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    Moneyboys
    Note moyenne
    3,7
    22 titres de presse
    • L'Humanité
    • Voici
    • Bande à part
    • CinemaTeaser
    • Critikat.com
    • Culturopoing.com
    • Dernières Nouvelles d'Alsace
    • Le Dauphiné Libéré
    • Le Journal du Dimanche
    • Les Echos
    • Les Fiches du Cinéma
    • Les Inrockuptibles
    • Libération
    • Sud Ouest
    • Télérama
    • aVoir-aLire.com
    • Paris Match
    • Positif
    • Première
    • Cahiers du Cinéma
    • L'Obs
    • Le Monde

    Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

    22 critiques presse

    L'Humanité

    par Michaël Mélinard

    Styliste hors pair, scénariste inspiré, directeur d’acteurs talentueux, C. B. Yi raconte cette tentative d’ascension sociale et d’émancipation en plans-séquences somptueux. L’eldorado consumériste a du plomb dans l’aile. Le cinéaste, un bel avenir devant lui.

    La critique complète est disponible sur le site L'Humanité

    Voici

    par L.S.

    Ce portrait d'une jeunesse sacrifiée, magnifiquement mis en scène et en lumière, est aussi celui d'un pays en voie de modernisation express, façon rouleau compresseur.

    Bande à part

    par Olivier Pélisson

    Derrière sa vitrine d’esthète, le premier long-métrage émouvant de C.B. Yi installe la vision frontale et mélancolique de son jeune réalisateur.

    La critique complète est disponible sur le site Bande à part

    CinemaTeaser

    par Renan Cros

    Un premier film impressionnant de maîtrise.

    Critikat.com

    par Valentin Denis

    Loin de se restreindre à une simple critique sociale, le film dépeint les différentes stratégies d’adaptation que mettent en place les personnages pour aménager un espace de liberté à l’intérieur d’un monde hostile.

    La critique complète est disponible sur le site Critikat.com

    Culturopoing.com

    par Alexandre Lebrac

    Élégant et intime : Moneyboys est un premier film prometteur et un grand récit sur la solitude de ceux qui aiment mal.

    Dernières Nouvelles d'Alsace

    par Nathalie Chifflet

    Avec Moneyboys, scénario au cordeau et mise en scène superbe, C.B. Yi, élève du maître autrichien Michael Haneke, traite de la transgression sociale de l’homosexualité en Chine, dans un film à la beauté foudroyante.

    Le Dauphiné Libéré

    par Nathalie Chifflet

    Un scénario au cordeau et une mise en scène superbe.

    Le Journal du Dimanche

    par Alexis Campion

    Au fil d'une mise en scène tout en précision et fluidité, forte de beaux plans-séquence, C.B. Yi, ancien étudiant de Michael Haneke à Vienne, dépeint avec force les contrastes de la Chine actuelle.

    La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche

    Les Echos

    par Adrien Gombeaud

    C.B. Yi parvient à saisir la solitude et la mélancolie d’une vie de fêtes permanentes et de bonheur fabriqué. Autant que des nuits tarifées, Moneyboys décrit dans des couleurs acidulées la difficulté d’être aimé.

    Les Fiches du Cinéma

    par Florent Boutet

    C.B. Yi réalise un film magnifique où irradie Kai Ko, qui apporte une mélancolie et une puissance de jeu remarquables au service d’une histoire poignante.

    La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma

    Les Inrockuptibles

    par Marilou Duponchel

    Là où Moneyboys se fait le plus bouleversant, c’est quand, après avoir orchestré de déchirantes retrouvailles, il complexifie encore son énigme, qui devient un “comment survivre” : à son passé, son milieu, à son homosexualité mais aussi à une histoire d’amour impossible à quitter.

    La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles

    Libération

    par Olivier Lamm

    Avec une mise en scène troublante et un acteur génial, le premier long métrage sans prétention de Yilin Chen Bo narre la prostitution d’un homosexuel chinois en quête de liberté.

    La critique complète est disponible sur le site Libération

    Sud Ouest

    par Sophie Avon

    Remarquable premier long métrage, qui démarre comme un thriller et se poursuit sous forme de fresque contemplative, « Moneyboys » explore le destin d’une Chine actuelle, mais c’est surtout, dans son ampleur existentielle, une œuvre universelle.

    Télérama

    par Guillemette Odicino

    Un film subtilement bouleversant sur la honte, l’estime de soi et le droit au bonheur.

    La critique complète est disponible sur le site Télérama

    aVoir-aLire.com

    par Laurent Cambon

    Une plongée sensible dans l’univers de la prostitution masculine, où le regard se concentre autant sur les relations amoureuses entre jeunes homosexuels que sur le rapport ambigu que Taïwan entretient avec la question gay.

    La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com

    Paris Match

    par Yannick Vely

    Voici un premier film extrêmement prometteur, certes sous influences diverses - on pense beaucoup à « Happy Together » de Wong Kar-waï et aux films de Tsai Ming-liang -, mais d'une telle maîtrise que l'on est persuadé d'avoir vu là l'esquisse d'une grande oeuvre à venir.

    La critique complète est disponible sur le site Paris Match

    Positif

    par Bernard Génin

    Si on s’attache au contexte documentaire, on reste un peu sur sa faim concernant le sort fait aux homosexuels en Chine.

    Première

    par Thierry Chèze

    Peuplé de scènes fortes, Moneyboys frappe aussi par la beauté formelle aux couleurs vives de sa mise en images où rigueur ne rime jamais avec austérité pour ne pas ajouter de la noirceur à la noirceur.

    La critique complète est disponible sur le site Première

    Cahiers du Cinéma

    par Pierre Eugène

    Des cadres fixes, larges et volontiers symétriques, sans la grâce d’un contrechamp ou d’un plan rapproché, gardent à bonne distance les personnages comme pour les protéger d’un voyeurisme malvenu ou d’une poisseuse compassion.

    L'Obs

    par Xavier Leherpeur

    Eclairages au néon, langueur surjouée, sensualité insistante, et des personnages qui sont surtout des figures de portemanteau pour Fashion Week… Ici, la prostitution devient un objet filmique branchouille et arty.

    La critique complète est disponible sur le site L'Obs

    Le Monde

    par Mathieu Macheret

    A l'arrivée, Moneyboys manque de ce qui semblait pourtant son domaine de prédilection : un peu de chair.

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