On ment toujours à ceux qu'on aime : Critique presse
On ment toujours à ceux qu'on aime
Note moyenne
2,6
11 titres de presse
L'Express
Positif
Transfuge
Le Journal du Dimanche
Libération
Télérama
Le Monde
Les Inrockuptibles
aVoir-aLire.com
Les Fiches du Cinéma
Première
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
L'Express
par Antoine Le Fur
A priori, "On ment toujours à ceux qu'on aime" n'est qu'un énième road movie mais ce premier long-métrage de la comédienne Sandrine Dumas réussit à dépasser les clichés du genre en proposant une histoire douce-amère assez atypique, autour de la question de la transmission.
Positif
par Ariane Allard
[...] l'ensemble ne manque pas de charme.
Transfuge
par Damien Aubel
Comédie attachante de la duperie ? Road-movie familial ? Il y a un peu de tout ça, et le film a parfois des allures de "Little Miss Sunshine", version française, si la "little miss" avait vieilli et s’appelait Jewell.
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
De la farce ordinaire jusqu’au road-movie mémoriel en passant par l’escapade romantique, cette comédie farfelue s’égare parfois mais ses actrices tiennent la route autour de l’énergique Mona Chokri.
Libération
par Anne Diatkine
Malgré ses imbroglios farfelus sur le mensonge en famille, le film de Sandrine Dumas touche par son côté road-movie.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par Aurélien Ferenczi
La Canadienne Monia Chokri (révélée par Xavier Dolan dans Les Amours imaginaires) danse bien, joue bien. Son abattage généreux en ex-rockeuse déglinguée, obligée de reprendre le cours de sa vie, tient joliment le film.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
par Thomas Sotinel
On peut s’arrêter aux lieux communs du scénario et se décourager. Ou alors s’étonner joyeusement de voir une cinéaste débutante trouver si aisément le juste ton pour sa mise en scène et des acteurs porter le film bien plus haut qu’il n’en aurait besoin.
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
[…] si le trio Jérémie Elkaïm, Marthe Keller et Fionnula Flanagan se révèle impeccable, Monia Chokri, éblouissante excentrique chez Dolan, force à outrance l’extravagance de son personnage de rockeuse-loseuse et compose une pile électrique en survoltage, plus irritante que touchante.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
aVoir-aLire.com
par Julien Dugois
Une comédie qui démarre bien, mais qui opte pour le choix rédhibitoire d’adopter, à mi-parcours, un rythme plombant, sur le chemin balisé du road-movie.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Les Fiches du Cinéma
par Amélie Leray
Faussement original, ce road movie n’arrive pas à la hauteur de ses ambitions et ennuie par une histoire plate et des personnages superficiels.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Thomas Baurez
Ah ! Les joies du roadmovie, éloge d’une liberté retrouvée le temps d’un périple réconciliateur ! Le genre, épuisé et épuisant, peut-il encore révéler quelque chose ? Sûrement, mais pas ici tant le parcours hyper balisé n’a pas beaucoup de sorties de route à offrir.
La critique complète est disponible sur le site Première
L'Express
A priori, "On ment toujours à ceux qu'on aime" n'est qu'un énième road movie mais ce premier long-métrage de la comédienne Sandrine Dumas réussit à dépasser les clichés du genre en proposant une histoire douce-amère assez atypique, autour de la question de la transmission.
Positif
[...] l'ensemble ne manque pas de charme.
Transfuge
Comédie attachante de la duperie ? Road-movie familial ? Il y a un peu de tout ça, et le film a parfois des allures de "Little Miss Sunshine", version française, si la "little miss" avait vieilli et s’appelait Jewell.
Le Journal du Dimanche
De la farce ordinaire jusqu’au road-movie mémoriel en passant par l’escapade romantique, cette comédie farfelue s’égare parfois mais ses actrices tiennent la route autour de l’énergique Mona Chokri.
Libération
Malgré ses imbroglios farfelus sur le mensonge en famille, le film de Sandrine Dumas touche par son côté road-movie.
Télérama
La Canadienne Monia Chokri (révélée par Xavier Dolan dans Les Amours imaginaires) danse bien, joue bien. Son abattage généreux en ex-rockeuse déglinguée, obligée de reprendre le cours de sa vie, tient joliment le film.
Le Monde
On peut s’arrêter aux lieux communs du scénario et se décourager. Ou alors s’étonner joyeusement de voir une cinéaste débutante trouver si aisément le juste ton pour sa mise en scène et des acteurs porter le film bien plus haut qu’il n’en aurait besoin.
Les Inrockuptibles
[…] si le trio Jérémie Elkaïm, Marthe Keller et Fionnula Flanagan se révèle impeccable, Monia Chokri, éblouissante excentrique chez Dolan, force à outrance l’extravagance de son personnage de rockeuse-loseuse et compose une pile électrique en survoltage, plus irritante que touchante.
aVoir-aLire.com
Une comédie qui démarre bien, mais qui opte pour le choix rédhibitoire d’adopter, à mi-parcours, un rythme plombant, sur le chemin balisé du road-movie.
Les Fiches du Cinéma
Faussement original, ce road movie n’arrive pas à la hauteur de ses ambitions et ennuie par une histoire plate et des personnages superficiels.
Première
Ah ! Les joies du roadmovie, éloge d’une liberté retrouvée le temps d’un périple réconciliateur ! Le genre, épuisé et épuisant, peut-il encore révéler quelque chose ? Sûrement, mais pas ici tant le parcours hyper balisé n’a pas beaucoup de sorties de route à offrir.