Encore un chef d'oeuvre de médiocrité , Balasko fait du Balasko, ça va ! mais le scénario est tellement limpide que l'on peut prévoir tout ce qui va se passer à l'avance. Décidément le comique populaire à du mouron à se faire.
La comédie Française s'est intéressé à la recomposition familiale ces dernieres années (retour à la maison, ...le bon dieu, mon poussin) avec une certaine réussite. Ici, l'idée est bonne mais est très paresseusement écrite. C'est vaudevillesque dans le mauvais sens du terme. On y croirait presque pas sans la présence du couple Bourdon-Balasko qui donnent les seules répliques amusantes du film. Une petite réflexion sur le ressentiment tout de même, décevant.
Une comédie française plutôt dans la moyenne supérieure, avec quelques situations amusantes mais un point de départ que le scénario, pas sufisamment finement écrit, peine à rendre crédible. Du coup c'est tout l'édifice qui tangue un peu, et ce n'est pas le deus ex machina qui arrange les choses. Bref, de bonnes idées et un postulat rigolo, mais trop mal écrit pour fonctionner pleinement. Dommage
Nous sommes tous les enfants d'une patrie, d'une histoire et d'une culture et il est souvent difficile de s'en affranchir. Cette comédie en est la confirmation ; la relation entre gendre et beaux-parents est un thème riche qui peut offrir de nombreuses situations comiques. Il y a presque 20 ans, l'américain Jay Roach nous avait d'ailleurs réjoui avec le pétillant "Mon beau-père et moi" réunissant Ben Stiller et Robert De Niro. Hector Cabello Reyes a, lui-aussi, choisi une belle distribution mais, malgré le jeu de Benabar, Didier Bourdon et Josiane Balasko, il ne parvient pas à échapper à la tradition comique française et son film s'embourbe rapidement dans le vaudeville le plus simple, avec des maîtresses dans le placard, des scènes déjà vues mille fois et des répliques attendues. Dommage.
vu en avant-première , le film est une comédie vaudevillesque avec des bons sentiments a la fin.en dehors des scènes de réunion familiale qui dégénèrent le reste du scénario est convenu sur le pardon l'amour et le lien familial.
Le casting était intéressant mais la qualité des acteurs n'arrive pas à sauver ce film du naufrage. Une histoire et des dialogues qui ne décolle pas. Toujours aussi difficile de trouver de bonnes comédies ( française) .
Un vaudeville très faible et au fond très plat, malgré une idée de départ intéressante. On attend en vain que le film démarre vraiment, ce qui n'arrive jamais. Le prix de ma plus mauvaise musique est attribuée à ce film. On se croirait dans un feuilleton des années 80.
Je suis gentil parce que le film m'a tout de même fait rire, mais l'essentiel est dans la bande annonce. Ca manque de rythme et d'idées. C'est dommage car le point de vue initial était original, mais tout le reste est convenu et caricatural. Heureusement cela reste amusant, mais pas assez pour en faire un bon film.
Malheureusement je n’ai pas ri. L’idée initiale m’a plu mais elle n’est pas développée, sans créativité et avec des longueurs. J’avais bien aimé alibi.com avec Bourdon mais ici ça s’enlise sans rebondissements. Bref, bien déçu !!
Une film pleine d’entrain portée par deux icônes dinausaures de la comédie française. J’ai beaucoup ri, de nombreux quiproquos.. le personnage de Benabar suscite beaucoup d’empathie, mais comment va-t-il arrêter de s’embourber devant Charlie Bruno? pour notre plus grand plaisir....
Une excellente comédie autour d'un scénario évidement cousu de fil blanc, mais plein de rebondissements, tous plus drôles les uns que les autres. Les quiproquos s'enchaînent dans la grande lignée des meilleurs vaudevilles. On compatit très fort au désarroi de ce Harold, persécuté par le scénariste (Bénabar dans les deux cas). Un casting très original et que l'on a envie de revoir met en avant Bourdon et Balasko. C'est parfaitement mérité, mais ne doit pas occulter Bénabar, Charlie Bruneau et Bruno Solomone très à l'aise dans ces démêlés du cocu qui n'est pas celui que vous croyez.
Le casting est prestigieux, Josianne Balasko et Didier Bourdon en particulier tirent le film vers le haut. Bénabar s'en sort plus que bien. Malheureusement si l'idée est bonne, il y a un souci dans le script ou la réalisation que je trouve trop lente, les gags sont drôles mis bout à bout mais sont mal amenés. Je n'ai pas accroché
Le degré zéro du cinéma. Un scénario nul. A part Balasko. Benabar a écrit le scénar...cédant a toutes ses compromissions pour que cette daube voit le jour.