Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Il y a autant de cinéma que de sentiments dans cette œuvre qui donne l’impression qu’on vient de découvrir un futur grand cinéaste.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Cahiers du Cinéma
par Stéphane du Mesnildot
Premier film surprenant d’un réalisateur de 23 ans, une fable sur un enfant confronté pour la première fois à des notions qui le dépassent comme la foi ou le deuil.
Femme Actuelle
par La rédaction
[...] un vrai délice, tantôt drôle, tantôt poignant, avec un ton unique.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Un splendide film sur l’enfance, initiatique, original et profond.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Humanité
par Vincent Ostria
Au-delà de la farce apparente, un premier film candide et poétique.
Le Figaro
par La Rédaction
Hiroshi Okuyama signe un premier film très accompli sur le monde de l’enfance.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Au moment où l'on se demande si le brillant du pitch de départ ne va pas s'essouffler, Okuyama nous mène au cœur de son sujet. Et le film va devenir un récit initiatique. Yura va mûrir, comprendre certaines choses, faire des choix. Tout cela a la grâce de n'être jamais dit, mais suggéré par la mise en scène, et c'est bien ce qui signe l'authenticité d'un cinéate. (...) La délicatesse y côtoie l'amertume, le tragique et un humour narquois, un peu kitsch.
Libération
par Marius Chapuis
Ecrit à hauteur d’enfant, le beau premier film du très jeune Hiroshi Okuyama, 23 ans, rappelle les mangas de Taiyo Matsumoto par son extrême sensibilité, par cette tristesse profonde percée par quelques moments de félicité collective, et par cette manière de capter un comportement en quelques gestes.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Bernard Génin
Aux apparitions comiques de Jésus – un comique délicat, jamais outrancier, pas très loin du surréalisme fantaisiste du Buñuel de "La Voie lactée" – succèdent des scènes très fortes où le ton change du tout au tout.
Télérama
par Hélène Marzolf
Loin de verser dans le prosélytisme religieux, le film met en scène, de manière épurée, et métaphorique, les doutes et la profonde mélancolie de l'enfance.
aVoir-aLire.com
par Tristan Isaac
Conte de Noël à la fois tendre et profond, mêlant, dans un style épuré, la cocasserie à la réflexion métaphysique, Jésus s’avère être un de ces petits miracles de cinéma qui ne pouvait sortir qu’un 25 décembre.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Un premier long métrage touchant et singulier d'un cinéaste nippon à suivre de près.
L'Ecran Fantastique
par Cédric Coppola
Loin des films mettant en scène les derniers jours du Christ, ce "Jésus"-là brille par sa sobriété et son minimalisme.
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Ni prosélyte ni critique, une fiction initiatique un peu sèche dans son écriture, mais sauvée par l’humour et la tendresse.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Malgré une mise en scène sobre, ce premier film affiche un univers singulier où se font face le monde figé des adultes (scènes des repas en famille) et celui vivant et mouvant des enfants.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Nourri d’influences miyazakiennes sans être d’animation, ce film modeste est aussi surprenant que touchant.
Le Monde
par Mathieu Macheret
Si son argument pouvait laisser craindre une mignardise édulcorée, "Jésus" se révèle plus complexe, plus ironique qu’il n’y paraît, parvenant surtout à investir la subjectivité enfantine par les voies de la mise en scène.
Les Fiches du Cinéma
par Adèle Bossard-Giannesini
Le réalisateur Hiroshi Okuyama tente de raconter la cruauté du monde à travers les yeux d’un enfant. Mais sa mise en scène, à partir d’un scénario confus, ne lance que des signes de maturité artistique sans en avoir la force réelle. Dieu est muet, Hiroshi Okuyama aussi.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Thierry Chèze
Le mélange entre le réalisme des situations d’une émotion à fleur de peau et l’aspect ludique du surgissement de ce mini-Jésus peine à se faire totalement
La critique complète est disponible sur le site Première
20 Minutes
Il y a autant de cinéma que de sentiments dans cette œuvre qui donne l’impression qu’on vient de découvrir un futur grand cinéaste.
Cahiers du Cinéma
Premier film surprenant d’un réalisateur de 23 ans, une fable sur un enfant confronté pour la première fois à des notions qui le dépassent comme la foi ou le deuil.
Femme Actuelle
[...] un vrai délice, tantôt drôle, tantôt poignant, avec un ton unique.
Franceinfo Culture
Un splendide film sur l’enfance, initiatique, original et profond.
L'Humanité
Au-delà de la farce apparente, un premier film candide et poétique.
Le Figaro
Hiroshi Okuyama signe un premier film très accompli sur le monde de l’enfance.
Les Inrockuptibles
Au moment où l'on se demande si le brillant du pitch de départ ne va pas s'essouffler, Okuyama nous mène au cœur de son sujet. Et le film va devenir un récit initiatique. Yura va mûrir, comprendre certaines choses, faire des choix. Tout cela a la grâce de n'être jamais dit, mais suggéré par la mise en scène, et c'est bien ce qui signe l'authenticité d'un cinéate. (...) La délicatesse y côtoie l'amertume, le tragique et un humour narquois, un peu kitsch.
Libération
Ecrit à hauteur d’enfant, le beau premier film du très jeune Hiroshi Okuyama, 23 ans, rappelle les mangas de Taiyo Matsumoto par son extrême sensibilité, par cette tristesse profonde percée par quelques moments de félicité collective, et par cette manière de capter un comportement en quelques gestes.
Positif
Aux apparitions comiques de Jésus – un comique délicat, jamais outrancier, pas très loin du surréalisme fantaisiste du Buñuel de "La Voie lactée" – succèdent des scènes très fortes où le ton change du tout au tout.
Télérama
Loin de verser dans le prosélytisme religieux, le film met en scène, de manière épurée, et métaphorique, les doutes et la profonde mélancolie de l'enfance.
aVoir-aLire.com
Conte de Noël à la fois tendre et profond, mêlant, dans un style épuré, la cocasserie à la réflexion métaphysique, Jésus s’avère être un de ces petits miracles de cinéma qui ne pouvait sortir qu’un 25 décembre.
CinemaTeaser
Un premier long métrage touchant et singulier d'un cinéaste nippon à suivre de près.
L'Ecran Fantastique
Loin des films mettant en scène les derniers jours du Christ, ce "Jésus"-là brille par sa sobriété et son minimalisme.
L'Obs
Ni prosélyte ni critique, une fiction initiatique un peu sèche dans son écriture, mais sauvée par l’humour et la tendresse.
La Croix
Malgré une mise en scène sobre, ce premier film affiche un univers singulier où se font face le monde figé des adultes (scènes des repas en famille) et celui vivant et mouvant des enfants.
Le Journal du Dimanche
Nourri d’influences miyazakiennes sans être d’animation, ce film modeste est aussi surprenant que touchant.
Le Monde
Si son argument pouvait laisser craindre une mignardise édulcorée, "Jésus" se révèle plus complexe, plus ironique qu’il n’y paraît, parvenant surtout à investir la subjectivité enfantine par les voies de la mise en scène.
Les Fiches du Cinéma
Le réalisateur Hiroshi Okuyama tente de raconter la cruauté du monde à travers les yeux d’un enfant. Mais sa mise en scène, à partir d’un scénario confus, ne lance que des signes de maturité artistique sans en avoir la force réelle. Dieu est muet, Hiroshi Okuyama aussi.
Première
Le mélange entre le réalisme des situations d’une émotion à fleur de peau et l’aspect ludique du surgissement de ce mini-Jésus peine à se faire totalement