Tuer n'est pas jouer
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217 critiques spectateurs

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mahtan-ancalimon
mahtan-ancalimon

39 abonnés 651 critiques Suivre son activité

3,5
Publiée le 23 avril 2016
Un James Bond plus réaliste et plus violent. Nous pouvons le dire, T. Dalton était en avance sur son temps. Cependant, le changement était trop profond, surtout après celui de Roger Moore.
AV ciné
AV ciné

111 abonnés 643 critiques Suivre son activité

3,5
Publiée le 14 septembre 2020
Un bon 15ème volet de la mythique saga James Bond avec l’arrivée du charismatique Timothy Dalton !
L'histoire est passable et l’univers d’espionnage reste plaisant.
Timothy Dalton est plutôt convaincant dans la peau du grand 007 et la charmante Maryam D'Abo est agréable.
Tous les autres acteurs sont toujours aussi corrects et les images sont encore convenables.
Les effets spéciaux sont une nouvelle fois acceptables et les décors restent bien !
Il y a de jolis paysages par moments et les lieux rencontrés sont toujours aussi satisfaisants.
Les costumes sont encore bien conçus et les objets et équipements sont une nouvelle fois efficaces !
L’Aston Martin est appréciable et les gadgets restent bien faits !
L'ambiance est toujours aussi plaisante et la chanson « The Living Daylights » interprétée par le groupe a-ha est bonne !
Les scènes d'action et les cascades sont encore bien réalisées comme pour la séquence pré-générique et la formidable course poursuite avec l'Aston Martin ainsi que pour le final explosif avec l'attaque de la base en Afghanistan et la très convaincante partie dans l'avion.
Les rebondissements sont une nouvelle fois assez bien maîtrisés et la mission nous emporte plutôt vite.
Le premier opus de Timothy Dalton dans le rôle du plus classe des agents secrets est donc dans l'ensemble réussi avec une belle James Bond girl et une dose d'action satisfaisante !
vic-cobb
vic-cobb

38 abonnés 63 critiques Suivre son activité

3,5
Publiée le 27 juillet 2015
Ayant tjrs apprécié Timothy Dalton (vu notamment dans Hot Fuzz, Chuck, Doctor Who ou encore Penny Dreadful) j'étais curieux de le voir en James Bond et je n'ai pas été déçu ! The Living Daylights est en effet un véritable James Bond où fusillades, trahison, et explosions sont monnaies courantes, sans oublier, bien sûr, les courses poursuites (celle sur l'étui du violoncelle m'a bien fait rire ^^) et les gadgets de Q ! Quant au Bond de Dalton, j'ai trouvé qu'il correspondait bien au personnage de Flemming : Séducteur et charismatique, c'est ce qui fait Bond, Bond ! Tjrs capable de se tirer des situations les plus critiques et de s'enticher de compagnes prêtent à tout pour lui : La belle Bond-girl Maryam D'Abo, que j'ai trouvé un peu surjouée à des moments, remplit convenablement son rôle ! N'étant pas un grand connaisseur des James Bond (ce que je vais essayer de corriger d'ici peu ^^), j'ai fais avec ce film, un autre rapprochement entre cette grande saga cinématographique et la série britannique culte Doctor Who : En dehors du fait que le personnage principal ait changé de visages au fil des années, je trouve que la relation entre le Doctor et ses compagnons (dont la grande majorité est composée de femmes) est assez semblable à celle de James Bond et ses compagnes (mis à part le fait que l'espion finit tjrs par les attiré dans son lit ^^) ! En tout cas, pour revenir à l'intrigue de The Living Daylights, j'avoue avoir mis un certain temps à bien comprendre ce que cherchais à faire Koskov et Whitaker, mais après avoir tout assimilé l'intrigue est prenante ! En somme j'ai trouvé que c'était un James Bond plutôt réussi avec son lot de scènes jamesbondiennes, si je puis dire (notamment toute la séquence qui précède le générique d'intro qui, lui, se veut particulièrement kitsch ^^) !
anonyme
Un visiteur
3,0
Publiée le 30 mai 2015
Parmi les James Bond, il y a les marquants (Goldeneye, Skyfall, Casino Royale, Goldfinger ou encore L'espion qui m'aimait) et les moins marquants. Et malheureusement, Tuer n'est pas jouer fait partie de la deuxième catégorie. Il apporte un léger changement chez l'agent 007 en étant moins humoristique, plus réaliste et légèrement plus sombre, mais également avec un nouvel acteur : Timothy Dalton, qui est vraiment bon dans le rôle de Bond (il m'a par la suite beaucoup déçu dans Permis de tuer), le film a de bonnes scènes d'action efficaces et se suit sans ennui, mais il a quelques défaut : par exemple, je trouve que ce film perd le charme des précédents James Bond avec leur humour (pas toujours réussi, mais c'est ce qui faisait leur marque de fabrique) et leur Bond dragueur et rassurant. Là le personnage de Bond est bien plus sombre, ce n'est pas un défaut, mais ça n'aura été au final que le temps de 2 films, pas de changement durable dans la saga et au final un virage qui n'aura mené à rien, alors que les James Bond de Craig semblent vraiment tenir sur cette voie. La Bond girl est assez plate, assez cliché et les méchants ne sont pas mémorables.
Un Bond spécial, divertissant mais plus fade que les précédents volets de la saga je trouve.
Eselce
Eselce

1 468 abonnés 4 238 critiques Suivre son activité

3,5
Publiée le 29 janvier 2015
Sympa le début avec les 00 à l'entraînement ! D'ailleurs, 007 a bien rajeuni ! La nouvelle Moneypenny est bien choisie. Les agents secondaires savent ENFIN se défendre de manière crédible, surtout lors de l'attaque du bras droit du méchant. Q a encore de nouvelles inventions sympathiques. J'ai bien aimé les gadgets de la nouvelle voiture et leur utilisation. Seul le personnage de Georgi m'a passablement agacé. Pour finir, j'ai adoré le coup de la chaussure et trouve que T. Dalton est bien en JB.
pierrre s.
pierrre s.

466 abonnés 3 333 critiques Suivre son activité

4,5
Publiée le 8 décembre 2020
C'est avec une approche beaucoup plus moderne et réaliste que Timothy Dalton prend la suite de Roger Moore. Fini l'humour et les calembours a répétition, place à l'action. Pour ce qui est de l'intrigue rien de nouveau, des femmes,des armes et des soviétiques. Un très bon James Bond.
anonyme
Un visiteur
3,0
Publiée le 27 novembre 2014
John Glen reprend les commandes de la mise en scène avec un nouveau James Bond, l'acteur Timothy Dalton. Mr M et Miss Moneypenny sont également joués par de nouvelles têtes mais on retrouve Walter Gotell dans la peau du général Gogol et l'inamovible Desmond Llewelyn dans le rôle du fantasque inventeur "Q" à 73 ans, un personnage qui ne le lâchera d'ailleurs qu'à sa mort, en 1999, à 85 ans, dans "Le monde ne suffit pas", le 19eme 007 ! Timothy Dalton est avant tout un acteur issu de séries TV et il ne tournera d'ailleurs que deux épisodes de la saga sous la houlette de Glen. Il campe un James Bond plus froid et nettement moins badin que Roger Moore, procurant plus de réalisme et moins de fantaisie à son personnage. Certaines séquences innovent dans les poursuites comme le découpage au laser de la voiture du KGB, très drôle au demeurant. Moins amusante est la récurrente poursuite sur la neige, du déjà vu maintes fois dans des opus précédents, à croire que Broccoli (le producteur) a passé un contrat avec les plus célèbres marques de ski. Maryam d'Abo incarne un agent russe passée à l'ouest dans un second rôle mineur. Le canevas est globalement intéressant, les effets spéciaux sont limités, c'est aussi bien et cette version demeure dans l'honnête moyenne divertissante des 007.
Benjamin A
Benjamin A

734 abonnés 1 922 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 27 octobre 2014
Quinzième mission pour l'agent Bond, "The Living Daylights" est le premier mettant en scène Timothy Dalton dans le rôle de l'espion britannique et le quatrième réalisé par John Glen. Ancré en pleine guerre froide, 007 doit ici faire passer un général russe de l'autre côté du rideau de fer... ce qui va l’entraîner dans de dangereux pièges...

John Glen nous fait voyager à travers divers endroits du monde, allant de la Russie à Gilbratar en passant par Vienne pour suivre une trame certes classique mais totalement efficace où l'on prend plaisir à voir un James Bond face à de nombreux pièges et ennemis. En plus de l'efficacité, Glen rend le film assez spectaculaire lorsqu'il le faut et plusieurs scènes sont vraiment bien foutues et mémorables à l'image de l'introduction.

Mais si c'est spectaculaire, la réussite tient aussi au fait que l'on soit ancré dans un contexte plus réaliste avec des ennemis crédibles et des gadgets réduit. James Bond est ici, non sans failles, plus violent et moins séducteur mais toujours avec autant charismatique. Le personnage, tout comme ses enjeux, est un minimum travaillé, intéressant et bénéficie d'une excellente composition de Timothy Dalton. Glen donne du rythme à son film et instaure de la tension et de l'intensité lorsqu'il le faut.

C'est aussi là l'une des principales réussites du film, John Glen privilégie l'étude de son personnage et un ton plus réaliste plutôt que le second degré, le côté séduction et l'humour. Il se concentre vraiment sur son personnage et la mission et le parti pris, en plus d'être intéressant, est totalement maîtrisé. Face à Bond, les personnages secondaires, à défauts d'être toujours transcendant, sont au moins intéressants et plus particulièrement la blonde Kara Milovy.

Bref moins d'humour et de charme mais un contexte réaliste prenant, de l'action efficace et bien réalisée et on prend un agréable plaisir à suivre cette aventure qui emmène Bond à travers divers endroits dans le monde. Un jeu de pistes maîtrisé de bout en bout et qui bénéficie d'un excellent Timothy Dalton dans le rôle de l'agent britannique.
anonyme
Un visiteur
5,0
Publiée le 13 octobre 2014
Le premier film de Timothy Dalton en tant que James Bond a fait date pour beaucoup de fans. Il combine l'humour hérité de la fin de la période Moore (Octopussy ou Dangereusement Vôtre par exemple) et le sérieux que Dalton a voulu insuffler au personnage après avoir lu les livres de Fleming. En effet il montre dans ce film son intention d’interpréter un OO7 plus proche des romans.
La nouvelle dont le titre du film est tiré étant trop courte, le scénario s'est ancré dans les problématique de l'époque à propos de l'Afghanistan, des Russes et de l'opium. Remplacez le mot "Russes" par le mot "Américains" et vous avez un film très actuel en 2014. L'histoire est complexe et fait appel à un duo d'adversaires de Bond qui ont chacun des intérêts à accomplir leur joli complot, tout comme les intérêts du politique et du privé se rejoignent parfois dans notre réalité.
Côté femme, Maryam d'Abo n'est pas transcendante mais suffisamment convaincante dans les scènes d'actions derrière sa candeur et sa fragilité joli blonde violoncelliste.
La musique de Jonh Barry est tout simplement parfaite pour soutenir chaque scène. Elle est influencé par son époque c'est vrai, cependant elle insuffle nervosité et adrénaline au moment de l'action et donne du souffle dans les plan larges.
La destinée de Bond est ici épurée, il traverse les épreuves pour rejoindre le côté féminin après être passé à travers toutes les batailles même celles imaginaire de Brad Whitaker. Un des grands films d'espionnage du siècle dernier et un des grands films de la saga bondienne
L'Infernaute de l'Apocalypse
L'Infernaute de l'Apocalypse

48 abonnés 399 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 10 septembre 2014
Quinzième mission pour le célèbre agent secret de sa majesté, James Bond. Au début du film Bond aide un général soviétique à passer le Rideau de Fer pour aller à l’Ouest. Par la suite celui-ci sera enlever par un tueur du KGB. 007 se lance sur sa piste et rencontrera Kara une jeune violoncelliste qui l’emmènera sur les traces d’un trafique d’armes en Afghanistan. Pour cette quinzième aventure James Bond change à nouveau de visage. Après sept films porté par le génial Roger Moore place à Timothy Dalton qui livre une excellente prestation et montre un 007 plus sombre et plus violent que d’habitude. L’histoire du film est très bonne et est menée sans temps mort avec des scènes d’action excellentes. D’abord il y a la superbe séquence pré-générique sur le Rocher de Gibraltar où Bond effectue une mission d’entrainement mais verra qu’il ne s’agit pas que d’une simple mission d’entrainement, ensuite il y a l’enlèvement de Koskov avec des explosions et des fusillades, après l’excellente course poursuite avec l’Aston Martin sur un lac gelé, cette séquence d’action est excellente avec des explosions et fusillades et avec en prime l’Aston Martin truffée de gadgets: missiles, skis, propulseur… après cela il y a quelques bagarres et il y a l’assaut finale avec l’attaque du camps militaire par la résistance afghane: des véhicules qui explosent et des fusillades; après tout ce remue ménage Bond vole l’avion des trafiquants et finira par se battre avec un agent du KGB en plein vol et détruira un pont pour aider ses amis, une séquence spectaculaire. Les acteurs du film sont très bon, Timothy Dalton est le nouveau James Bond, il est très bien dans le rôle et livre un 007 plus réaliste et violent, le méchant du film est le général Koskov joué par le très bon Jeroen Krabbe mais n’est pas le meilleur bad guy de la série, la Bond Girl est très bien, Kara Milovy jouée par Maryam D’Abo mais est oubliable. Le film possède une des moins bonne chansons de la série. Tuer n’est pas Jouer constitue un très bon film avec de l’action, une bonne histoire et de très bon acteurs.
anonyme
Un visiteur
3,0
Publiée le 9 septembre 2014
Un 17eme opus dans la ligné des précédents. Dans ce film c'est Timothy Dalton qui endosse le rôle de 007. Il se débrouille bien et ça permet de donner un coup de jeune au personnage après Roger Moore et Sean Connery.Le film en lui même est plutôt dans la moyenne des James Bond avec quelques longueurs, de bons acteurs et de bonnes scènes d'actions.A voir surtout pour les fans de 007.
anonyme
Un visiteur
4,0
Publiée le 28 juillet 2014
Quinzième mission pour le célèbre agent secret de sa majesté, James Bond. Au début du film Bond aide un général soviétique à passer le Rideau de Fer pour aller à l’Ouest. Par la suite celui-ci sera enlever par un tueur du KGB. 007 se lance sur sa piste et rencontrera Kara une jeune violoncelliste qui l’emmènera sur les traces d’un trafique d’armes en Afghanistan. Pour cette quinzième aventure, James Bond change à nouveau de visage. Après sept films porté par le génial Roger Moore, place à Timothy Dalton qui livre une excellente prestation et montre un 007 plus sombre et plus violent que d’habitude. L’histoire du film est très bonne et est menée sans temps mort avec des scènes d’action excellentes. D’abord, il y a la superbe séquence sur le Rocher de Gibraltar, où Bond effectue une mission d’entrainement mais verra qu’il ne s’agit pas que d’une simple mission d’entrainement. Ensuite, il y a l’enlèvement de Koskov avec des explosions et des fusillades, après l’excellente course poursuite avec l’Aston Martin sur un lac gelé, cette séquence d’action est excellente avec des explosions et fusillades et avec en prime l’Aston Martin truffée de gadgets: missiles, skis, propulseur… Après cela, il y a quelques bagarres, et il y a l’assaut finale avec l’attaque du camps militaire par la résistance afghane: des véhicules qui explosent et des fusillades. Après tout ce remue ménage, Bond vole l’avion des trafiquants, et finira par se battre avec un agent du KGB en plein vol et détruira un pont pour aider ses amis, une séquence spectaculaire. Les acteurs du film sont très bon, Timothy Dalton est le nouveau James Bond. Il est très bien dans le rôle, et livre un 007 plus réaliste et violent. Le méchant du film est le général Koskov joué par le très bon Jeroen Krabbe mais n’est pas le meilleur bad guy de la série. La Bond Girl est très bien. Kara Milovy jouée par Maryam D’Abo, mais qui est oubliable. Le film possède une des moins bonne chansons de la série. Tuer n’est pas Jouer constitue un très bon film avec de l’action, une bonne histoire et de très bon acteurs. Un très bon film.
Plume231
Plume231

4 028 abonnés 4 639 critiques Suivre son activité

3,0
Publiée le 14 juin 2014
Loin du James Bond volontiers très fantaisiste et second degré de Roger Moore, Timothy Dalton (pour moi trop sous-estimé !!!) incarne un 007 humain, brutal, et volontiers romantique avec ses failles, d'une profondeur qu'on avait vue jusqu'ici uniquement dans le meilleur film, pour moi, de toute la saga "Au service secret de sa Majesté", dans une intrigue d'espionnage nettement plus classique mais d'une très grande efficacité.
L'intense et le spectaculaire crient "présent", la longue scène avec l'avion transportant la bombe déchirent grave à ces niveaux. La jolie Maryam d'Abo en violoncelliste naïve mais d'un grand courage incarne un beau personnage de James Bond Girl, une des plus intéressantes et consistantes de la série. Et excepté Joe Don Baker dont l'interprétation manque de mordant dans la peau d'un méchant "général" complètement mégalo (un rôle pour lequel Lee Van Cleef avait été envisagé, là ça aurait été certainement mordant !!!), les seconds rôles sont excellents (Jeroen Krabbé et John Rhys-Davies en particulier !!!).
En bref, "Tuer n'est pas jouer" est un renouveau bienvenu et un très bon cru.
cylon86
cylon86

2 608 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 8 juin 2014
Pour cette quinzième mission de l'agent 007, Roger Moore laisse sa place à Timothy Dalton et ce changement de visage va avec un changement de ton dans la saga. En effet, John Glen réduit les invraisemblances, les méchants mégalos et les gadgets pour ancrer son histoire dans un contexte plus réaliste, celui de la Guerre Froide dans lequel Bond aide un général russe à quitter l'Est pour aller vers l'Ouest. En phase avec ce réalisme et ce ton plus sérieux, Timothy Dalton compose un solide James Bond, moins séducteur et moins désinvolte ce qui ne fut pas du goût de tout le monde mais qui n'est pas déplaisant, bien au contraire. Bien écrit et bien rythmé avec de bonnes scènes d'action, cette mission donne aussi l'occasion d'ajouter un peu de psychologie dans la relation de Bond avec la James Bond Girl du film, campée par une charmante Maryam D'Abo.
anonyme
Un visiteur
5,0
Publiée le 23 juin 2014
La période de Roger Moore en 007 est finie, après 7 films l'acteur de presque 60 ans à l'époque devait passer le flambeau et c'était à Timothy Dalton de relever le défi ! Chose qu'il a fait avec brio ! Nouveau visage, nouvelle intrigue, il était temps de redorer le blason de l'agent de sa Majesté en faisant un James Bond plus réaliste et plus sombre.

The Living Daylights est sans nul doute l'un des meilleurs films James Bond qui soit arrivé puisque tout est réussi que ce soit son nouvel interprète, la James Bond Girl, le scénario, les scènes d'actions, la musique et également le thème du groupe A-ha ! On peut cependant regretter un méchant pas extraordinaire mais pas non plus ridicule bien que l'homme de main soit convaincant.

Commençons par Timothy Dalton, acteur de théâtre, de télévision et de cinéma accompli, qui succède à Roger Moore en s'éloignant de ses prédécesseurs en livrant sa propre interprétation plus proche des romans de Ian Fleming. Cette fois il s'agit d'un personnage plus brutal au corps à corps, moins machiste, ayant le sens des responsabilités et sensible à l'amitié, parfois rebelle et suivant plus son instinct que les ordres. L'arrivée de Timothy Dalton est un grands pas en avant pour la franchise.

Maryam D'Abo campe la James Bond Girl, une violoncelliste un peu naïve que Bond viendra aider et qu'elle aidera en retour. Elle s'éloigne aussi des anciennes James Bond Girls, fini la fille idiote en bikini qui fait n'importe quoi, il s'agit maintenant du femme qui deviendra plus forte au fil de l'aventure qui sera d'un grand secours pour notre héros ! La romance entre les deux protagonistes est réelle, la James Bond Girl n'est pas ici une femme-objet mais un personnage à part entière pour le film !

L'intrigue : Prenant place dans la guerre froide, James Bond ira de la Tchécoslovaquie jusqu’en Afghanistan
pour démêler une intrigue à grande échelle. Mais on est loin des méchants pseudos-mégalomanes qui veulent conquérir le monde ou détruire la Silicon Valley, bien que le méchant ne soit pas impressionnant, il est tout de même épaulé par un homme de main, Necros, tout à fait remarquable et inquiétant !

Les scènes d'actions ne sont pas seulement nombreuses, elles sont également toutes réussies de la scène d'ouverture à Gibraltar à l'attaque de la base russe en Afghanistan en passant par la course-poursuite sur la glace avec l'Aston Martin, le plaisir et le frisson sont au rendez-vous de ce cocktail.

Et pour finir, voilà la cerise sur le gâteau, le thème de The Living Daylights par le groupe A-ha, l'une des meilleurs musiques de générique de James Bond qui donne tout de suite le ton du film, à la fois frénétique mais surtout envoûtant.

The Living Daylights est une réussite, qui est à mon sens sous-estimé comme Licence to Kill, et qui méritent tout deux une relecture approfondie !
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