Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
22 critiques presse
L'Humanité
par Michaël Mélinard
Styliste hors pair, scénariste inspiré, directeur d’acteurs talentueux, C. B. Yi raconte cette tentative d’ascension sociale et d’émancipation en plans-séquences somptueux. L’eldorado consumériste a du plomb dans l’aile. Le cinéaste, un bel avenir devant lui.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Voici
par L.S.
Ce portrait d'une jeunesse sacrifiée, magnifiquement mis en scène et en lumière, est aussi celui d'un pays en voie de modernisation express, façon rouleau compresseur.
Bande à part
par Olivier Pélisson
Derrière sa vitrine d’esthète, le premier long-métrage émouvant de C.B. Yi installe la vision frontale et mélancolique de son jeune réalisateur.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
CinemaTeaser
par Renan Cros
Un premier film impressionnant de maîtrise.
Critikat.com
par Valentin Denis
Loin de se restreindre à une simple critique sociale, le film dépeint les différentes stratégies d’adaptation que mettent en place les personnages pour aménager un espace de liberté à l’intérieur d’un monde hostile.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Alexandre Lebrac
Élégant et intime : Moneyboys est un premier film prometteur et un grand récit sur la solitude de ceux qui aiment mal.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Avec Moneyboys, scénario au cordeau et mise en scène superbe, C.B. Yi, élève du maître autrichien Michael Haneke, traite de la transgression sociale de l’homosexualité en Chine, dans un film à la beauté foudroyante.
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Un scénario au cordeau et une mise en scène superbe.
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Au fil d'une mise en scène tout en précision et fluidité, forte de beaux plans-séquence, C.B. Yi, ancien étudiant de Michael Haneke à Vienne, dépeint avec force les contrastes de la Chine actuelle.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Echos
par Adrien Gombeaud
C.B. Yi parvient à saisir la solitude et la mélancolie d’une vie de fêtes permanentes et de bonheur fabriqué. Autant que des nuits tarifées, Moneyboys décrit dans des couleurs acidulées la difficulté d’être aimé.
Les Fiches du Cinéma
par Florent Boutet
C.B. Yi réalise un film magnifique où irradie Kai Ko, qui apporte une mélancolie et une puissance de jeu remarquables au service d’une histoire poignante.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
Là où Moneyboys se fait le plus bouleversant, c’est quand, après avoir orchestré de déchirantes retrouvailles, il complexifie encore son énigme, qui devient un “comment survivre” : à son passé, son milieu, à son homosexualité mais aussi à une histoire d’amour impossible à quitter.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Olivier Lamm
Avec une mise en scène troublante et un acteur génial, le premier long métrage sans prétention de Yilin Chen Bo narre la prostitution d’un homosexuel chinois en quête de liberté.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Sud Ouest
par Sophie Avon
Remarquable premier long métrage, qui démarre comme un thriller et se poursuit sous forme de fresque contemplative, « Moneyboys » explore le destin d’une Chine actuelle, mais c’est surtout, dans son ampleur existentielle, une œuvre universelle.
Télérama
par Guillemette Odicino
Un film subtilement bouleversant sur la honte, l’estime de soi et le droit au bonheur.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Une plongée sensible dans l’univers de la prostitution masculine, où le regard se concentre autant sur les relations amoureuses entre jeunes homosexuels que sur le rapport ambigu que Taïwan entretient avec la question gay.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Paris Match
par Yannick Vely
Voici un premier film extrêmement prometteur, certes sous influences diverses - on pense beaucoup à « Happy Together » de Wong Kar-waï et aux films de Tsai Ming-liang -, mais d'une telle maîtrise que l'on est persuadé d'avoir vu là l'esquisse d'une grande oeuvre à venir.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Bernard Génin
Si on s’attache au contexte documentaire, on reste un peu sur sa faim concernant le sort fait aux homosexuels en Chine.
Première
par Thierry Chèze
Peuplé de scènes fortes, Moneyboys frappe aussi par la beauté formelle aux couleurs vives de sa mise en images où rigueur ne rime jamais avec austérité pour ne pas ajouter de la noirceur à la noirceur.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
par Pierre Eugène
Des cadres fixes, larges et volontiers symétriques, sans la grâce d’un contrechamp ou d’un plan rapproché, gardent à bonne distance les personnages comme pour les protéger d’un voyeurisme malvenu ou d’une poisseuse compassion.
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Eclairages au néon, langueur surjouée, sensualité insistante, et des personnages qui sont surtout des figures de portemanteau pour Fashion Week… Ici, la prostitution devient un objet filmique branchouille et arty.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Mathieu Macheret
A l'arrivée, Moneyboys manque de ce qui semblait pourtant son domaine de prédilection : un peu de chair.
L'Humanité
Styliste hors pair, scénariste inspiré, directeur d’acteurs talentueux, C. B. Yi raconte cette tentative d’ascension sociale et d’émancipation en plans-séquences somptueux. L’eldorado consumériste a du plomb dans l’aile. Le cinéaste, un bel avenir devant lui.
Voici
Ce portrait d'une jeunesse sacrifiée, magnifiquement mis en scène et en lumière, est aussi celui d'un pays en voie de modernisation express, façon rouleau compresseur.
Bande à part
Derrière sa vitrine d’esthète, le premier long-métrage émouvant de C.B. Yi installe la vision frontale et mélancolique de son jeune réalisateur.
CinemaTeaser
Un premier film impressionnant de maîtrise.
Critikat.com
Loin de se restreindre à une simple critique sociale, le film dépeint les différentes stratégies d’adaptation que mettent en place les personnages pour aménager un espace de liberté à l’intérieur d’un monde hostile.
Culturopoing.com
Élégant et intime : Moneyboys est un premier film prometteur et un grand récit sur la solitude de ceux qui aiment mal.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Avec Moneyboys, scénario au cordeau et mise en scène superbe, C.B. Yi, élève du maître autrichien Michael Haneke, traite de la transgression sociale de l’homosexualité en Chine, dans un film à la beauté foudroyante.
Le Dauphiné Libéré
Un scénario au cordeau et une mise en scène superbe.
Le Journal du Dimanche
Au fil d'une mise en scène tout en précision et fluidité, forte de beaux plans-séquence, C.B. Yi, ancien étudiant de Michael Haneke à Vienne, dépeint avec force les contrastes de la Chine actuelle.
Les Echos
C.B. Yi parvient à saisir la solitude et la mélancolie d’une vie de fêtes permanentes et de bonheur fabriqué. Autant que des nuits tarifées, Moneyboys décrit dans des couleurs acidulées la difficulté d’être aimé.
Les Fiches du Cinéma
C.B. Yi réalise un film magnifique où irradie Kai Ko, qui apporte une mélancolie et une puissance de jeu remarquables au service d’une histoire poignante.
Les Inrockuptibles
Là où Moneyboys se fait le plus bouleversant, c’est quand, après avoir orchestré de déchirantes retrouvailles, il complexifie encore son énigme, qui devient un “comment survivre” : à son passé, son milieu, à son homosexualité mais aussi à une histoire d’amour impossible à quitter.
Libération
Avec une mise en scène troublante et un acteur génial, le premier long métrage sans prétention de Yilin Chen Bo narre la prostitution d’un homosexuel chinois en quête de liberté.
Sud Ouest
Remarquable premier long métrage, qui démarre comme un thriller et se poursuit sous forme de fresque contemplative, « Moneyboys » explore le destin d’une Chine actuelle, mais c’est surtout, dans son ampleur existentielle, une œuvre universelle.
Télérama
Un film subtilement bouleversant sur la honte, l’estime de soi et le droit au bonheur.
aVoir-aLire.com
Une plongée sensible dans l’univers de la prostitution masculine, où le regard se concentre autant sur les relations amoureuses entre jeunes homosexuels que sur le rapport ambigu que Taïwan entretient avec la question gay.
Paris Match
Voici un premier film extrêmement prometteur, certes sous influences diverses - on pense beaucoup à « Happy Together » de Wong Kar-waï et aux films de Tsai Ming-liang -, mais d'une telle maîtrise que l'on est persuadé d'avoir vu là l'esquisse d'une grande oeuvre à venir.
Positif
Si on s’attache au contexte documentaire, on reste un peu sur sa faim concernant le sort fait aux homosexuels en Chine.
Première
Peuplé de scènes fortes, Moneyboys frappe aussi par la beauté formelle aux couleurs vives de sa mise en images où rigueur ne rime jamais avec austérité pour ne pas ajouter de la noirceur à la noirceur.
Cahiers du Cinéma
Des cadres fixes, larges et volontiers symétriques, sans la grâce d’un contrechamp ou d’un plan rapproché, gardent à bonne distance les personnages comme pour les protéger d’un voyeurisme malvenu ou d’une poisseuse compassion.
L'Obs
Eclairages au néon, langueur surjouée, sensualité insistante, et des personnages qui sont surtout des figures de portemanteau pour Fashion Week… Ici, la prostitution devient un objet filmique branchouille et arty.
Le Monde
A l'arrivée, Moneyboys manque de ce qui semblait pourtant son domaine de prédilection : un peu de chair.