à un rêve ou une utopie réaliste. Celle que semble soumettre à nos yeux Cédric Klapisch, comme on fredonnerait tout bas un chant d’espérance.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
CNews
par La rédaction
S’intéressant davantage à l’avant-rencontre plutôt qu’au couple, le réalisateur de "L’auberge espagnole" dépeint un portrait tendre et drôle d’une jeunesse connectée mais peu douée en matière de rapports humains dans le Paris d’aujourd’hui.
Closer
par La Rédaction
Une belle chronique douce-amère.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Chacun cherche l’amour, sur les réseaux sociaux, sur les sites de rencontre. Mais l’amour est bien plus réel : il habite juste dans l’immeuble d’à côté. Cédric Klapisch réinvente le romantisme au coin de la rue et ça a un charme fou, irrésistible.
La critique complète est disponible sur le site Dernières Nouvelles d'Alsace
Ecran Large
par Geoffrey Crété
Derrière ses airs de comédie romantique, "Deux moi" est presque une anti-comédie romantique : un film d'une infinie tendresse et humanité, qui raconte comment il faut d'abord s'aimer avant de peut-être pouvoir aimer autrui. C'est un peu niais sur le papier mais à l'écran, c'est beau, entraînant et d'un charme fou.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Elle
par Ophélie Daguin
Un film juste, bourré de sincérité, comme le réalisateur sait si bien le faire.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Femme Actuelle
par Sabrina Nadjar
Klapisch réussit un film très séduisant en refusant toutes les évidences du genre.
L'Humanité
par Martinot-Lagarde
Avec une grande fluidité, le film réussit à mêler un jeu d’émotions qui fait passer du rire aux larmes. On en sort avec le sourire et plein d’espoir, finalement rassuré de ce que la vie pourra nous offrir.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Jeunes, beaux, urbains, actifs mais en plein spleen... Ana Girardot et François Civil incarnent une génération auscultée par Cédric Klapisch avec toujours autant d’acuité.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
En reprenant le schéma le plus conventionnel qui soit de la comédie sentimentale, Cédric Klapisch trouve un moyen totalement original de le renouveler.
Les Fiches du Cinéma
par Isabelle Danel
Une fable d’aujourd’hui, façon Chacun cherche son chat, renouvelée par la sensibilité de Cédric Klapisch et la présence de François Civil et Ana Girardot.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Marie Claire
par Vincent Cocquebert
Une fable urbaine émouvante qui, derrière une certaine légèreté, résonne comme un plaidoyer à l'heure des sentiments sous algorithmes.
Ouest France
par Christophe Narbonne
Klapisch renoue ici avec une règle imparable de la comédie romantique : le retardement de la rencontre entre deux amoureux.
Positif
par Yannick Lemarié
La simplicité apparente de certaines oeuvres n'entache en rien la profondeur de leur propos et la qualité de leur traitement. Cette remarque vaut pour "Deux Moi", la dernière réalisation de Cédric Kaplisch [...].
Rolling Stone
par Jessica Saval
Une romance 2.0 bouleversante.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Sud Ouest
par Sophie Avon
Si le film a quelques joliesses en trop, il parvient cependant à tenir la note d’une comédie efficace, fine, où les comédiens font merveille, à commencer par François Berléand dans le rôle du thérapeute de Rémy.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Résolument optimiste, "Deux moi" nous rend tout simplement heureux.
Télé Loisirs
par Emilie Leoni
Portrait décalé d’une génération blasée, "Deux moi" est surtout un joli conte urbain qui veut (encore) croire en l’humain, porté avec humour et une infinie délicatesse par François Civil et Ana Girardot.
Télérama
par Guillemette Odicino
Mais si cette romance moderne nous touche, c’est en rappelant que la vie, naturellement, sans application ni géolocalisation, peut encore rassembler les êtres.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par Lola Sciamma
Une vraie réussite.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Cédric Klapisch renoue avec l’esprit parisien et attachant qui a fait le succès de ses grands films. Ce Deux moi est une véritable réussite, aussi drôle que sensible.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Comme souvent chez Klapisch, il ne se passe pas grand-chose, et pourtant tout retient l’attention. C’est l’art de raconter des histoires que détient l’auteur-réalisateur (comme Truffaut). Il aurait pu faire des coupes pour dynamiser le récit, faute de relance, mais il s’en tire bien.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Express
par Christophe Carrière
C'est agréable à regarder, car Klapisch filme et raconte les détails du quotidien avec brio, mais on est loin de la jubilation et des émotions que provoquaient certains de ses films, comme "Riens du tout", "L'Auberge espagnole" ou "Les Poupées russes".
L'Obs
par Nicolas Schaller
Toujours à l’affût de l’air du temps, Cédric Klapisch signe son film le plus atone. Son cinéma n’a jamais cessé d’évoluer sur le fil entre vérités et lieux communs, entre observations poétiques et raccourcis publicitaires, entre l’infra-ordinaire et le pas-grand-chose. (...) Heureusement, il y a les comédiens (...).
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Après Ce qui nous lie, Cédric Klapisch revient à Paris avec une fable urbaine poétique, où il dessine les vies parallèles de deux célibataires en mal d’amour.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par La Rédaction
Les façades jouent un rôle important dans ce marivaudage en parallèle, qui est drôle, modeste, léger.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Une chronique douce-amère qui réussit à dire beaucoup en parlant de petits riens.
Le Parisien
par La Rédaction
Très mélancoliques, toutes ces scènes autour de la Gare du Nord méritent à elles seules de voir le film, et rappellent les meilleurs moments de « Chacun cherche son chat ».
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Libération
par Luc Chessel
[...] le film est plus subtil que son propos, moins bête que son contenu, mieux fait que son discours.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Christophe Narbonne
Des clichés, diront sans doute certains. Et le film d’assumer sans complexe une forme de candeur et d’abstraction formelle (gros travail sur la profondeur de champ et l’ambiance sonore) qui rapproche ce récit à deux voix du conte urbain auquel Ana Girardot apporte sa délicatesse et François Civil, son humour décalé.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Monde
par Murielle Joudet
Cédric Klapisch tente de dépeindre les trentenaires d’aujourd’hui, mais reste en surface.
BIBA
Klapisch dresse un portrait drôle, émouvant et percutant de l'ultra-moderne solitude urbaine et du célibat connecté à l'ère des réseaux sociaux en racontant non pas une histoire d'amour, mais une préhistoire d'amour - toutes les galères par lesquelles on passe avant de tomber amoureux.
20 Minutes
Un conte moderne pétillant.
Bande à part
On se promène un peu le vague à l’âme, mais avec le sourire aussi, dans cette variation contemporaine et éloignée de "The Shop Around the Corner" de Lubitsch, et après un prologue un brin long à la détente, on se laisse cueillir par l’humanité de tous les personnages de cette histoire, dont le centre névralgique est une épicerie de quartier, qui ressemble à un rêve ou une utopie réaliste. Celle que semble soumettre à nos yeux Cédric Klapisch, comme on fredonnerait tout bas un chant d’espérance.
CNews
S’intéressant davantage à l’avant-rencontre plutôt qu’au couple, le réalisateur de "L’auberge espagnole" dépeint un portrait tendre et drôle d’une jeunesse connectée mais peu douée en matière de rapports humains dans le Paris d’aujourd’hui.
Closer
Une belle chronique douce-amère.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Chacun cherche l’amour, sur les réseaux sociaux, sur les sites de rencontre. Mais l’amour est bien plus réel : il habite juste dans l’immeuble d’à côté. Cédric Klapisch réinvente le romantisme au coin de la rue et ça a un charme fou, irrésistible.
Ecran Large
Derrière ses airs de comédie romantique, "Deux moi" est presque une anti-comédie romantique : un film d'une infinie tendresse et humanité, qui raconte comment il faut d'abord s'aimer avant de peut-être pouvoir aimer autrui. C'est un peu niais sur le papier mais à l'écran, c'est beau, entraînant et d'un charme fou.
Elle
Un film juste, bourré de sincérité, comme le réalisateur sait si bien le faire.
Femme Actuelle
Klapisch réussit un film très séduisant en refusant toutes les évidences du genre.
L'Humanité
Avec une grande fluidité, le film réussit à mêler un jeu d’émotions qui fait passer du rire aux larmes. On en sort avec le sourire et plein d’espoir, finalement rassuré de ce que la vie pourra nous offrir.
La Voix du Nord
Jeunes, beaux, urbains, actifs mais en plein spleen... Ana Girardot et François Civil incarnent une génération auscultée par Cédric Klapisch avec toujours autant d’acuité.
Le Dauphiné Libéré
En reprenant le schéma le plus conventionnel qui soit de la comédie sentimentale, Cédric Klapisch trouve un moyen totalement original de le renouveler.
Les Fiches du Cinéma
Une fable d’aujourd’hui, façon Chacun cherche son chat, renouvelée par la sensibilité de Cédric Klapisch et la présence de François Civil et Ana Girardot.
Marie Claire
Une fable urbaine émouvante qui, derrière une certaine légèreté, résonne comme un plaidoyer à l'heure des sentiments sous algorithmes.
Ouest France
Klapisch renoue ici avec une règle imparable de la comédie romantique : le retardement de la rencontre entre deux amoureux.
Positif
La simplicité apparente de certaines oeuvres n'entache en rien la profondeur de leur propos et la qualité de leur traitement. Cette remarque vaut pour "Deux Moi", la dernière réalisation de Cédric Kaplisch [...].
Rolling Stone
Une romance 2.0 bouleversante.
Sud Ouest
Si le film a quelques joliesses en trop, il parvient cependant à tenir la note d’une comédie efficace, fine, où les comédiens font merveille, à commencer par François Berléand dans le rôle du thérapeute de Rémy.
Télé 7 Jours
Résolument optimiste, "Deux moi" nous rend tout simplement heureux.
Télé Loisirs
Portrait décalé d’une génération blasée, "Deux moi" est surtout un joli conte urbain qui veut (encore) croire en l’humain, porté avec humour et une infinie délicatesse par François Civil et Ana Girardot.
Télérama
Mais si cette romance moderne nous touche, c’est en rappelant que la vie, naturellement, sans application ni géolocalisation, peut encore rassembler les êtres.
Voici
Une vraie réussite.
aVoir-aLire.com
Cédric Klapisch renoue avec l’esprit parisien et attachant qui a fait le succès de ses grands films. Ce Deux moi est une véritable réussite, aussi drôle que sensible.
Franceinfo Culture
Comme souvent chez Klapisch, il ne se passe pas grand-chose, et pourtant tout retient l’attention. C’est l’art de raconter des histoires que détient l’auteur-réalisateur (comme Truffaut). Il aurait pu faire des coupes pour dynamiser le récit, faute de relance, mais il s’en tire bien.
L'Express
C'est agréable à regarder, car Klapisch filme et raconte les détails du quotidien avec brio, mais on est loin de la jubilation et des émotions que provoquaient certains de ses films, comme "Riens du tout", "L'Auberge espagnole" ou "Les Poupées russes".
L'Obs
Toujours à l’affût de l’air du temps, Cédric Klapisch signe son film le plus atone. Son cinéma n’a jamais cessé d’évoluer sur le fil entre vérités et lieux communs, entre observations poétiques et raccourcis publicitaires, entre l’infra-ordinaire et le pas-grand-chose. (...) Heureusement, il y a les comédiens (...).
La Croix
Après Ce qui nous lie, Cédric Klapisch revient à Paris avec une fable urbaine poétique, où il dessine les vies parallèles de deux célibataires en mal d’amour.
Le Figaro
Les façades jouent un rôle important dans ce marivaudage en parallèle, qui est drôle, modeste, léger.
Le Journal du Dimanche
Une chronique douce-amère qui réussit à dire beaucoup en parlant de petits riens.
Le Parisien
Très mélancoliques, toutes ces scènes autour de la Gare du Nord méritent à elles seules de voir le film, et rappellent les meilleurs moments de « Chacun cherche son chat ».
Libération
[...] le film est plus subtil que son propos, moins bête que son contenu, mieux fait que son discours.
Première
Des clichés, diront sans doute certains. Et le film d’assumer sans complexe une forme de candeur et d’abstraction formelle (gros travail sur la profondeur de champ et l’ambiance sonore) qui rapproche ce récit à deux voix du conte urbain auquel Ana Girardot apporte sa délicatesse et François Civil, son humour décalé.
Le Monde
Cédric Klapisch tente de dépeindre les trentenaires d’aujourd’hui, mais reste en surface.