Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Le film scintille par la manière qu’il a de placer ses espoirs dans une jeunesse prête à enfin questionner son héritage, qu’il soit sombre, glorieux, surtout profondément ancré en toutes et tous.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Une œuvre fascinante et envoûtante où se mêle aux méandres amoureux, la contemplation quasi spirituelle d’un pays, Haïti, bouleversé par la barbarie politique, les accidents géologiques et la force délétère des traditions.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Puisant dans la légende, Bertrand Bonello la transpose dans la France d’aujourd’hui, ce qui la rend encore plus captivante quand une jeune fille rêve de réduire son aimé à la merci de son affection.
Il y a, en point d’orgue du dernier film de Bertrand Bonello, une séquence dont les images hallucinatoires resteront longtemps gravées dans nos mémoires.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
On croirait au film le moins formel de Bonello, mais il a cette précision désinvolte qui en fait d’abord une œuvre assez humble. Son regard curieux sur son pays et sur sa jeunesse lui donne toute sa singularité.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Avec virtuosité et élégance, Bonello signe une merveille de récit anthropologique, une plongée singulière et intrigante dans l’univers du vaudou. Ce fascinant récit est notre propre récit initiatique au mystère de la magie d’Haïti, dédiabolisée.
Teen movie, exploration de la condition d'esclave, rêverie fantastique et hommage cinéphile, "Zombi Child" est tout cela à la fois. Si le film brouille parfois un peu trop les pistes, il recèle quantité de trouvailles de cinéma à l'impact saisissant.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le style du cinéaste, tout en beauté froide mais jamais glaciale, capte l’étrangeté, la fascination mais aussi la dimension humaine de ces zombis, immortelles métaphores de tous les maudits du monde.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Bertrand Bonello, dont le talent n’est plus à prouver, maîtrise suffisamment bien son sujet pour rendre crédible ce qui aurait pu paraître artificiel voire franchement grotesque.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Bertrand Bonello a écrit un film étonnant entre deux époques, le Haïti des années 1960, représenté par la mémoire d’un homme devenu zombi, et la France d’aujourd’hui, à travers les élèves d’une école d’élite près de Paris.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le film est aussi percutant lorsqu’il évoque ces jeunes filles de bonne famille qui chantent du rap aux paroles crues que lorsqu’il dépeint les croyances du vaudou. Surtout, il crée une atmosphère mystérieuse, qui nous envoûte peu à peu, jusqu’à un final troublant.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
De cette méthode (jeter les produits dans l’éprouvette, voir ce que ça donne) ressort ainsi ce film prodigieux, par moments en équilibre précaire […], mais toujours surprenant et stimulant, point d’interrogation plus que d’exclamation, qui a ce pouvoir rare de vous hanter bien après son visionnage.
Cependant, même s'il ne méprise pas les conventions du teen movie horrifique, les prenant même à bras le corps à sa manière, "Zombi Child" trace un chemin en lignes brisées qui lui est propre.
Le montage alterne avec fluidité l'histoire haïtienne et le récit parisien jusqu'à son impressionnant dénouement où Bertrand Bonello confronte la naïveté d'une jeune fille en fleurs à la toute puissance du Baron Samedi.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Bonello n'a pas son pareil pour faire naître la troublante poésie de lieux insolites, ou nous faire partager la névrose collective de communautés enfermées dans ces espaces où terreur et beauté se côtoient [....]
Bonello navigue avec sa sensibilité de portraitiste. Il reste indifférent aux gouffres qu’il traverse mais soucieux d’établir un pont entre deux genres cinématographiques, le « teen movie » et la reconstitution, l’étrangeté et le réalisme, le fantastique et la leçon d’histoire.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Issus de deux univers radicalement différents, le zombie et l’enfant sont les deux figures majeures d’un scénario, éminemment bonellien dans sa double orientation, dont les visages et les virages multiplient les jeux d’échos et les parallèles destinés à stimuler la réflexion du spectateur.
Bertrand Bonello réalise ici une œuvre audacieuse, surprenante. Pas toujours captivante, ni franchement drôle – à des moments où elle voudrait l’être -, mais déployant souvent de beaux paysages visuels et sonores.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Entre croyances, réalité et doute, Bertrand Bonello a trouvé le ton juste pour mener ce film traitant tout autant des rites vaudous que des relations historiquement passionnelles qui unissent la France à Haïti.
Son "Zombi Child" remplit plutôt bien ses promesses, avec son atmosphère angoissante et fantastique qui rappelle le cinéma de Dario Argento ou de Brian De Palma. Dommage que le dernier tiers du film ne soit pas à la hauteur des attentes.
Un Haïtien, transformé en zombi, est envoyé de force dans les plantations. Cinquante ans plus tard, sa petite-fille arrive dans un pensionnat d'élite où elle raconte son histoire familiale à ses amies. La partie la plus captivante avec des actrices merveilleuses. Les zombis, miroir de l'esclavagisme, auraient pu leur laisser plus de place.
La mise en scène capte une atmosphère qu’on aimerait toutefois plus envoûtante et forcément un peu plus dévorante. L’emprise des ténèbres - pour paraphraser le titre d’un bon film de Wes Craven sur la question - n’a malheureusement pas vraiment lieu.
La critique complète est disponible sur le site Première
Libération
Le film scintille par la manière qu’il a de placer ses espoirs dans une jeunesse prête à enfin questionner son héritage, qu’il soit sombre, glorieux, surtout profondément ancré en toutes et tous.
aVoir-aLire.com
Une œuvre fascinante et envoûtante où se mêle aux méandres amoureux, la contemplation quasi spirituelle d’un pays, Haïti, bouleversé par la barbarie politique, les accidents géologiques et la force délétère des traditions.
20 Minutes
Puisant dans la légende, Bertrand Bonello la transpose dans la France d’aujourd’hui, ce qui la rend encore plus captivante quand une jeune fille rêve de réduire son aimé à la merci de son affection.
Bande à part
Il y a, en point d’orgue du dernier film de Bertrand Bonello, une séquence dont les images hallucinatoires resteront longtemps gravées dans nos mémoires.
CinemaTeaser
On croirait au film le moins formel de Bonello, mais il a cette précision désinvolte qui en fait d’abord une œuvre assez humble. Son regard curieux sur son pays et sur sa jeunesse lui donne toute sa singularité.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Avec virtuosité et élégance, Bonello signe une merveille de récit anthropologique, une plongée singulière et intrigante dans l’univers du vaudou. Ce fascinant récit est notre propre récit initiatique au mystère de la magie d’Haïti, dédiabolisée.
Ecran Large
Teen movie, exploration de la condition d'esclave, rêverie fantastique et hommage cinéphile, "Zombi Child" est tout cela à la fois. Si le film brouille parfois un peu trop les pistes, il recèle quantité de trouvailles de cinéma à l'impact saisissant.
L'Ecran Fantastique
Du grand cinéma, profond et maîtrisé.
L'Obs
Le style du cinéaste, tout en beauté froide mais jamais glaciale, capte l’étrangeté, la fascination mais aussi la dimension humaine de ces zombis, immortelles métaphores de tous les maudits du monde.
La Croix
Bertrand Bonello, dont le talent n’est plus à prouver, maîtrise suffisamment bien son sujet pour rendre crédible ce qui aurait pu paraître artificiel voire franchement grotesque.
La Septième Obsession
Un film qui se traverse et se ressent comme une incantation vénéneuse et hypnotique, élégie à la beauté ardente et délétère.
Le Dauphiné Libéré
Bertrand Bonello, avec sa manière virtuose et élégante, réussit le tour de passe-passe parfait.
Le Figaro
Ce "petit" film, tourné rapidement avec un budget de série B, comme l’a d’abord considéré Bonello, frappe fort.
Le Journal du Dimanche
[Bonello] signe une fable envoûtante et mystérieuse, qui bouleverse les certitudes et cède la place à l’irrationnel.
Le Monde
Bertrand Bonello a écrit un film étonnant entre deux époques, le Haïti des années 1960, représenté par la mémoire d’un homme devenu zombi, et la France d’aujourd’hui, à travers les élèves d’une école d’élite près de Paris.
Le Parisien
Le film est aussi percutant lorsqu’il évoque ces jeunes filles de bonne famille qui chantent du rap aux paroles crues que lorsqu’il dépeint les croyances du vaudou. Surtout, il crée une atmosphère mystérieuse, qui nous envoûte peu à peu, jusqu’à un final troublant.
Le Point
Un film sensible, beau et intelligent qui se transforme sur le final en une transe glaçante. On en frémit encore !
Les Inrockuptibles
De cette méthode (jeter les produits dans l’éprouvette, voir ce que ça donne) ressort ainsi ce film prodigieux, par moments en équilibre précaire […], mais toujours surprenant et stimulant, point d’interrogation plus que d’exclamation, qui a ce pouvoir rare de vous hanter bien après son visionnage.
Mad Movies
Cependant, même s'il ne méprise pas les conventions du teen movie horrifique, les prenant même à bras le corps à sa manière, "Zombi Child" trace un chemin en lignes brisées qui lui est propre.
Paris Match
Le montage alterne avec fluidité l'histoire haïtienne et le récit parisien jusqu'à son impressionnant dénouement où Bertrand Bonello confronte la naïveté d'une jeune fille en fleurs à la toute puissance du Baron Samedi.
Positif
Bonello n'a pas son pareil pour faire naître la troublante poésie de lieux insolites, ou nous faire partager la névrose collective de communautés enfermées dans ces espaces où terreur et beauté se côtoient [....]
Sud Ouest
Bonello navigue avec sa sensibilité de portraitiste. Il reste indifférent aux gouffres qu’il traverse mais soucieux d’établir un pont entre deux genres cinématographiques, le « teen movie » et la reconstitution, l’étrangeté et le réalisme, le fantastique et la leçon d’histoire.
Transfuge
Bien que le film soit çà et là un peu théorique, il frémit tout du long d'une spiritualité hantée et d'une sensualité à vif.
Télérama
Une évocation ensorcelante mais réaliste de la culture haïtienne.
Cahiers du Cinéma
Issus de deux univers radicalement différents, le zombie et l’enfant sont les deux figures majeures d’un scénario, éminemment bonellien dans sa double orientation, dont les visages et les virages multiplient les jeux d’échos et les parallèles destinés à stimuler la réflexion du spectateur.
Culturopoing.com
Bertrand Bonello réalise ici une œuvre audacieuse, surprenante. Pas toujours captivante, ni franchement drôle – à des moments où elle voudrait l’être -, mais déployant souvent de beaux paysages visuels et sonores.
Franceinfo Culture
Entre croyances, réalité et doute, Bertrand Bonello a trouvé le ton juste pour mener ce film traitant tout autant des rites vaudous que des relations historiquement passionnelles qui unissent la France à Haïti.
L'Express
Son "Zombi Child" remplit plutôt bien ses promesses, avec son atmosphère angoissante et fantastique qui rappelle le cinéma de Dario Argento ou de Brian De Palma. Dommage que le dernier tiers du film ne soit pas à la hauteur des attentes.
Les Fiches du Cinéma
Bonello livre un exercice intéressant mais dans lequel l’intensité et l’émotion font, hélas, défaut.
Ouest France
Un Haïtien, transformé en zombi, est envoyé de force dans les plantations. Cinquante ans plus tard, sa petite-fille arrive dans un pensionnat d'élite où elle raconte son histoire familiale à ses amies. La partie la plus captivante avec des actrices merveilleuses. Les zombis, miroir de l'esclavagisme, auraient pu leur laisser plus de place.
Critikat.com
Zombi Child, en dépit de ses séduisantes intentions, n’en demeure pas moins un objet atmosphérique qui se rêverait en grand film hanté.
Première
La mise en scène capte une atmosphère qu’on aimerait toutefois plus envoûtante et forcément un peu plus dévorante. L’emprise des ténèbres - pour paraphraser le titre d’un bon film de Wes Craven sur la question - n’a malheureusement pas vraiment lieu.
Marianne
Un film confus, solennel et prétentieux.