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    La Grande lessive
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    Michel Poncet
    Michel Poncet

    20 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 10 août 2023
    Hilarant déjanté un style inimitable on passe un moment excellent un peu démodé mais charmant des comédiens exceptionnel et toute la bande a mocky
    jeanmariejuf1
    jeanmariejuf1

    5 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 10 août 2023
    Tout l'incroyable talent de Mocky est rassemblé dans ce film - cette remarque est très ironique, j'en conviens volontiers. Mocky fut un cultivateur spécialisé dans le navet. Pour ce film, il embauche l'un des plus grands acteurs de tous les temps, Bourvil, ainsi que de nombreux autres acteurs, tous d'ordinaire aussi excellents, Francis Blanche, Jean Poiret, Jean Tissier, Marcel Pérès, Michael Lonsdale, et plein d'autres.
    Tout donc est réuni pour faire un grand film, et comme à son habitude, Mocky réalise un parfait navet, d'une médiocrité à l'image de son oeuvre cinématographique. De ses très laborieux travaux, seul "Un Drôle de Paroissien" (avec Bourvil) trouve grâce à mes yeux, le reste n'est qu'une bouillie cinématographique sans aucun intérêt, mal filmée, dotée de scénarios d'une pauvreté hallucinante.
    Bref, aucune raison, même si comme moi l'on adore Bourvil, Blanche, Poiret, Pérès, Lonsdale et Tissier, aucune raison de gaspiller une heure et trente minutes à regarder cette chose pathétique, totalement ratée. Et dire que certains s'extasient devant l'oeuvre insignifiante de Mocky. Désespérant.
    gerard stevenson
    gerard stevenson

    15 abonnés 743 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 10 août 2023
    Un Mocky inintéressant. Mal joué. Et le message que veut délivrer Mocky : les dégâts de la télévision , ne passe vraiment pas tant que c'est d'une lourdeur à tous les étages. Que fait Bourvil ici ?
    Pas possible de finir ce film
    Norbert Sautelles
    Norbert Sautelles

    5 abonnés 533 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 avril 2023
    Curieux sujet au début de la télévision (nous sommes en 1968) : un professeur de français sabote les antennes de télévision de ses élèves, car ceux-ci sont abrutis par celles-ci et dorment en classe. Nous sommes donc là au début de la télévision. Mais c'est une sujet qui pourrait être transposé avec la télé-réalité ou les réseaux sociaux.

    C'est bien évidemment traité avec le style de Jean-Pierre Mocky. Avec une belle distribution : Bourvil en professeur de français possédé par sa mission, Francis Blanche en dentiste obsédé sexuel, Michael Lonsdale en majordome du Général De Gaulle (dans une série de scènes jubilatoires autour de l'alcool dans son appartement avec sa femme), Roland Dubillard en professeur de sport homme à tout faire de Bourvil.

    Ajoutons les policiers, débiles comme souvent chez Jean-Pierre Mocky. Et n'oublions pas Jean Poiret toujours parfait en faux-cul et menteur de haut vol.

    Le clou du film est Bourvil dans un personnage loin de ses distributions habituelles où il est le guignol de service. Ici il est en quête pour s'assurer que ses élèves apprennent et ne soient pas abrutis par la télévision.

    Un film jubilatoire qui n'engendre pas la mélancolie avec une dramaturgie à la serpe, made in Mocky.
    vivaBFG
    vivaBFG

    13 abonnés 1 242 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 septembre 2021
    Ce n'est certainement pas le film du siècle, ni même de cette année 1968. Le scénario est un peu tiré par les cheveux, et tente de dénigrer la télévision et son impact sur les jeunes téléspectateurs. Bourvil, toujours excellent, aide à atteindre l'objectif d'attirer notre attention tout au long du film.
    A voir par tous les amateurs de comédie, de toute âge.
    Bernard D.
    Bernard D.

    108 abonnés 613 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 août 2023
    « La grande lessive » de Jean-Pierre Mocky est sorti en 1968 reprenant un des slogans « la télévision est l’opium du peuple » … ou plutôt ici les enfants dorment en classe du fait de la télévision ! Le professeur de lettres Armand Saint-Just (Bourvil) va s’en émouvoir et après des pétitions restées sans suite, il va - en bon révolutionnaire - passer à l’action avec le professeur d’éducation physique (Roland Dubillard), un chimiste (le toujours délicieux Jean Tissier) et recruté par hasard un dentiste (Francis Blanche) plutôt intéressé lui par les rondeurs féminines et l’argent. Ils vont tous les 4 grimper sur les toits pour « pulvériser » les antennes déformant ainsi les images télévisées. C’est un franc succès mais devant l’absence de réaction des autres professeurs et du proviseur du lycée, les 4 comparses vont passer à un échelon supérieur … mais c’est sans compter sur les policiers de la brigade radiophonique – une équipe de pieds nickelés dont le chef est obsédé par la chanson Marinella – et surtout le puissant directeur de l'O.T.V.F (Jean Poiret) … et nous de tomber dans une vaste bouffonnade caustique typique de JP Mocky et largement en avance sur son temps vu la pléthore chronophage des écrans de nos jours. A noter la présence de Michael Lonsdale (presque à ses débuts) dans un rôle burlesque assez inattendu.
    Comme souvent avec JP Mocky on aime ou on déteste.
    Roub E.
    Roub E.

    905 abonnés 4 961 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 4 juillet 2020
    Ça ne sera pas un Mocky qui me marquera. Se voulant une charge contre la télé qui ramollirait la jeunesse (et nous ne sommes qu’en 68, époque ou le téléviseur est loin de son apogée en France) le film a pour mon goût un côté burlesque trop prononcé. S’il n’est pas franchement désagréable à regarder, je n’ai pas cru aux personnages et je me fichait au final de ce qu’ils faisaient. Un film qui amuse mais ne fait pas rire, ou certains passages comme la cuite au whisky avec Michael Lonsdale sont même assez patauds. Reste Bourvil et Francis Blanche à fond dans ce côté burlesque dont le plaisir à jouer dans ce film transparaît à chaque instant.
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    661 abonnés 2 931 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 décembre 2019
    Jean-Pierre Mocky n’a pas son pareil pour mettre en scène la vitesse d’une collection de quiproquos qui tendent à s’entremêler jusqu’à révéler la grande mascarade en toute chose. Avec La Grande Lessive(!), il atteint un point de non-retour et de non-sens où s’enchaînent les rencontres incongrues dans un couloir d’immeuble, où les policiers d’aujourd’hui deviennent les ramoneurs de demain, où l’Agrégé de Lettres se transforme en héraut d’une vaste coalition – elle compte trois acolytes, pas un de moins ! – menée à l’encontre de la télévision, preuve que le cinéma de Mocky a toujours su saisir dans la culture dont il est le contemporain les enjeux à venir. Car le film est d’une étonnante modernité à l’heure où les campagnes de prévention à l’égard des nouvelles technologies se développent dans les établissements scolaires ; or, si le cinéaste pense la démarche de ses personnages principaux comme la fresque satirique d’un milieu bien-pensant dont la révolte renvoie, comme dans un miroir, le ridicule des autres milieux, elle lui permet surtout de revisiter le vaudeville par le prisme d’une énergie burlesque réjouissante. Voir le professeur Armand Saint Just grimper sur les toits de Paris à la recherche d’antennes à brouiller produit des images insolites et donc précieuses, de même que la tenue excentrique de Francis Blanche en jupe orange provoque l’hilarité. Le film se change peu à peu en un album de bande-dessinée, et chaque scène y composerait une page de vignettes : l’appartement, le toit, l’école, l’église, la rue, le musée apparaissent comme des lieux topiques dans lesquels s’agitent des personnages typiques. Les groupes sont associés à une musique particulière, ce qui produit un comique de répétition et facilite l’immersion du spectateur au sein d’un microcosme déjanté pas si loin de la veine grotesque du cinéma de Bruno Dumont. S’il n’est pas exempt de défauts, La Grande Lessive (!) a le mérite de se construire sur un long crescendo rythmique qui entraîne ses protagonistes dans des péripéties amusantes, et de laisser Bourvil exprimer l’étendue de sa palette de comédien.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 25 octobre 2019
    Le plus gros navet depuis l'invention du cinéma français, ringard et populaire comme l'était Mocky pas fan du tout.
    Sylvie L
    Sylvie L

    12 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 septembre 2019
    Ce n'est pas le meilleur Bourvil mais ça se laisse regarder avec le plaisir de retrouver Jean Poiret et Francis Blanche.
    Vincent D
    Vincent D

    3 abonnés 123 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 21 août 2019
    il y a peut être un côté condescendant à qualifier un film de populaire pour caractériser une comédie peu sophistiquée qui use d'effets faciles pour provoquer le rire mais c'est ce que je ressens en voyant ce film.
    Jean pierre Mocky m'a habitué à des œuvres plus originales que cette comédie certes sympathique et bon enfant mais un peu basique .l'idée de départ était originale mais le scénario se résume tout au long du film en des courses poursuites ou le poursuivi sort par la fenêtre quand le poursuivant entre par la porte.
    Je ne méprise pas pourtant les comédies populaires des années soixante et pour citer celles avec Bourvil, j'ai beaucoup aimé des films tels que la cité de l’indicible peur ou un drôle de paroissien mais ces films reposaient sur une idée originale exploitée tout au long de leur durée tandis que dans ce film, l'idée de départ ne connait pas véritablement de développement en dehors d'une succession de péripéties et gags faciles qui devaient faire rire à l'époque (on ne rit plus des mêmes choses aujourd'hui et si ce film peut provoquer un léger amusement, il a quand même pris un sacré coup de vieux)
    Cela dit ce film se laisse voir et avec le recul du temps et la nostalgie qui va avec,on peut y trouver une certaine poésie comme quand on déniche des vieux jouets dans un grenier ( je me laisse un peu aller avec mes comparaisons hasardeuses!!!)
    ManoCornuta
    ManoCornuta

    261 abonnés 2 859 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 août 2019
    Mocky dans sa meilleure veine, corrosif comme il se doit, à l'instar du procédé du film pour lutter contre l'abêtissement par la télévision. On sent bien que les comédiens se sont amusés comme des petits fous, de l'excellent Bourvil à l'inénarrable Francis Blanche. Toutefois, le film semble perdre de son propos au fur et à mesure de l'avancée de l'histoire, tournant plus à la course-poursuite façon Benny Hill en oubliant de reprendre son marteau pour asséner son message, témoin les dernières scènes très expéditives. Les péripéties de cette Grande Lessive restent quand même assez amusantes, et d'une grande actualité.
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    1 092 abonnés 5 034 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 10 août 2019
    Là on est dans la bouffonade, la comédie plutôt lourdingue avec ses courses poursuites ridicules et un humour ras ses pâquerettes. D'autres films de Mocky sont largement meilleurs
    mazou31
    mazou31

    88 abonnés 1 273 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 août 2019
    En hommage à Jean-Pierre Mocky j’ai revu « La grande lessive (!) » cinquante ans plus tard. La télévision était déjà ringarde et « bouffeuse de temps de cerveau disponible ». Alors évidemment Mocky se devait de faire un carton sur cette société déjà abrutie par le mal ! Ça tape dur, ça délire, ça court dans tous les sens… et c’est encore drôle malgré le vieilllissement certain. C’est brouillon comme tous ses films, filmé au pas de charge et soutenu par une bande de célébrités de l’époque. De Bourvil, professeur illuminé, à Francis Blanche, obsédé sexuel, en passant par les représentants de la police que Castaner ne renierait pas, tous se donnent à fond dans des gags plus que loufoques.On se régale encore de l’ironie mordante et de la verve de toute cette équipe.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 19 février 2019
    Une grosse farce très lourde uniquement destinée aux fans de Mocky. Passé la première demi-heure intéressante où le tonitruant réalisateur part en croisade contre les effets de la télévision sur les écoliers et leurs parents (une prémonition des ravages exercés par les écrans d'aujourd'hui), le film s'enfonce dans une pochade très lourde et sans nuance comme dans le médiocre «Un drôle de paroissien». Les policiers sont toujours aussi bêtes. Bourvil semble les craindre, mais nous pas du tout, on sait que les héros ne seront pas arrêtés par des policiers aussi stupides. C'est donc un jeu du chat et de la souris qui s'éternise dans une série interminables de gags éculés et absolument pas drôles. Le générique de fin est une libération. On pourra toujours dire si on est gentil que Mocky a senti les événements de Mai 68 (qui se déroulèrent pendant le tournage). Sinon, on dira tout simplement que le film est nul.
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