Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
aVoir-aLire.com
par Mathilde Bujoli
Un film social sensible, qui dénonce avec une justesse magnifique le harcèlement sexuel au travail.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
BIBA
par Lili Yubari
Ce drame oppressant sur le harcèlement sexuel au travail [...] nous fait sentir à chaque minute le souffle prédateur sur la nuque de l'héroïne.
L'Express
par Christophe Carrière
Depuis son premier long-métrage sur le viol, "Invisible" (2011), avec Ronit Elkabetz, la réalisatrice israélienne Michal Aviad a gagné en finesse et, par conséquent, en force.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un portrait sensible.
Le Figaro
par La Rédaction
Si Working Woman est un film engagé, inspiré d’événements vécus, le film dépasse les partis pris du «sujet de société» pour s’immerger dans une expérience trouble et périlleuse avec une finesse d’analyse remarquablement servie par le talent des comédiens.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Une confusion mêlée d’inquiétude que donne à ressentir la mise en scène de ce drame porté par deux acteurs inspirés et où plane une perpétuelle tension.
Les Fiches du Cinéma
par Nathalie Zimra
Suspense psychologique éprouvant, cette œuvre manifeste de réelles qualités de cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Paris Match
par Karelle Fitoussi
Un admirable cas d’école qui décrit en finesse les zones grises dans lesquelles prospère la prédation ordinaire.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Philippe Niel
Dès son titre, "Working Woman" s’empare avec efficacité d’une problématique proche du mouvement #MeToo.
Télérama
par Mathilde Blottière
Tournées en peu de plans, les scènes s’étirent assez pour faire affleurer le malaise, ce moment de bascule où la lourdeur confine à l’insistance.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Obs
par Nicolas Schaller
A tous ceux qui pensent que les femmes victimes d’un supérieur trop tactile n’ont qu’à changer de job au lieu de se plaindre, ce drame israélien répond avec mesure et justesse. C’est sa force et sa limite de film à thème correctement écrit, bien joué, filmé à la bonne distance. #Metoo mais pas mirobolant.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Centré sur le couple, filmé en longs plansséquences, le long métrage laisse en jachère, par la force des choses, les autres personnages (...). Working Woman établit en revanche une liaison plus subtile entre le libéralisme prédateur qui vend à l’encan le littoral du pays à de riches étrangers et l’outrage à la libre disposition de leur corps dont sont victimes les femmes.
Le Parisien
par Catherine Balle
Un film très juste et d’une actualité brûlante.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
Un peu didactique dans son exécution, "Working Woman" est tout de même porté par l’impérieuse volonté de rendre visible par petites touches, si infimes soient-elles, un mécanisme invisible de violence.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Thierry Chèze
Une histoire banale pour un film qui ne l’est pas. D’abord parce que sa réalisatrice décrit au scalpel le jeu initié par ce prédateur soufflant le chaud et le froid pour brouiller les pistes, et l’incapacité de sa victime à réagir (...). Ensuite, et surtout, parce qu’elle ne se borne pas à rester dans les clous d’un simple film-manifeste en se désintéressant de toute question formelle.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
Un film social sensible, qui dénonce avec une justesse magnifique le harcèlement sexuel au travail.
BIBA
Ce drame oppressant sur le harcèlement sexuel au travail [...] nous fait sentir à chaque minute le souffle prédateur sur la nuque de l'héroïne.
L'Express
Depuis son premier long-métrage sur le viol, "Invisible" (2011), avec Ronit Elkabetz, la réalisatrice israélienne Michal Aviad a gagné en finesse et, par conséquent, en force.
Le Dauphiné Libéré
Un portrait sensible.
Le Figaro
Si Working Woman est un film engagé, inspiré d’événements vécus, le film dépasse les partis pris du «sujet de société» pour s’immerger dans une expérience trouble et périlleuse avec une finesse d’analyse remarquablement servie par le talent des comédiens.
Le Journal du Dimanche
Une confusion mêlée d’inquiétude que donne à ressentir la mise en scène de ce drame porté par deux acteurs inspirés et où plane une perpétuelle tension.
Les Fiches du Cinéma
Suspense psychologique éprouvant, cette œuvre manifeste de réelles qualités de cinéma.
Paris Match
Un admirable cas d’école qui décrit en finesse les zones grises dans lesquelles prospère la prédation ordinaire.
Positif
Dès son titre, "Working Woman" s’empare avec efficacité d’une problématique proche du mouvement #MeToo.
Télérama
Tournées en peu de plans, les scènes s’étirent assez pour faire affleurer le malaise, ce moment de bascule où la lourdeur confine à l’insistance.
L'Obs
A tous ceux qui pensent que les femmes victimes d’un supérieur trop tactile n’ont qu’à changer de job au lieu de se plaindre, ce drame israélien répond avec mesure et justesse. C’est sa force et sa limite de film à thème correctement écrit, bien joué, filmé à la bonne distance. #Metoo mais pas mirobolant.
Le Monde
Centré sur le couple, filmé en longs plansséquences, le long métrage laisse en jachère, par la force des choses, les autres personnages (...). Working Woman établit en revanche une liaison plus subtile entre le libéralisme prédateur qui vend à l’encan le littoral du pays à de riches étrangers et l’outrage à la libre disposition de leur corps dont sont victimes les femmes.
Le Parisien
Un film très juste et d’une actualité brûlante.
Les Inrockuptibles
Un peu didactique dans son exécution, "Working Woman" est tout de même porté par l’impérieuse volonté de rendre visible par petites touches, si infimes soient-elles, un mécanisme invisible de violence.
Première
Une histoire banale pour un film qui ne l’est pas. D’abord parce que sa réalisatrice décrit au scalpel le jeu initié par ce prédateur soufflant le chaud et le froid pour brouiller les pistes, et l’incapacité de sa victime à réagir (...). Ensuite, et surtout, parce qu’elle ne se borne pas à rester dans les clous d’un simple film-manifeste en se désintéressant de toute question formelle.
Sud Ouest
Un film subtil sur le harcèlement.