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Un visiteur
2,0
Publiée le 1 janvier 2020
Plutôt décevant,un scénario soporifique avec une fin hyper prévisible,en bref un film pas vraiment mauvais mais qui ne marquera pas les esprits des amateurs de cinéma.
j'ai vu ce film le 31.12.19 : je l'ai trouvé bien fait, réaliste et avec de bons ou même très bons acteurs. J'en suis sorti content et heureux. Je le recommande.
Enfin un film sans violence des images magnifiques . Ce film provoquera peut-être des vocations pour ce magnifique métier de vétérinaire rural . Encore merci
Un gentil téléfilm au scénario convenu et à la fin prévisible, s’agissant d’une comédie. Le film, bien documenté, a le mérite de décrire le quotidien des vétérinaires ruraux (à Mhère, dans le Morvan), à la vie de famille compliquée, sans horaires, à la clientèle (animaux de rente) aux revenus modestes, ce qui les empêche, parfois, de facturer leurs actes au coût réel et à la recherche d’un remplaçant depuis 5 ans. Clovis CORNILLAC est crédible dans son rôle de vétérinaire surmené qui doit gérer le départ impromptu en retraite de son associé [Michel JONASZ, caricatural et jouant mal] et accueillir Alexandra, la nièce (Noémie SCHMIDT) de ce dernier, jeune vétérinaire de l’école d’Alfort, major de sa promotion, venant de soutenir sa thèse d’exercice sur les virus influenza et se destinant à une carrière de chercheur à l’Institut Pasteur. La moitié du film est une succession de scènes assez justes, lui donnant un aspect documentaire fidèle (spoiler: césarienne de chienne, vêlage, massage cardiaque, intoxication par le chocolat ). Dommage que le passé des protagonistes ne soit pas assez fouillé (spoiler: à part l’enfance d’Alexandra dans le Morvan, le décès de sa mère alors qu’elle avait 7 ans et son père absent ). Une approche plus sociale et dramatique (à la Ken Loach par exemple) aurait pu donner plus d’épaisseur au film, à l’instar de « Petit paysan » (2017) d’Hubert Charuel ou « Au nom de la terre » (2019) d’Edouard Bergeon. N’oublions pas, néanmoins, que le dernier film consacré à un vétérinaire (une comédie) remonte à 1983 avec « Signes extérieurs de richesse » de Jacques Monnet avec Claude Brasseur dans le rôle du vétérinaire. Un premier film sympathique [belle chanson « Jimmy » (2007) de l’album « Gee whiz but this is a lonesome town » du groupe Moriarty pendant le générique de fin].
Je suis aller voir ce film alors que je ne l'avais pas prévu. Et franchement je suis ressortie de la salle très satisfait de ce moment passé. Un film français de qualité, les plans sont magnifiques, les acteurs sont géniaux, et le travail de la réalisatrice pour son premier long métrage est juste extraordinaire. Un bon moment à passer en famille, entre ami. Pour vraiment tout le monde. Je recommande ce fil et j’espère que la réalisatrice Julie Manoukian ne s'arrêtera pas là. Merci pour ce moment.
Un très beau film sur ces métiers qui permettent aux villages ruraux de survivre. Plus qu'une vocation, le métier de vétérinaire va bien au delà que de soigner les animaux ! C'est souvent une histoire de survie que ce soit pour les maîtres ou tous ces agriculteurs. Émotions, sincérité et rires sont au rendez-vous dans un decor naturel superbe! Les deux acteurs principaux sont d'une vérité magnifique !