Derniers Avis : Wedding Nightmare - Page 11

Je suis partager l'histoire est très intéressante mais n'est pas assez bien exploiter et je suis déçue par la fin que jai trouver un peu trop bâclé. Je m'imaginais autre chose cela dit le reste du film est correct et nous intrigue du début à la fin quelques petites choses ne sont pas assez expliquées mais c'est un assez bon film en somme le gros problème est la fin.

Un film d'horreur qui ne joue pas sur son point fort (l'idée du jeu obligatoire pour entrer dans la belle-famille) et qui se transforme très vite en un simple survival avec des personnages sans intérêt dont la mort nous indiffère et une absence de dialogues ou de scènes sortant de l'ordinaire. Bref, regardez plutôt "4 mariages 1 enterrement", au moins l'humour y est présent.

En se mariant avec le riche héritier Alex Le Domas, Grace n’avait pas prévu devoir passer sa nuit de noce à jouer aux jeux de société avec sa belle famille pour passer le test de l’intégration. Allez pourquoi pas. Mais lorsqu’on lui demande de jouer à cache-cache et surtout de survivre avant le lever du soleil parce que les autres joueurs vont devoir la chercher pour la tuer, Grace va peut-être regretter d’avoir dit oui pour le meilleur et le pire. “Wedding Nightmare” est une comédie horrifique qui n’a pas grand chose à dire, mais qui divertit par ses violences outrancières. Le casting sauve également la paresse du scénario en imposant un rythme sans relâche et plutôt délirant.
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Un film jouissif, qui utilise à fond son sujet et son potentiel, qui capitalise un max sur son héroïne ultra badass et charismatique, Samara Weaving, qui fait du très bon taff.
En somme, le film est efficace, il donne des frissons quand il faut, il effraie quand il faut, il fait rire quand il y a besoin, et nous livre aussi un petite dose d’émotions. En gros il nous donne ce que l’on vient chercher, et il le fait bien. Une bonne dose d'adrénaline pour un survival réussi.

Je m'attendais à un film + sérieux, avec un vrai suspens glauque à la American Nightmare et ai donc été supris par la touche d'humour. Une fois le contexte "second degré" acquis, le film reste agréable avec quelques rebondissements. Simplement un bon divertissement

Ce ne sera pas un film inoubliable à cause des nombreuses inerties de cette histoire à huis clos car quasiment tout le film se déroule à l’intérieur d'une immense propriété appartenant à une famille très riche. Échappant à sa nouvelle famille après son mariage avec l'un des leurs; la mariée cours, s'enfuit et se cache, je n'ai pas "accroché" au personnage principal et sa fuite finit par lasser malgré de bons effets spéciaux. La fin est plus ou moins inattendue , on sent que la réalisation, le scénario a tenté d'incorporer quelques rebondissement à cette histoire plutôt linéaire mais tout cela a un arrière gout de fadasse.

Rattrapage Wedding Nightmare. Série B horrifique agréable qui repose intégralement son efficacité sur son concept salvateur : un survival sanglant et décalé dans un manoir. L'humour est plutôt bien sentie et le final assez inattendu.

Heu....assez spécial ce film ... vraiment c'est limite..comédie horreur...et paranormal...mais c'est dommage ...c'est gâché..un bon scénario

Le plus beau jour d'une jeune mariée Grace (Samara Weaving) vire au cauchemar, quand elle apprend à ses dépens les véritables intentions de sa riche et bizarre belle-famille, les aristocrates"Le Domas", une famille atypique, qui avait bâti un énorme empire dans les jeux de société, une richesse qui n'est pas sans conséquences, en effet ,les membres de "la noblesse Le Domas" devront honorer une tradition familiale ancestrale assez particulière ,pour remercier un mystérieux "donateur", un jeu meurtrier mené par une famille de psychopathes, que chaque nouveau membre devra y jouer, pour espérer intégrer le cercle fermé de cette dynastie, au péril de sa vie...Une lutte pour la survie s'enchaine alors pour cette jeune mariée, qui devra désormais faire face à la folie meurtrière des membres de sa belle-famille, des tueurs sanguinaires armés jusqu'au dents, bien déterminés à honorer un "pacte" conclu par un arrière grand-père, qui ouvra ainsi la voie à une "malédiction" qui s'abat depuis, sur chaque membre de la famille, si toutefois un rituel précis n'est pas accompli avant le levé du soleil.Une nuit de noces qui s'avère bien agitée, voire fatale pour les deux camps: une mariée embarquée dans une succession d'événements bizarres, qui échappent à tous contrôle, lors d'une partie de cache-cache assez particulière, où la jeune femme devra lutter pour sa survie,ce, jusqu'au levé du jour, et un panel de psychopathes tueurs possédant une panoplie d'armes, bien déterminés à venir à bout de leur proie, c'était sans compter sur la ténacité de la jeune mariée qui cache derrière ses airs "angéliques", une combattante redoutable, qui complique d'avantage une partie qui vire dans un délire incontrôlable, qui verra ainsi les plans de l'excentrique famille contrés, réduisant ainsi leurs chances de survie...L' inversion des rapports de forces n'est pas une nouveauté dans le Survival, où la victime prend l'ascendant sur ses bourreaux, mais dans "Ready or Not" (Wedding Nightmare) la manière de procéder du duo de cinéastes Matt Betinelli-Olpin et Tyler Gillet (À l'origine du discutable Found foutage "The Baby") est assez pertinente, dans la mesure où toutes les chances de survie de l'héroïne se verront amoindris, face à la supériorité numérique et statistique de ses tortionnaires, "en désarmant" sa victime, la rendant faible, vulnérable, assez attachante du coup, pour que le spectateur soit sensible à son malheur, la tournure que va prendre le récit, notamment dans son évolution, va tout remettre en question, quand elle révèle une toute autre facette de la personnalité de la protagoniste principale, aussi dans un retournement de situations délirant, parfaitement assumé teinté d'humour noir (jamais lourd) qui fonctionne assez bien, qui placerait "presque" l'œuvre dans la catégorie comédie horrifique déjantée, à travers de nombreuses scènes "hilarentes" qui adoptent un ton comique lié à un comportement souvent irrationnel voire stupide, qui prête à sourire par moments, de ces antagonistes pas vraiment à la hauteur de la tradition à perpétuer, et l'importance capitale qu'elle génère au sein d'une famille portée sur le jeu et la tradition...Ce n'est en aucun cas un twist final, qui contredirait le propos du long métrage et son traitement, un délire visuel qui part dans tous les sens( dans le bon sens) assez jouissif, bien sanglant, qui ne se fixe aucune limite,ne reculant devant rien lorsqu'il s'agit de malmener ses personnages, voire de les décimer, notamment son héroïne "Grace" campée par une Samara Weaving exceptionnelle,émouvante, impitoyable dans le rôle de la mariée martyrisée, le reste du casting n'est pas des moindres, assez convaincants dans l'ensemble...Malheureusement le film perd en intensité, une fois ses enjeux révélés, lors d'une deuxième moitié, qui ne sait plus quelle direction prende, souvent répétitive, d'autant que le "vice" aurait dû être poussé d'avantage, face à l'ampleur du spectacle espéré, en effet, le long métrage regorge de bonnes idées, hélas sous exploitées, voire vite expédiées, lorsqu'il sagit d'exploiter son thème, le concept du jeu pervers, machiavélique, qui manque de profondeur, et de relif, lors de certains passages traduisant un sentiment d'inabouti, de frustration, face au spectacle tant promis, notamment les scènes de poursuite dans le vaste jardin de la demeure et le bois avoisinant, il y avait pourtant matière à faire avec une telle idée ...Le film n'échappe pas au incohérences et facilités scénaristiques, inhérentes au genre, qui n'en feront pas une œuvre à part, qui aurait pu se démarquer par son potentiel débordant jonché de bonnes intentions, et e belles trouvailles..."Ready or Not" est bon divertissement, sympathique, plaisant à voir, qui saura susciter l'intérêt du spectateur, en le tenant en haleine jusqu'au bout, par son approche satirique du monde des riches, et celui du jeu, assurant ainsi un spectacle correct, qui sait surprendre au moments opportun .Malgré ses défauts et imperfections,"Ready or Not" est un bon moment à savourer sans retenue, un bon délire en perspective à voir absolument...Ma note: 3,5/5

Tombé par hasard sur le film, je ne pensais pas qu'il allait être aussi accrochant ; Histoire très original, acteurs crédibles et avec un très bon jeu, la poursuite à l'extérieur assez ennuyante, la meilleure des choses c'est qu'on sait jamais ce qui peut arriver, un détail très important aussi c'est la bande son extrêmement bien choisie, quelques scènes d'humour pas mal. Finalement on aurait préféré une autre fin moins décevante.

Le cahier des charges est respecté et le rythme est particulièrement adapté. Sous ses airs de comédie horrifique, son côté gore assumé et un excellent casting, le film peine cependant a égaler les ténors du genre. L'œuvre mérite cependant que l'on s'y attarde, ne serais-ce que pour sa conclusion plutôt originale.

Quelle perte de temps une fois de plus, je me demande si je ne suis tout simplement pas agacé par les films américains plus débiles les uns que les autres...
L'idée de base n'est pas mauvaise mais on nous en met toujours plein la vue, et dans ce film beaucoup trop. Le côté comique est vraiment raté, ou alors je n'ai pas d'humour. Film sans aucun sens.

Révélations sur la fin du film.

Wedding Nightmare n'est qu'un potentiel horriblement gâché qui prouve que les studios hollywoodiens apprennent rarement de leur erreur; ne citons pas Warner, repensons plutôt au cas de Blumhouse avec American Nightmare premier du nom : le concept à lui seul provoquant l'évènement horrifique de l'année, les scénaristes ne se foulèrent pas en proposant une histoire de huis-clos sur une idée de base qui porte sur tout le pays; viser peu quand on peut faire beaucoup permet principalement de diminuer les coûts en sachant pertinemment que le public suivra.

Seulement, pour rapporter plus il faut mettre mieux : pas forcément plus de budget, mais des moyens mieux utilisés; gérer son scénario en choisissant de bons scénaristes (pas celui de Skinwalkers et Assaut sur le central du 13), ne pas se contenter de proposer une idée, amener plutôt au public le développement d'un concept : face à la purge, montrer l'horreur nationale, et ne surtout pas en faire un film d'action.

Il en va de même avec Wedding Nightmare : sur une idée de base qui rappelle justement le très bon Get Out de Jordan Peele, où l'idée permettait d'amener une critique sociale juste et à révéler, accessoirement, le talent d'un petit nouveau surdoué, Ready or not bascule très rapidement dans le registre de la farce en ne proposant plus qu'une suite de clichés trop appuyés pour pouvoir les trouver comiques, des personnages complètements idiots, des comportements débiles, une intrigue absolument inepte.

Les deux scénaristes font n'importe quoi : que ce soit Ryan Murphy, réalisateur de comédies romantiques et scénariste de séries populaires (notamment American Horror Story) ou Guy Busick, qui scénarisa il y a trois ans The Duke avec Pierce Brosnan, ils s'en donnent à coeur joie pour saboter l'entreprise de l'intérieur. Rien n'a de sens, c'est à en devenir chèvre : ridicule à plus d'un titre, leur travail témoigne d'un je-m'en-foutisme général fascinant.

Comment croire que cela rendrait ne serait-ce que convenablement? Forcément que c'est une catastrophe, catastrophe d'autant plus appuyée lorsque survient tout le bordel avec Satan, rendant impossible toute crédibilité à cette critique du fossé entre les souches sociales. Là où Get Out s'en prenait astucieusement à l'importance du paraître dans la vie des riches pervers en développant notamment l'incertitude et les faux-semblants, Ready or not ne laisse jamais planer le mystère, rendant toute identification aux personnages impossible, et détruisant les espoirs de ce qui aurait dû être sa principale qualité : le malaise causé par un milieu étranger qu'on est incapable de définir, de ranger du côté du bon ou du mauvais.

On sait dès le départ que la belle-famille est un groupe de psychopathes, ce qui nous permet d'une part de relever les défauts du film, et de l'autre d'imaginer toute la suite du scénario (qui mourra en premier, qui trahira qui (l'alcoolique est un sérieux challenger au poste avec le petit copain; reste à déterminer l'humain du vrai méchant), qui donnera un faux-espoir de rédemption (la mère, tiens), lequel est le plus fou (la tante vue en intro, surement), qu'aura apporté l'introduction du film aussi (vous pariez que ce sera important pour la psychologie d'un personnage en particulier?), et finalement à quoi aura servie toute cette histoire.

Si l'on connaît dès les cinq premières minutes la dernière réponse, les autres mettront plus de temps à arriver : cinq, dix, quinze minutes de plus jusqu'à se douter à sa première demi-heure de toute la suite des évènements. Même en étant prévenu, cela fait bizarre : si l'on sait pertinemment qu'on ne voit pas voir un film avec un tel titre pour son scénario, pourquoi aller le voir s'il est vendu comme un film d'horreur sans jamais donner aucun frisson?
En plus de se reposer sur des jumpscares tous complètement ratés, Wedding Nightmare vire très rapidement du côté de la comédie en se pensant capable de faire une satire habile d'un problème de société intemporel : ce serait moins gênant si, en plus de ne jamais y parvenir, il ne se prenait pas autant au sérieux en se pensant irrévérencieux, politiquement incorrect puisqu'amateur de démembrements de serviteurs et d'explosions de richards.

Un ridicule de fond involontaire qu'on retrouve forcément sur la forme : en passant outre ses vaines tentatives de faire de l'humour noir, on s'aperçoit du vide de la mise en scène d'un jeune duo ayant déjà travaillé ensemble sur The Baby, Tyler Gillett et Matt Bettinelli-Olpin. S'inspirant (un peu) de la façon qu'avait Kubrick de filmer ses intérieurs, ils tentent d'imposer la symétrie dans la baraque de la belle-famille sans jamais parvenir à faire vivre l'endroit, à donner un petit plan concis au spectateur, qui ne saura jamais où il se trouve dans ce n'importe quoi architectural.

Après tout, il n'est plus à ça près : à voir comment ils ratent la symétrie de leur cadrage, comment leurs pseudos expériences visuelles tombent à plat, on peut rapidement éprouver de la peine pour tant de volonté sans capacité d'exécution. Et si c'est définitivement aussi vide visuellement que scénaristiquement, nul doute que l'interprétation globale terminera de poser le film dans la catégorie nanar qui tâche et mérite une soirée dédiée entre potes, rien que pour la représentation de Satan en fumée de vieux bûcheron vengeur.

C'est un délire total qui détend dans un sens qu'il n'avait pas prévu; idiot, vulgaire et sans grande imagination, Wedding Nightmare se contente de recycler sans originalité les pires clichés trouvables dans le registre. On notera la ressemblance étonnante entre la jolie et délirante Samara Weaving (en plein surjeu) et la tout aussi jolie et délirante Margot Robbie.

Hilarant à ses dépens.

Ce qui se prétend être un exercice jouissif tombe a plat par sa médiocrité. Même lorsque la trouvaille est bonne (la fille qui se trompe dans tout ce qu'elle tente) le résultat est minable. Cela tient sans doute a ce que le réalisateur n'a pas su vraiment choisir entre l'impact de l’horreur et celle de la parodie. N'est pas Black edwards qui veut.

Sympa, nouveau concept !
Ça change des traditionnelles séances d'exorcisme et maison hantées !
Quelques passages drôles, a regarder sans prise de tête et sans grande attente !