Bruno Reidal, confession d'un meurtrier : Critique presse
Bruno Reidal, confession d'un meurtrier
Note moyenne
4,1
27 titres de presse
Cahiers du Cinéma
Culturopoing.com
Les Inrockuptibles
Libération
Marie Claire
Transfuge
Voici
aVoir-aLire.com
20 Minutes
Ecran Large
L'Humanité
L'Obs
La Croix
La Septième Obsession
Le Journal du Dimanche
Le Monde
Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
Mad Movies
Ouest France
Positif
Première
Sud Ouest
Télérama
CinemaTeaser
Critikat.com
Le Figaro
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
27 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Philippe Fauvel
Bruno Reidal est le premier long métrage d’une filmographie hétéroclite et déjà passionnante, où saille une obsession : la recherche d’une présence souterraine. Bruno Reidal est ainsi l’histoire d’une vie cachée, d’une lutte contre des pulsions enfouies.
Culturopoing.com
par Miriem Méghaïzerou
"Bruno Reidal" montre le paradoxe d’une incessante conjuration du passage à l’acte autant que l’espoir et l’attente de sa réalisation, comme celle d’un accomplissement d’un ultime chef-d’œuvre (...) Vincent Le Port met magistralement en scène le déroulement infaillible d’une existence condamnée à la destruction orgasmique.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
Un long métrage qui n’explique rien mais qui explore tout, avec une justesse constante. Bruno Reidal est un grand film d’exploration.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Camille Nevers
Voici une étude au naturalisme aride de la haine, du mal comme possible fête, de la mort comme joie, mais sans plus d’épiphanie que ce grand dégoût de soi, de l’autre, que l’incompatibilité de soi à soi, aux hommes, à Dieu, au monde.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marie Claire
par Emily Barnett
La mise en scène picturale et ultra-précise éblouit par sa virtuosité. Un film qui hante longtemps.
Transfuge
par Serge Kaganski
Un film sidérant, de netteté cinématographique, de courage artistique et d’honnêteté intellectuelle.
Voici
par La Rédaction
Un premier long métrage saisissant, malaisant et magistral.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Dans une mise en scène sobre et maîtrisée, Vincent Le Port raconte la mécanique monstrueuse d’un criminel étouffé par la pudibonderie. Un grand cinéaste est né.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
20 Minutes
par Caroline Vié
Vincent Le Port frappe fort avec son premier long-métrage inspirée de l’histoire vraie d'un tueur d'enfant.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Ecran Large
par Alexandre Janowiak
Vincent Le Port livre un premier film fascinant de maturité avec son Bruno Reidal, exploration de la nature humaine très intime, crue et sans concession. Marquant.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Humanité
par Marie José Sirach
Il y a quelque chose d’envoûtant dans le filmage de Vincent Le Port. La beauté de cette nature primitive filmée évoque des tableaux de maîtres. Les compositions de groupes, au sein de l’école, de la ferme familiale, ces reconstitutions des cartes postales d’antan en noir et blanc, témoignages précieux même si scénarisés qui nous sont parvenus, s’approchent au plus près de la condition des paysans d’alors.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Sophie Grassin
Avec ce premier long-métrage étourdissant de sang-froid et d’intelligence, Le Port soigne ses cadres, recourt au flash-back, contraint son réalisme à l’austérité, ne cherche rien d’autre que de rendre toutes ses raisons à ce crime atroce. Et y parvient aussi grâce à Dimitri Doré, traversé par une grâce butée.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
Le réalisateur ne cherche pas pour autant à analyser les ressorts psychologiques de son geste, plutôt à faire entendre sans jugement la part de souffrance et donc d’humanité de ce jeune paysan magnifiquement interprété par Dimitri Doré (...).
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Septième Obsession
par Adrien Valgalier
Ce premier film très réussi ne décrit pas un simple chemin vers la tentation, mais porte un véritable regard politique sur le fait divers.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Un premier film qui impressionne par son sujet dérangeant et sa mise en scène clinique qui emprunte la forme du drame historique plutôt que du thriller.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Mathieu Macheret
Le film tient tout entier sur une association diabolique entre la voix et les images.
Le Parisien
par La Rédaction
Saisissant et glaçant.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Pierre-Simon Gutman
Pour son premier le métrage, Le Port filme l’histoire vraie d’un jeune assassin au début du XXe siècle, mélangeant un fait divers glauque avec une sécheresse narrative et esthétique presque bressonienne. Le résultat est fascinant, mais un peu renfermé.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Mad Movies
par Christophe Lemaire
Porté par une splendide photo automnale et le jeu réaliste d'acteurs pour la plupart non professionnels ou débtuants (comme l'excellent Dimitri Doré dans le rôle titre), "Bruno Reidal, confession d'un meurtrier" déploie une forme de poésie crue et dérangeante assez unique en son genre.
Ouest France
par La Rédaction
Vincent Le Port s’empare de ce fait divers pour signer une oeuvre aussi puissante dans sa maîtrise que dans sa brutalité.
Positif
par William Le Personnic
Bruno Reidal est un jeune garçon qui n’a pas eu le temps d’étreindre son innocence, un être qui ne s’est pas « empêché » et qui a glissé vers la sauvagerie. Vincent Le Port aura tenté de saisir des contours impénétrables avec une âpreté étonnante
Première
par Thomas Baurez
Découvert à la Semaine de la Critique, ce Bruno Reidal a autant frappé les esprits par la grâce de sa mise en scène que son oppressante brutalité.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Sophie Avon
Vincent le Port adopte la rigueur du texte qui pour être policière n’en possède pas moins une éclatante force. Son film est d’une beauté aigue qui mêle la sauvagerie de l’acte et la splendeur de la nature, l’atrocité du meurtre et la fragilité de l’enfance.
Télérama
par Jacques Morice
Le poids écrasant de la culpabilité, la tentative d’oubli de soi dans l’étude, tout se mêle dans un mouvement implacable de fatalité vertigineuse.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
CinemaTeaser
par Perrine Quennesson
Un film malaisant et la découverte d'un jeune acteur puissant : Dimitri Doré.
Critikat.com
par Thomas Grignon
L'indéniable fascination qu'exerce le film ne masque toutefois pas complètement son ambiguïté : à trop jouer la retenue, la mise en scène fait preuve d’une certaine affectation évoquant moins la rigueur de la morale catholique qu’une prudence précautionneuse.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Figaro
par Olivier Delcroix
Froide, fétichiste, torturée, cette étude psychiatrique empesée ennuie au plus haut point.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Cahiers du Cinéma
Bruno Reidal est le premier long métrage d’une filmographie hétéroclite et déjà passionnante, où saille une obsession : la recherche d’une présence souterraine. Bruno Reidal est ainsi l’histoire d’une vie cachée, d’une lutte contre des pulsions enfouies.
Culturopoing.com
"Bruno Reidal" montre le paradoxe d’une incessante conjuration du passage à l’acte autant que l’espoir et l’attente de sa réalisation, comme celle d’un accomplissement d’un ultime chef-d’œuvre (...) Vincent Le Port met magistralement en scène le déroulement infaillible d’une existence condamnée à la destruction orgasmique.
Les Inrockuptibles
Un long métrage qui n’explique rien mais qui explore tout, avec une justesse constante. Bruno Reidal est un grand film d’exploration.
Libération
Voici une étude au naturalisme aride de la haine, du mal comme possible fête, de la mort comme joie, mais sans plus d’épiphanie que ce grand dégoût de soi, de l’autre, que l’incompatibilité de soi à soi, aux hommes, à Dieu, au monde.
Marie Claire
La mise en scène picturale et ultra-précise éblouit par sa virtuosité. Un film qui hante longtemps.
Transfuge
Un film sidérant, de netteté cinématographique, de courage artistique et d’honnêteté intellectuelle.
Voici
Un premier long métrage saisissant, malaisant et magistral.
aVoir-aLire.com
Dans une mise en scène sobre et maîtrisée, Vincent Le Port raconte la mécanique monstrueuse d’un criminel étouffé par la pudibonderie. Un grand cinéaste est né.
20 Minutes
Vincent Le Port frappe fort avec son premier long-métrage inspirée de l’histoire vraie d'un tueur d'enfant.
Ecran Large
Vincent Le Port livre un premier film fascinant de maturité avec son Bruno Reidal, exploration de la nature humaine très intime, crue et sans concession. Marquant.
L'Humanité
Il y a quelque chose d’envoûtant dans le filmage de Vincent Le Port. La beauté de cette nature primitive filmée évoque des tableaux de maîtres. Les compositions de groupes, au sein de l’école, de la ferme familiale, ces reconstitutions des cartes postales d’antan en noir et blanc, témoignages précieux même si scénarisés qui nous sont parvenus, s’approchent au plus près de la condition des paysans d’alors.
L'Obs
Avec ce premier long-métrage étourdissant de sang-froid et d’intelligence, Le Port soigne ses cadres, recourt au flash-back, contraint son réalisme à l’austérité, ne cherche rien d’autre que de rendre toutes ses raisons à ce crime atroce. Et y parvient aussi grâce à Dimitri Doré, traversé par une grâce butée.
La Croix
Le réalisateur ne cherche pas pour autant à analyser les ressorts psychologiques de son geste, plutôt à faire entendre sans jugement la part de souffrance et donc d’humanité de ce jeune paysan magnifiquement interprété par Dimitri Doré (...).
La Septième Obsession
Ce premier film très réussi ne décrit pas un simple chemin vers la tentation, mais porte un véritable regard politique sur le fait divers.
Le Journal du Dimanche
Un premier film qui impressionne par son sujet dérangeant et sa mise en scène clinique qui emprunte la forme du drame historique plutôt que du thriller.
Le Monde
Le film tient tout entier sur une association diabolique entre la voix et les images.
Le Parisien
Saisissant et glaçant.
Les Fiches du Cinéma
Pour son premier le métrage, Le Port filme l’histoire vraie d’un jeune assassin au début du XXe siècle, mélangeant un fait divers glauque avec une sécheresse narrative et esthétique presque bressonienne. Le résultat est fascinant, mais un peu renfermé.
Mad Movies
Porté par une splendide photo automnale et le jeu réaliste d'acteurs pour la plupart non professionnels ou débtuants (comme l'excellent Dimitri Doré dans le rôle titre), "Bruno Reidal, confession d'un meurtrier" déploie une forme de poésie crue et dérangeante assez unique en son genre.
Ouest France
Vincent Le Port s’empare de ce fait divers pour signer une oeuvre aussi puissante dans sa maîtrise que dans sa brutalité.
Positif
Bruno Reidal est un jeune garçon qui n’a pas eu le temps d’étreindre son innocence, un être qui ne s’est pas « empêché » et qui a glissé vers la sauvagerie. Vincent Le Port aura tenté de saisir des contours impénétrables avec une âpreté étonnante
Première
Découvert à la Semaine de la Critique, ce Bruno Reidal a autant frappé les esprits par la grâce de sa mise en scène que son oppressante brutalité.
Sud Ouest
Vincent le Port adopte la rigueur du texte qui pour être policière n’en possède pas moins une éclatante force. Son film est d’une beauté aigue qui mêle la sauvagerie de l’acte et la splendeur de la nature, l’atrocité du meurtre et la fragilité de l’enfance.
Télérama
Le poids écrasant de la culpabilité, la tentative d’oubli de soi dans l’étude, tout se mêle dans un mouvement implacable de fatalité vertigineuse.
CinemaTeaser
Un film malaisant et la découverte d'un jeune acteur puissant : Dimitri Doré.
Critikat.com
L'indéniable fascination qu'exerce le film ne masque toutefois pas complètement son ambiguïté : à trop jouer la retenue, la mise en scène fait preuve d’une certaine affectation évoquant moins la rigueur de la morale catholique qu’une prudence précautionneuse.
Le Figaro
Froide, fétichiste, torturée, cette étude psychiatrique empesée ennuie au plus haut point.