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tyrionFL
22 abonnés
384 critiques
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4,5
Publiée le 24 mai 2019
La note globale de ce film est juste absurde au vu de la qualité du film, qui est l'un des meilleurs Bond que j'ai vu depuis longtemps (hors rediff). Tout d'abord les acteurs sont pour certains bons et pour d'autres rien de moins qu'excellents, Timothy Dalton en tête qui joue un Bond aussi puissant que charismatique. De plus il est accompagné d'une James Bond peu superficielle et très efficace et attachante. Pour l'action, les fans seront servis avec une action nette et impressionnante qui n'oublie pas d'être très inventive à de nombreux passages et toute cette action arrive à être rafraîchissante et divertissante. Sinon le film n'oublie pas d'être magnifique, de proposer une superbe bande son et un scénario intéressant et qui se tient parfaitement. Je retient cependant quelques bémols comme une histoire tournant encore autour des russes qui reste un peu facile, certaines scènes un peu longuettes et un manque de temps d'écran aux méchants de l'histoire à tel point que je n'étais pas sur de qui était qui au bout d'une heure trente. Mais cela ne reste que du pinaillage pour un excellent James Bond et plus généralement pour un excellent film d'action. Alors voyez le ou revoyez le car il n'est pas si mal #euphémisme mais en VO uniquement car la VF est vraiment mauvaise
Comme beaucoup de films d'action des années 1980, ce cru est bel et bien daté, d'autant plus avec un scénario qui se voulait un peu plus réaliste qu'à l'accoutumée pour un James Bond. Plus sombre donc, ce qui va bien avec le côté plus sérieux de Timothy Dalton, pour son premier 007, malgré les qques traits d'humour obligatoires. Mais globalement, l'ambiance est froide et rigide, le casting peu emballant et on s'ennuie un peu. L'un des épisodes que j'aime le moins.
Cet acteur se débrouille bien, le meilleur en reprenant le rôle éphémère, tantôt dramatique et humoristique tout en gardant son sérieux comme le veut la fonction des services secrets furtifs. Dans le feu de l’action parsemée de péripéties qui le mènera jusqu’en Afghanistan, aussi loin de sa Grande Bretagne natale pour y mettre leur grain de sable pendant la guerre froide. La romance des espions d’Est en Ouest est belle, le violoncelle en musique classique et l’ambiance des années 80, très cool, idem pour les gadgets hip hop et new waves.
Ah la la le problème de Tuer n’est pas jouer c’est qu’il fait partie des James Bond oubliable, en effet le James Bond des années 80 c’est Timothy Dalton et personnellement je n’y arrive pas avec ce James Bond là, le film est également plus sombre. Je retiens tout de même la très bonne scène en avion. Je ne vous le conseille pas plus que ça
Roger Moore à la retraire, c’est Timothy Dalton qui décroche le jackpot. Plus proche du personnage imaginé par Ian Fleming, l’acteur ne parvient pas à s'imposer aux yeux du public qui le boude malgré un ton plus sérieux, plus sombre et plus réaliste que son prédécesseur. Dirigé par John Glen et se situant dans la moyenne, « Tuer n’est pas jouer » parvient même à sortir de sa simplicité le temps d’une escapade en terre afghane intéressante et inspirée. Difficile d’en dire autant du méchant de service, incarné par un terne Jereon Krabbe mais également de Maryam d’Abo qui, malgré son joli minois et un rôle féminin plus imposant qu’à l’accoutumée, ne fera pas date. John Barry, fidèle à la franchise, A-Ha et The Pretenders assurent les parties musicales du film avec succès.
septiemeartetdemi.com - L'arrivée de Timothy Dalton dans le rôle de James Bond s'est faite avec un grand boum. Non : en fait, plein. La règle du jeu, c'était "tout ce qui est en feu explose". Une décennie et demi après s'être vu offrir le rôle, Dalton peut enfin prendre la place de ses trois illustres prédécesseurs pour le temps de deux films, entre la vieillesse de Moore et la disponibilité de Brosnan.
Comme à chaque nouveau film de la franchise, une rupture s'opère. Le résultat est des plus énergiques, quoi que cela n'ait pas percé dans le style des combats. Moins british dans l'âme quoique l'acteur le soit toujours, The Living Daylights est probablement le premier Bond à ne pas rappeler la série telle qu'elle était à ses débuts, sauf dans l'affiche. L'action est à tous les coins de rue, ce qui détourne le regard du spectateur du scénario un peu "tête dans le guidon" mais réduit aussi objectivement la niaiserie ambiante. Avant tout ça, 007 était un Don Juan blagueur avec un pistolet et des responsabilités d'ordre international. Merci à Timothy d'avoir introduit son interprétation plus froide et crédible.
Bon, par contre la langue afghane n'existe pas. Des petits accès de flemmardise comme celui-ci (faire jouer d'un violoncelle troué en concert en est une autre, oublier des scènes cruciales pour la cohérence encore une autre), il y en a plein, c'est un peu le propre de John Glen et ça donne à ses créations une texture un peu cheap. Mais l'appréciation globale est bonne.
On est un peu loin de l'univers de James Bond. L'humour auquel on est habitué est ici absent. Même si Timothy Dalton se donne à fond, il subsiste un goût d'inachevé et on s'y ennuie vite.
Quinzième volet de la saga des James Bond qui offre un résultat efficace mais guère plus. L'agent 007 doit faire passer à l'Ouest le général russe Koskov. A Bratislava, ce dernier manque d'être assassiné par une ravissante violoniste mais Bond empêche le pire. Il parvient à envoyer l'agent soviétique en Angleterre mais a des doutes. Il va découvrir que Koskov joue peut-être un double jeu... La réalisation a des prises de vues simples mais qui fonctionnent, la mise en scène est bonne, la profondeur de champ bien utilisée, des mouvements fluides et un cadrage propre. Le scénario est le point faible du film: il s'engage trop dans beaucoup de sous-intrigues compliquées qui n'apportent finalement pas grand-chose au film. Il y a des longueurs et quelques incohérences. Il y a des clichés bien sûr, mais n'oublions pas que nous sommes dans un James Bond. Il y a néanmoins de très bonnes scènes d'action. Les acteurs sont bons et crédibles, comme John Rhys-Davies (trilogie du Seigneur des Anneaux), Desmond Llewelyn ou Robert Brown. Les personnages sont stéréotypés, c'est vrai, mais ils sont néanmoins attachants. Les dialogues font preuve d'humour et marchent bien. La photographie a une lumière assez belle mais trop répétitive et une bonne palette de couleurs. Malheureusement l'image aujourd'hui a mal vieilli. Le montage manque de charisme; il est efficace dans les scènes d'action mais manque de charme dans les autres séquences. Les décors sont beaux, les costumes et la musique toujours aussi réussis. "Tuer n'est pas jouer" est un film qui ne marquera pas l'histoire du cinéma mais qui est quand même agréable.
C'est le James Bond du changement dans la continuité. Roger Moore atteint par la limite d'âge passe le flambeau au comédien shakespearien Timothy Dalton. Toujours séduisant mais plus discret, celui-ci se contente de reprendre un emploi en l'adaptant à sa carrure. Plus réaliste, l'aventure joue sur les morceaux de bravoure, quelques gadgets, un méchant démiurge et une ravissante espionne (Kara Milovi est une des plus charmantes James Bond Girl que j'ai pu voir). Excellent divertissement.
Loin d'être le meilleur des James Bond,il rengorge cependant de pas mal de scènes d'action en plus de très belles voitures et des gadgets autant utiles qu'originaux. Si le casting reste pas mal,Timothy Dalton n'est pas bon du tout dans le personnage du 007.En effet il est ennuyant.Quant à Moneypenny,elle est remplacée par la très belle Caroline Bliss...mais n'est pas spécialement brillante. Et pour la bo il y a franchement mieux,et n'est pas une des bo inoubliables de la saga.
Episode clé puisqu'il marque l'arrivé de Timothy Dalton en 007, sans doute l'interprétation le plus proche physiquement et psychologiquement du Bond des romans de Fleming. Dommage qu'il n'est fait que deux films parce que Dalton était vraiment excellent en Bond. Alors Tuer n'est pas jouer marque une transition, celle de Moore à Dalton, d'ailleurs à la base le film avait été écrit pour Moore. Mais l'échec de Dangereusement Votre et l'âge de ce cher Roger ont poussé la production à changer d'acteur. Si Dalton n'était pas le favoris au début du casting, c'est bien lui qui enfile le costume de l'agent secret. Il évident qu'il y a un décalage avec le scénario "facile" et le personnage "assombri" de James Bond, ici Bond est plus intéressant que l'histoire. Attention, y a de bonnes idées scénaristique dont l'idée de transfuge, mais c'est écrit avec trop de facilité du coup on y croit pas toujours. Il en ressort cependant de magnifiques scènes d'actions, sublimés par un Dalton en super forme et interprétant un Bon violent. A côté de ça le film à une ambiance "80's" qui lui va super bien, en autre avec la musique du générique qui comme toutes les musiques du film est génial. La Bond Girl est mignone mais manque de charisme, dommage car elle a une place importante dans le film. Le méchant, très intéressant au début, perd d'intérêt plus on avance dans le film.
Un épisode dont on ne parle pas souvent et qui pourtant est tout autant à la hauteur que les autres voir même mieux à certains moment... Il vieillit bien mieux que certains épisodes et son scénario est bien ficelé est plutôt prenant.
Même timothy Dalton se débrouille bien dans son style un peu différent car un peu plus rugueux plus direct moins flegmatique moins british !! Mais certaines scènes d actions commencent à être plus poussée techniquement
On ne s ennuie pas vraiment il n y a pas trop de temps mort ce qui est un bon point pour un James Bond !!! Un bon épisode
J'ai vu un film... qui introduit enfin un nouveau James Bond en la personne de Timothy Dalton, un peu plus sérieux et plus constant que Roger Moore...On quitte l'humour british pour de l'action intense, et un James bond un peu moins volage... La période peut-être....Le méchant n'est pas vraiment charismatique et Miss Moneypenny est vraiment cruche, tout comme le personnage de la violoncelliste tellement nunuche... Sinon, il y a des rebondissements, des l'aventure et des voyages à travers le monde (un sacré James Bond, pour ça :) !. On replonge dans l'ADN de James Bond avec le bon vieux conflit de la Guerre Froide qui se réchauffait en Afghanistan... et la façon chevaleresque dont le conflit était traité... La scène la plus marquante me concernant : celle dans le restaurant de la fête foraine... la licence se renouvelle sur ce film...
Timothy Dalton est excellent dans le rôle de James Bond bien qu'il en est fait que deux. Il est plus espion que collectionneur de femmes ou comique (ah ce Roger Moore). Le scénario s'en ressent et fait de "tuer n'est pas jouer" un des meilleurs bonds. Réaliste, efficace ! La musique de A-Ha est l'une des meilleures de la saga. Pour résumer, ce 15 ème épisode est un des plus aboutis. A noter que ce Bond est le dernier à sortir avant la chute du mur. Il faudra trouver de nouveaux méchants.
Tuer n'est pas jouer, sortit en 1987, est un grand classique. Quinzième volet en lice de la plus célèbre saga d'espionnage lancée par Ian Fleming en 1953. Timothy Dalton incarne l'agent 007 avec le charme et le charisme qui lui vont bien. Un beau concentré d'action dans une guerre sans fin contre le communisme aux côtés des valeureux Moudjahidines d’Afghanistan. Entre cascades de haute voltige et séduction au sommet, ce cru 87 n'a pas prit une ride et se regarde avec toujours autant de plaisir. 3,5/5