Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
Ecran Large
par Christophe Foltzer
"Un havre de paix" est une sacrée expérience. Un peu méta, sensible, humaine, intense, mélancolique, belle et parfois drôle, elle risque d'en laisser plus d'un épuisé par tant de sincérité. Si la forme est perfectible, le fond, lui, est très solide. Un film fort et doux en même temps, qui nous sort ses tripes à chaque image. La révélation d'un nouveau cinéaste qu'on a hâte de voir grandir. Immanquable.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Humanité
par Dominique Widemann
Pour son premier long métrage récompensé dans de nombreux festivals, le cinéaste israélien Yona Rozenkier installe sa fiction dans le kibboutz où il a grandi. La guerre en héritage.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Septième Obsession
par Thomas Aïdan
"Un havre de paix" est une traversée temporelle en plein cœur d’un passage civilisationnel d’Israël, où l’on perçoit l’intranquillité et le doute s’installer irrémédiablement.
La Voix du Nord
par Christophe Caron
À l’instar d’une pièce tragique rehaussée d’humour noir, Un havre de paix, d’ailleurs interprété par trois vrais frères, pose des questions essentielles pouvant trouver une résonance bien au-delà de cette région du monde.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Ce drame familial dans un kibboutz séduit par sa pertinente finesse et le portrait qu'il dresse d'un pays en perpétuel conflit.
Positif
par Eithne O'Neill
[...] modeste, actuel et authentique.
Transfuge
par Louis-David Texier
Grâce à une caméra nerveuse et agile, le réalisateur Yona Rozenkier rend perceptible aussi bien les effets dévastateurs des non-dits que le stress post-traumatique. Foutraque et inégal, le film fait alterner séquences intenses et moments absurdes.
Télérama
par Samuel Douhaire
Un premier film sensible, à la fois tragique et absurde.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Un film coup de poing contre la guerre, à travers le portrait sensible et solaire de trois frères, qui luttent contre leurs démons.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Bande à part
par Isabelle Danel
Tragique et comique à la fois, ce premier film autobiographique a du coffre.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Cahiers du Cinéma
par Ariel Schweitzer
Même si l’humour ne fonctionne pas toujours et que le film perd par moments son rythme, il s’agit d’une œuvre originale et audacieuse dont l’apparente légèreté sert une réflexion percutante, souvent grave.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
C’est ce qui ressort de la moralité d’"Un havre de paix", puisque morale il y a. Un désir de paix sans pour autant y parvenir. Dont acte.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par François Forestier
C’est fort, mais décousu, authentique, mais un peu maladroit.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Nathalie Simon
Un premier long-métrage grave et maîtrisé.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par Catherine Balle
Le réalisateur Yoel Rozenkier offre un long-métrage abrasif, au ton aussi cru que violent.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Clément Deleschaud
Mort du père, tensions fraternelles et kibboutz qui passe de locus amoenus à lieu d’explosion de vérités inavouées : "Un havre de paix" pourrait être recomposé avec des bouts disparates de films déjà vus cent fois, et ne parvient pas à s’émanciper d’un récit trop peu délié.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
Si la mise en scène de Yona Rozenkier est décousue et souffre d'un manque de rythme qu'une tapisserie sonore peine à compenser, le portrait familial, genré et identitaire que propose le film n'est pas sans intérêt.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ouest France
par La Rédaction
Un film subtil.
Paris Match
par Yannick Vely
Si le film prend son temps pour développer sa métaphore - le kibboutz comme une scène de théâtre qui regroupe toutes les ambiguïtés de la société israélienne -, l'émotion nait dans les réconciliations et affrontements fraternels, comme des vagues qui s'échouent sur le rivage avant le ressac.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Thierry Chèze
Ce projet très personnel (Yona Rozenkier l’interprète avec ses propres frères et a tourné dans le kibboutz où ils ont grandi) ne se résume pas à un énième film sur Israël en guerre. Son propos, bien plus universel (...).
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Monde
par Jean-François Rauger
Un havre de paix privilégie la peinture d’une fratrie se déchirant virilement et avec force vociférations. Le courage, la loi du père, l’affirmation masculine pèsent très lourdement sur les événements et les attitudes.
Ecran Large
"Un havre de paix" est une sacrée expérience. Un peu méta, sensible, humaine, intense, mélancolique, belle et parfois drôle, elle risque d'en laisser plus d'un épuisé par tant de sincérité. Si la forme est perfectible, le fond, lui, est très solide. Un film fort et doux en même temps, qui nous sort ses tripes à chaque image. La révélation d'un nouveau cinéaste qu'on a hâte de voir grandir. Immanquable.
L'Humanité
Pour son premier long métrage récompensé dans de nombreux festivals, le cinéaste israélien Yona Rozenkier installe sa fiction dans le kibboutz où il a grandi. La guerre en héritage.
La Septième Obsession
"Un havre de paix" est une traversée temporelle en plein cœur d’un passage civilisationnel d’Israël, où l’on perçoit l’intranquillité et le doute s’installer irrémédiablement.
La Voix du Nord
À l’instar d’une pièce tragique rehaussée d’humour noir, Un havre de paix, d’ailleurs interprété par trois vrais frères, pose des questions essentielles pouvant trouver une résonance bien au-delà de cette région du monde.
Le Journal du Dimanche
Ce drame familial dans un kibboutz séduit par sa pertinente finesse et le portrait qu'il dresse d'un pays en perpétuel conflit.
Positif
[...] modeste, actuel et authentique.
Transfuge
Grâce à une caméra nerveuse et agile, le réalisateur Yona Rozenkier rend perceptible aussi bien les effets dévastateurs des non-dits que le stress post-traumatique. Foutraque et inégal, le film fait alterner séquences intenses et moments absurdes.
Télérama
Un premier film sensible, à la fois tragique et absurde.
aVoir-aLire.com
Un film coup de poing contre la guerre, à travers le portrait sensible et solaire de trois frères, qui luttent contre leurs démons.
Bande à part
Tragique et comique à la fois, ce premier film autobiographique a du coffre.
Cahiers du Cinéma
Même si l’humour ne fonctionne pas toujours et que le film perd par moments son rythme, il s’agit d’une œuvre originale et audacieuse dont l’apparente légèreté sert une réflexion percutante, souvent grave.
Franceinfo Culture
C’est ce qui ressort de la moralité d’"Un havre de paix", puisque morale il y a. Un désir de paix sans pour autant y parvenir. Dont acte.
L'Obs
C’est fort, mais décousu, authentique, mais un peu maladroit.
Le Figaro
Un premier long-métrage grave et maîtrisé.
Le Parisien
Le réalisateur Yoel Rozenkier offre un long-métrage abrasif, au ton aussi cru que violent.
Les Fiches du Cinéma
Mort du père, tensions fraternelles et kibboutz qui passe de locus amoenus à lieu d’explosion de vérités inavouées : "Un havre de paix" pourrait être recomposé avec des bouts disparates de films déjà vus cent fois, et ne parvient pas à s’émanciper d’un récit trop peu délié.
Les Inrockuptibles
Si la mise en scène de Yona Rozenkier est décousue et souffre d'un manque de rythme qu'une tapisserie sonore peine à compenser, le portrait familial, genré et identitaire que propose le film n'est pas sans intérêt.
Ouest France
Un film subtil.
Paris Match
Si le film prend son temps pour développer sa métaphore - le kibboutz comme une scène de théâtre qui regroupe toutes les ambiguïtés de la société israélienne -, l'émotion nait dans les réconciliations et affrontements fraternels, comme des vagues qui s'échouent sur le rivage avant le ressac.
Première
Ce projet très personnel (Yona Rozenkier l’interprète avec ses propres frères et a tourné dans le kibboutz où ils ont grandi) ne se résume pas à un énième film sur Israël en guerre. Son propos, bien plus universel (...).
Le Monde
Un havre de paix privilégie la peinture d’une fratrie se déchirant virilement et avec force vociférations. Le courage, la loi du père, l’affirmation masculine pèsent très lourdement sur les événements et les attitudes.