Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Culturopoing.com
par Jean-François Dickeli
Une mise en scène nerveuse et alerte qui s’accompagne d’un propos bien moins simpliste qu’il n’y paraît, faisant de Bykov l’un des cinéastes russes à suivre de très près.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Ecran Large
par Simon Riaux
Une oeuvre de révolte puissante, aussi ravageuse quand elle scrute les âmes que quand elle embrasse son pendant spectaculaire.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Un thriller social hargneux et nihiliste.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Les Fiches du Cinéma
par Amélie Leray
Après "L’Idiot", Yuri Bykov confirme son impressionnante maîtrise formelle et son talent de scénariste avec "Factory". Un film juste en tout point qui, entre drame et thriller, questionne la violente lutte des classes en Russie et cristallise un malaise social persistant.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Bykov se sert évidemment de l'efficacité du polar pour livrer un portrait violent et tragique de son pays.
Franceinfo Culture
par Pierre-Yves Grenu
Ce film de braquage bien ficelé se singularise par sa dimension politique et sociale. Si la critique du capitalisme sauvage à la russe est sévère, elle ne s’encombre pas de subtilités.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Express
par Christophe Carrière
Le film de genre se transforme en une dénonciation abstraite du système et de la politique russes. L'un n'empêche pas l'autre, mais le faire simplement et sans détours aurait été plus efficace.
L'Obs
par Nicolas Schaller
Admirablement filmé, Factory convainc moins, la parabole politique prenant le pas sur le suspense, la crédibilité de certains personnages et l'adhésion du spectateur.
Le Figaro
par Nathalie Simon
Thriller social, critique du pouvoir en place, le réalisateur russe signe une mise en scène comparable à celle de son compatriote Zviaguintsev, avec des personnages un peu manichéens.
Télérama
par Guillemette Odicino
Ce violent thriller social impressionne : bâti comme un huis clos, il recèle en son cœur une séquence de fusillade dans la pénombre de ce décor industriel d’une maîtrise et d’une tension qui laissent pantois. Dommage que la mise en scène soit trop démonstrative (...).
La critique complète est disponible sur le site Télérama
La Croix
par Céline Rouden
Des ouvriers métallurgistes enlèvent l’oligarque qui s’apprête à vendre leur usine dans ce polar social qui tourne rapidement à la confrontation virile.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Construit comme un western avec un justicier balafré, ce huis clos âpre s'enlise peu à peu, le rythme chute à cause des discussions interminables entre les ravisseurs et la victime.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Hélas, les défauts de son précédent film, L’Idiot (2015), sont exacerbés : surjeu, théâtralité, torpeur morale, virilisme épuisant. On a connu des voies plus subtiles pour exprimer la fatalité russe.
Ouest France
par La Rédaction
Un huis clos âpre mais un brin convenu.
Première
par Christophe Narbonne
Sur le papier, Factory a tout pour plaire (...) À l’écran, après une mise en place efficace, le film, beaucoup trop long, enchaîne les tunnels de dialogues sur l’état de déliquescence du régime russe, dont Yuri Bykov est un ardent contempteur – on lui doit aussi Le Major et L’Idiot.
La critique complète est disponible sur le site Première
Culturopoing.com
Une mise en scène nerveuse et alerte qui s’accompagne d’un propos bien moins simpliste qu’il n’y paraît, faisant de Bykov l’un des cinéastes russes à suivre de très près.
Ecran Large
Une oeuvre de révolte puissante, aussi ravageuse quand elle scrute les âmes que quand elle embrasse son pendant spectaculaire.
La Voix du Nord
Un thriller social hargneux et nihiliste.
Les Fiches du Cinéma
Après "L’Idiot", Yuri Bykov confirme son impressionnante maîtrise formelle et son talent de scénariste avec "Factory". Un film juste en tout point qui, entre drame et thriller, questionne la violente lutte des classes en Russie et cristallise un malaise social persistant.
CinemaTeaser
Bykov se sert évidemment de l'efficacité du polar pour livrer un portrait violent et tragique de son pays.
Franceinfo Culture
Ce film de braquage bien ficelé se singularise par sa dimension politique et sociale. Si la critique du capitalisme sauvage à la russe est sévère, elle ne s’encombre pas de subtilités.
L'Express
Le film de genre se transforme en une dénonciation abstraite du système et de la politique russes. L'un n'empêche pas l'autre, mais le faire simplement et sans détours aurait été plus efficace.
L'Obs
Admirablement filmé, Factory convainc moins, la parabole politique prenant le pas sur le suspense, la crédibilité de certains personnages et l'adhésion du spectateur.
Le Figaro
Thriller social, critique du pouvoir en place, le réalisateur russe signe une mise en scène comparable à celle de son compatriote Zviaguintsev, avec des personnages un peu manichéens.
Télérama
Ce violent thriller social impressionne : bâti comme un huis clos, il recèle en son cœur une séquence de fusillade dans la pénombre de ce décor industriel d’une maîtrise et d’une tension qui laissent pantois. Dommage que la mise en scène soit trop démonstrative (...).
La Croix
Des ouvriers métallurgistes enlèvent l’oligarque qui s’apprête à vendre leur usine dans ce polar social qui tourne rapidement à la confrontation virile.
Le Journal du Dimanche
Construit comme un western avec un justicier balafré, ce huis clos âpre s'enlise peu à peu, le rythme chute à cause des discussions interminables entre les ravisseurs et la victime.
Le Monde
Hélas, les défauts de son précédent film, L’Idiot (2015), sont exacerbés : surjeu, théâtralité, torpeur morale, virilisme épuisant. On a connu des voies plus subtiles pour exprimer la fatalité russe.
Ouest France
Un huis clos âpre mais un brin convenu.
Première
Sur le papier, Factory a tout pour plaire (...) À l’écran, après une mise en place efficace, le film, beaucoup trop long, enchaîne les tunnels de dialogues sur l’état de déliquescence du régime russe, dont Yuri Bykov est un ardent contempteur – on lui doit aussi Le Major et L’Idiot.