Une chanteuse ratée ment sur sa vie lorsqu'elle apprend que sa grand-mère vient lui rendre visite en France. Dans son mensonge, elle implique Paul, un ancien amour avec qui elle prétend avoir eu un enfant. Un mensonge comme point de départ, ce qui n'est pas très original pour une comédie, avec ensuite les conséquences de ce bobard qui amène de nombreux quiproquos. Des malentendus qui n'ont aucun potentiel comique et qui n'apportent absolument rien au film. Tout est vraiment convenu et manque de naturel. On dirait qu'ils ont fait un film juste pour faire un film. La partie road-trip est inintéressante avec des personnages qui sont ensemble, mais ne parlent pas. L'attentisme de ces derniers est d'ailleurs vite lassant. On veut de la confrontation, mais l'histoire prend une tournure plus mélancolique avec les remords de chacun. Au-delà de la faiblesse du scénario, on ne peut pas dire que les différents personnages soient très attachants. Aucun n'arrive réellement à exister tandis que Jewell est un brin agaçante. Bref, "On ment toujours à ceux qu'on aime" est un film ennuyeux qui ne vaut pas mieux qu'un téléfilm.
Peu crédible, agaçant de par l'histoire et l'actrice principale. Un pseudo road movie sur fond de remord amoureux. On peut se passer de regarder ce film auquel on accroche pas.
Un film nul du début à la fin. long sans intérêt ne perdez pas votre temps passez à autre chose.. L histoire est insipide tous comme les personnages je cherche les passages intéressants mais je n en trouve pas..
On aimerait aimer ces êtres réunis par la famille et le mensonge. Non que les acteurs déçoivent. Seulement, tout est tellement convenu que la surprise jamais n’éclot sous nos yeux lassés : comment croire à cet amoncellement de situations tantôt improbables tantôt éculées ? Le choix du road movie tombe comme un cheveu sur la soupe, et ne bénéficie d’aucune motivation véritable. L’héroïne ne dispose, en outre, que d’un très relatif capital sympathie : larguée, parfois détestable, elle erre dans le film, le spectateur à ses côtés. On ressort d’On ment toujours à ceux qu’on aime avec l’étrange impression d’avoir vu non une œuvre de cinéma à part entière, mais davantage un agrégat de récits mal reliés entre eux. Malheureusement très oubliable, en dépit des acteurs.
Monia Chokri joue une chanteuse ratée qui n’assume pas sa condition de femme célibataire, sans enfant et serveuse dans un bar. Lorsque sa grand-mère revient des Etats-Unis pour la voir à Paris, Jewell va mentir sur sa condition et s’inventer une vie avec Paul, son ex, joué par Jérémie Elkaïm, qui lui à une femme et une fille. Le point de départ de ce premier film de Sandrine Dumas est intéressant. Les deux comédiens forment un bon duo à l’écran. Mais « On ment toujours à ceux qu'on aime » s’éparpille dans un mauvais road trip pour bobos et finit par perdre en essence. D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
merveilleux et sensible un road movie dans les pyrenees ! avec des acteurs touchants et une héroïne qui personnellement me touche beaucoup, sans parler de Marthe Keller qui est formidable, on rigole beaucoup et on grince aussi. Et oui la vie n’est pas un long fleuve tranquille .
J'ai été attiré par le titre du film et son casting (Monia Chokri, Marthe Keller, Jérémie Elkaim...), On ment toujours à ceux qu'on aime est une belle comédie-dramatique, drôle et pleine de tendresses...Je recommande !
Une comédie dramatique à laquelle j’ai personnellement eu du mal à adhérer car je déteste les mensonges à moins qu’ils ne soient une question de vie ou mort, sinon ce n’est que pure mythomanie inutile. Ceci dit, si l’on gomme tous les comportements inappropriés des personnages, ce film se laisse voir tranquillement sans ennui, et c’est l’essentiel. Par ailleurs, ce « road movie » s’achève dans les merveilleux décors naturels des Pyrénées et ce n’est pas négligeable