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demoph
2 abonnés
43 critiques
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4,0
Publiée le 7 février 2017
Premier film de Dalton, qui fut peut-être le plus intéressant des Bond. Il eût certes la chance d’être très bien servi dans ses deux films qui sont parmi les plus sous-estimés de la saga bondienne. Le film propose une étonnante scène pré générique, qui malgré de belles cascades manque de contenu narratif pour emporter l’adhésion, en fait, ce n’est que plus tard dans le film qu’on comprendra ce qu’il s’est passé. Suit le générique avec la dernière composition de Barry, à qui la franchise doit une éternelle reconnaissance. Et le film commence à l’opéra, avec une scène où Bond désobéit. C’est ce qui va définir le Bond de Dalton, un Bond indépendant qui refuse d’appliquer les ordres et se sert de son propre jugement et ressenti pour agir. C’est aussi un James Bond romantique, le moins machiste de la saga. Un James Bond qui cherche à tout contrôler et qui pourtant sera celui qui se laissera le plus dominé par ses émotions. En particulier dans Permis de Tuer mais déjà dans celui-ci avec par exemple la scène à Vienne où il finit par atterrir avec un flingue au point devant un enfant. L’intrigue du film est très complexe. Une fois qu’on a compris qui cherche à tuer les espions anglais, il reste encore à comprendre toute une affaire de trafic en Afghanistan, le film s’intégrant parfaitement dans son cadre géopolitique. On note quelques très belles scènes d’action : l’attaque de la résidence de M, une course-poursuite en voiture et violon et un combat accrocher à un avion.
Même si Dalton n'est pas le 007 le plus populaire, ne passez pas à côté de ce Bond !
"Tuer n'est pas jouer" est pour moi le parfait "James Bond" à proposer à un fan de la saga cinématographique. L'épisode regroupe tout ce qui fait, depuis des décennies, le charme des aventures du plus célèbre espion britannique: scénario sur fond de conflits géopolitiques, action, courses poursuite, gadgets, gags plus ou moins grotesques, répliques en or, séduction, musiques parfaites...
TNPJ a un côté vieillot tout en étant indémodable et jamais trop ringard, et fait souvent rire sans tomber autant dans la parodie qu'un "Moonraker"... Vous l'aurez compris, cet opus représente pour moi ce que devrait être une aventure réussite de notre agent secret.
Ça commence à faire un sacré bout de temps qu'on a pas eu un très bon Bond. Depuis "L'espion qui m'aimait" les opus défile sans réussir à nous proposer un opus dont on prend un vrai plaisir à regarder. Alors ce premier épisode avec Timothy Dalton est loin d'être mauvais mais j'aurais aimé mieux. Nous pouvons néanmoins saluer la bonne performance de Dalton dans le rôle de l'agent 007. Le titre du film ne signifie rien avec l'intrigue, où alors j'ai loupé quelque chose. Le scénario est plutôt bon est bien maîtrisé. Les scènes d'action très bien réalisés, encore une fois. La James Bond Girl est bien moins jolie que la plus part de celle qu'on a vu jusqu'ici, en revanche l'actrice joue bien et son personnage est également bon. Le ou les méchants, des soviétiques, ne sont pas terrible, je ne connais même pas leurs noms et n'ont que peu de charisme. Beaucoup de longueurs se font ressentir durant le film; en revanche la fin en Afghanistan est excellente, la meilleur partie du film. Dommage que ce n'était pas de cette qualité tout le long du film. En conclusion Bond 15 est un bon film mais il faudrait vite nous livrer un épisode digne de ceux de Connery notamment.
Premier James Bond avec Timothy Dalton d'assez bonne qualité mais très inégal. Le scénario est plutôt bien fait, l'histoire de l'exfiltration d'un général Russe vers l'ouest qui va se révéler être plus compliqué. Durant tout le film ou presque chacun jouer double voir triple jeux on ne s'est pas qui dit la vérité quel est vraiment le rôle de chacun. J'ai bien aimé le général Whitaker grand fan de l'histoire de la guerre à travers le monde et la reconstitution des grandes batailles.Il faut noter la bonne performance de John Rys Davies dans le rôle du général Puskin. Timothy Dalton joue parfaitement bien le rôle de 007 mais on va noter plusieurs faiblesses dans ce film tout de même. Tout d'abord le manque de réalisme de certaines scènes et notamment la première où les armes des méchants ne tire pas de réel balles on dirait de la peinture c'est vraiment très mal fait. On peut regretter l’absence d'un méchant charismatique (Whitaker n'est pas à la hauteur) seul Necros donne du fil à retorde à Bond. Enfin la James Bond girl Kara joué par Maryam d'Abo est loin d'être inoubliable, elle ne sait rien faire à part du violoncelle et manque cruellement de charisme. Un bon divertissement sans plus.
Trop souvent sous-estimé, Timothy Dalton revêt le costume d'un James Bond sombre et froid. Son regard ténébreux confère plus de réalisme au personnage, se rapprochant de l'original des romans. Scénario solide, scènes d'actions de hautes volées, rythme haletant : ce quinzième opus, plutôt méconnu et ayant peu vieilli, s'élève au niveau des meilleurs. La magnifique Maryam D'Abo campe une james bond-girl de qualité !
Un opus de la saga James Bond plutôt bon sous l'ère Timothy Dalton en 1987 qui est de bonne facture !! J'ai vu "Permis de tuer" du même réalisateur qu'ici John Glen et je me suis demandé comment ont ils fait pour arriver au désastre alors que "Tuer n'est pas jouer" est dans la continuité des autres James Bond. J'ai trouvé Timothy Dalton à l'aise dans la peau de l'agent 007 avec une bonne intrigue, de bons méchants, une belle James Bond Girl, de l'humour, un voyage en République Tchèque, Autriche et Pakistan, des gadgets rigolos et des scènes d'actions réussites et palpitantes sans oublier la magnifique musique de John Barry et le générique chanté par le groupe New Wave A-ha, autant dire qu'ils ont mis les bons moyens et le résultat est bon. J'ai passé un bon moment, je le recommande.
Une nouvelle erre pour la saga James Bond , moins d'humour et plus d'action avec Timothy Dalton qui endosse pour la première fois le costume du célèbre agent secret et c’est plutot réussi .
Un James Bond plus réaliste et plus violent. Nous pouvons le dire, T. Dalton était en avance sur son temps. Cependant, le changement était trop profond, surtout après celui de Roger Moore.
Un bon 15ème volet de la mythique saga James Bond avec l’arrivée du charismatique Timothy Dalton ! L'histoire est passable et l’univers d’espionnage reste plaisant. Timothy Dalton est plutôt convaincant dans la peau du grand 007 et la charmante Maryam D'Abo est agréable. Tous les autres acteurs sont toujours aussi corrects et les images sont encore convenables. Les effets spéciaux sont une nouvelle fois acceptables et les décors restent bien ! Il y a de jolis paysages par moments et les lieux rencontrés sont toujours aussi satisfaisants. Les costumes sont encore bien conçus et les objets et équipements sont une nouvelle fois efficaces ! L’Aston Martin est appréciable et les gadgets restent bien faits ! L'ambiance est toujours aussi plaisante et la chanson « The Living Daylights » interprétée par le groupe a-ha est bonne ! Les scènes d'action et les cascades sont encore bien réalisées comme pour la séquence pré-générique et la formidable course poursuite avec l'Aston Martin ainsi que pour le final explosif avec l'attaque de la base en Afghanistan et la très convaincante partie dans l'avion. Les rebondissements sont une nouvelle fois assez bien maîtrisés et la mission nous emporte plutôt vite. Le premier opus de Timothy Dalton dans le rôle du plus classe des agents secrets est donc dans l'ensemble réussi avec une belle James Bond girl et une dose d'action satisfaisante !
Ayant tjrs apprécié Timothy Dalton (vu notamment dans Hot Fuzz, Chuck, Doctor Who ou encore Penny Dreadful) j'étais curieux de le voir en James Bond et je n'ai pas été déçu ! The Living Daylights est en effet un véritable James Bond où fusillades, trahison, et explosions sont monnaies courantes, sans oublier, bien sûr, les courses poursuites (celle sur l'étui du violoncelle m'a bien fait rire ^^) et les gadgets de Q ! Quant au Bond de Dalton, j'ai trouvé qu'il correspondait bien au personnage de Flemming : Séducteur et charismatique, c'est ce qui fait Bond, Bond ! Tjrs capable de se tirer des situations les plus critiques et de s'enticher de compagnes prêtent à tout pour lui : La belle Bond-girl Maryam D'Abo, que j'ai trouvé un peu surjouée à des moments, remplit convenablement son rôle ! N'étant pas un grand connaisseur des James Bond (ce que je vais essayer de corriger d'ici peu ^^), j'ai fais avec ce film, un autre rapprochement entre cette grande saga cinématographique et la série britannique culte Doctor Who : En dehors du fait que le personnage principal ait changé de visages au fil des années, je trouve que la relation entre le Doctor et ses compagnons (dont la grande majorité est composée de femmes) est assez semblable à celle de James Bond et ses compagnes (mis à part le fait que l'espion finit tjrs par les attiré dans son lit ^^) ! En tout cas, pour revenir à l'intrigue de The Living Daylights, j'avoue avoir mis un certain temps à bien comprendre ce que cherchais à faire Koskov et Whitaker, mais après avoir tout assimilé l'intrigue est prenante ! En somme j'ai trouvé que c'était un James Bond plutôt réussi avec son lot de scènes jamesbondiennes, si je puis dire (notamment toute la séquence qui précède le générique d'intro qui, lui, se veut particulièrement kitsch ^^) !
Parmi les James Bond, il y a les marquants (Goldeneye, Skyfall, Casino Royale, Goldfinger ou encore L'espion qui m'aimait) et les moins marquants. Et malheureusement, Tuer n'est pas jouer fait partie de la deuxième catégorie. Il apporte un léger changement chez l'agent 007 en étant moins humoristique, plus réaliste et légèrement plus sombre, mais également avec un nouvel acteur : Timothy Dalton, qui est vraiment bon dans le rôle de Bond (il m'a par la suite beaucoup déçu dans Permis de tuer), le film a de bonnes scènes d'action efficaces et se suit sans ennui, mais il a quelques défaut : par exemple, je trouve que ce film perd le charme des précédents James Bond avec leur humour (pas toujours réussi, mais c'est ce qui faisait leur marque de fabrique) et leur Bond dragueur et rassurant. Là le personnage de Bond est bien plus sombre, ce n'est pas un défaut, mais ça n'aura été au final que le temps de 2 films, pas de changement durable dans la saga et au final un virage qui n'aura mené à rien, alors que les James Bond de Craig semblent vraiment tenir sur cette voie. La Bond girl est assez plate, assez cliché et les méchants ne sont pas mémorables. Un Bond spécial, divertissant mais plus fade que les précédents volets de la saga je trouve.
Sympa le début avec les 00 à l'entraînement ! D'ailleurs, 007 a bien rajeuni ! La nouvelle Moneypenny est bien choisie. Les agents secondaires savent ENFIN se défendre de manière crédible, surtout lors de l'attaque du bras droit du méchant. Q a encore de nouvelles inventions sympathiques. J'ai bien aimé les gadgets de la nouvelle voiture et leur utilisation. Seul le personnage de Georgi m'a passablement agacé. Pour finir, j'ai adoré le coup de la chaussure et trouve que T. Dalton est bien en JB.
C'est avec une approche beaucoup plus moderne et réaliste que Timothy Dalton prend la suite de Roger Moore. Fini l'humour et les calembours a répétition, place à l'action. Pour ce qui est de l'intrigue rien de nouveau, des femmes,des armes et des soviétiques. Un très bon James Bond.
John Glen reprend les commandes de la mise en scène avec un nouveau James Bond, l'acteur Timothy Dalton. Mr M et Miss Moneypenny sont également joués par de nouvelles têtes mais on retrouve Walter Gotell dans la peau du général Gogol et l'inamovible Desmond Llewelyn dans le rôle du fantasque inventeur "Q" à 73 ans, un personnage qui ne le lâchera d'ailleurs qu'à sa mort, en 1999, à 85 ans, dans "Le monde ne suffit pas", le 19eme 007 ! Timothy Dalton est avant tout un acteur issu de séries TV et il ne tournera d'ailleurs que deux épisodes de la saga sous la houlette de Glen. Il campe un James Bond plus froid et nettement moins badin que Roger Moore, procurant plus de réalisme et moins de fantaisie à son personnage. Certaines séquences innovent dans les poursuites comme le découpage au laser de la voiture du KGB, très drôle au demeurant. Moins amusante est la récurrente poursuite sur la neige, du déjà vu maintes fois dans des opus précédents, à croire que Broccoli (le producteur) a passé un contrat avec les plus célèbres marques de ski. Maryam d'Abo incarne un agent russe passée à l'ouest dans un second rôle mineur. Le canevas est globalement intéressant, les effets spéciaux sont limités, c'est aussi bien et cette version demeure dans l'honnête moyenne divertissante des 007.