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    Le Roi danse
    Anecdotes, potins, actus, voire secrets inavouables autour de "Le Roi danse" et de son tournage !

    Gérard Corbiau, le réalisateur

    Auteur d'une cinquantaine de films documentaires pour la RTBF (Télévision belge), Gérard Corbiau a réalisé en 1987, son premier long métrage de fiction pour le cinéma, Le maître de musique. En 1990, il tourne L'année de l'éveil, d'après le roman autobiographique de Charles Juliet.

    Farinelli, il castrato (1994) est nominé pour l'Oscar du Meilleur Film Etranger en 1995 et reçoit les distinctions suivantes : Golden Globe du Meilleur Film Etranger, Césars du Meilleur Son et du Meilleur Décor (1995).

    Le Roi danse est son quatrième long métrage, et le troisième sur un thème musical.

    Olivier Bériot, créateur des costumes

    Il a également créé les costumes de Serial Lover (James Huth) et du Libertin (Gabriel Aghion).

    Molière au cinéma

    Plusieurs pièces de Molière ont été adaptées au cinéma... Mais le rôle de Molière a été tenu par plusieurs comédiens, dont : Fernand Gravey (Si Versailles m'était conté), Gilbert Gil (Si Paris nous était conté), Philippe Caubère (Molière), Dan Coplan (L'homme au masque de fer).

    Boris Terral (Lully)

    Le Roi danse n'est pas le premier film de Boris Terral qui a commencé sa carrière cinématograpgique en 1996 avec Les menteurs (de Elie Chouraqui). Puis, ont suivi Pédale douce (de Gabriel Aghion, 1996) , Post-coïtum, animal triste (de Brigitte Roüan, 1997), Metroland de Philippe Saville, 1998), Les soeurs hamlet (de Abdelkrim Bahloul, 1998), La nuit du destin (de Abdelkrim Bahloul, 1999), Les jardins de l'Eden (de Alessandro d'Alatri, 1999), Le volcan (de Ottokar Runze, 1999), Une pour toutes (de Claude Lelouch, 1999).

    Louis XIV à l'écran

    Si Benoît Magimel et Emil Tarding interprètent Louis XIV dans Le Roi danse, ils sont nombreux à avoir joué le rôle du Roi Soleil au cinéma...

    Quelques acteurs parmi tant d'autres : Sacha Guitry, Jean Desailly, Maxime Mansion, David Birkin, Jacques Toja, Georges Marchal, mais aussi Jean-Pierre Kalfon, Thierry Lhermitte et Leornardo DiCaprio.

    Gérard Corbiau à propos de la place de la musique dans ses films :

    "C'est une question d'esthétique cinématographique, et c'est donc fondamental. Mon plus grand désir, c'est de promouvoir une sorte de mariage périlleux entre le cinéma et la musique. Un cinéma où la musique ne serait plus seconde ou illustrative. Dans Le Roi Danse, comme dans Le Maître de Musique et dans Farinelli, la musique est l'élément central du film. Elle est l'un des personnages fondamentaux du récit. En interrogeant l'une des composantes du langage cinématographique, la musique, je veux la mettre en avant pour la mettre sur le même plan que la fiction, et faire en sorte que les deux éléments - musique et fiction - puissent s'interpénétrer et fusionner sans que jamais l'un ne souffre de la cohabitation avec l'autre. Ce n'est pas évident, tant la force de l'image est grande; parfois, il faut faire en sorte que l'image s'efface pour que la musique puisse être écoutée. Je cherche en fait une expression "opéradique", que les techniques du son en salles permettent aujourd'hui d'aborder avec bonheur."

    Un projet ancien, pour Gérard Corbiau :

    "... Il y a longtemps que j'ai envie de faire un film sur Lully, mais il a fallu du temps pour trouver un chemin qui m'y conduise ! En creusant un peu, c'est-à-dire en lisant beaucoup, je me suis intéressé à l'idée du "roi danseur". On connaît mal Louis XIV sous ce visage : on oublie que le roi était un merveilleux danseur, et qu'il est directement à l'origine de la danse classique, elle-même l'un des fleurons de la culture française. Bientôt, dans toute l'Europe on dansera "à la française", avec des maîtres de ballets français. Rien de tout cela ne serait arrivé sans le ballet de cour, et sans un roi qui danse. Un scénario est un long cheminement et son écriture demanda plus de deux années. Nous nous sommes fixés quelques enjeux. Tout d'abord faire un film autour de la jeunesse du règne du roi Louis XIV, et voir comment ce roi s'empare de l'ensemble des arts, et plus spécifiquement de la danse et de la musique pour imposer l'image qu'il veut qu'on ait de lui. Ainsi, la musique est au centre du film. C'est le personnage principal et, au centre de la musique, il y a le corps du roi. Là est la trame de départ : les rapports entre le pouvoir et la musique. En second lieu, il est alors devenu nécessaire d'imaginer cette page de l'histoire de France à travers ce prisme, de la créer telle que peut-être on ne l'a jamais racontée, sous l'angle de la musique et des autres arts : la danse, le théâtre, la sculpture, l'architecture, la peinture..."

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