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Un visiteur
4,0
Publiée le 8 août 2011
"The living daylights" : quinzième opus marquant la passe d'arme entre le raffiné Roger Moore et l'élégant Timothy Dalton. Scénario : après avoir fait passé à l'Ouest un officier russe, Bond doit enquêter sur son kidnapping... jusqu'en Afghanistan ! Astucieux, il vise un public aguerri des James Bond où transparaît une pointe d'ironie. Timothy Dalton (retenu au dernier moment) campe le rôle de l'agent double simplement, sans donner de la profondeur à son personnage. Etonnament, les dialogues en toute première partie pourrait faire penser le contraire. Mais c'est à Roger Moore qu'était attribué le rôle originellement. Intelligemment, Timothy Dalton pose son jeu, et, calme et serein, arrive à faire naître un Bond différent de par des poncifs d'humour à la Connery tout en mêlant son savoir-faire de charisme et de nonchalence. En cela, je trouve que Dalton arrive à la hauteur de ses prédecesseurs : Connery en tête. "Tuer n'est pas jouer" se caractérise aussi d'une photographie non négligeable : Alec Mills (ayant travaillé comme cadreur sur "Star wars, Le retour du Jedi") propose une lumière magnifique dans les paysages afghans ainsi que dans les scènes de concerts en Autriche. Interprété moyennement (James Bond girl inexistante, et méchants manichéens à souhait, à l'instar de Jeroen Krabbe (le Dr Charles Nikols du "Fugitif") et d'Andreas Wisniewski ("Piège de cristal", "Mission impossible")), on se console par un enchaînement d'aventures à gogo où fusillades, courses contre-la-montre (vive Rémy Julienne ! Cocorico !!), courses-poursuites, bagarres et explosions alternent royalement avec moments calmes : concerts, moments d'amour et de parlotes qui règlent cette bombe comme du papier en feu. Merci John Glen ! Tu reviens en grande forme après un "Octopussy" divertissant et un "Dangereusement vôtre" plus que réussi. De plus, la musique est calibrée par un John Barry au meilleur de sa forme. Pour moi, la chanson du générique est à oublier. Spectateurs, parez ? A vos marques, prêt... go !!
La période de Roger moore dans l'habit de James Bond (1973-1985)touchait à sa fin. Lorsque Roger Moore comme Sean Connery jouaient un JB différents au cinéma,d'autres réalisateurs s'intéresser à eux pour interpréter d'autres rôle. l'un est devenu un grand acteur l'autre pas du tout. Timothy Dalton fut l'un des meilleurs JB ,car celui ci se rapprocher du personnage original,plus sentimental,sensible. Mais le scénario est moyen et j'ai trouvé que le transfuge interprété par Jeroen krabbé un acteur néerlandais n'a pas été assez fouillé par son personnage, de même les deux autres méchants. La Bond Girl n'est pas vraiment intelligente et elle suit Bond comme un tout petit toutou. Timothy Dalton(Flash Gordon) était pressenti pour interprété le plus célèbre espion de la terre en 1968 dans Au service secret de sa Majesté mais celui ci déclina l'offre parce que il disait qu'il était trop jeune pas assez inexpérimenté dans ce rôle. Ces origines sont galloises,il lit beaucoup particulièrement du William Shakespear dont il en à fait sa vocation théâtrale. C' est dommage que cet acteur n'a pas été assez exploité par des réalisateurs et des producteurs .
"The living daylights"(1987).Bond revient sous les traits d'un nouveau héros:Timothy Dalton.Celui-ci instaure d'emblée un style plus froid et direct.Plus proche de l'originel de Ian Fleming.Sous-estimé,ce 16ème tome n'en est pas moins l'un de ceux qui vieillissent bien.Dalton est le Bond par excellence.Présence rassurante,regard ténébreux et détermination sans failles.Il combat encore et toujours les communistes,en particulier un Général guerrier.Réalisation léchée pour un thriller de fond,qui se tient de bout en bout,et fait référence au peuple afghan très marqué à l'époque.Le pré-générique avec l'entraînement des agents 00 est très impressionnant.De même,Bond et une musicienne dévalent la neige à l'intérieur d'un étui de violoncelle.Bond se bagarre avec une montagne de muscles sur le pont arrière d'un transporteur en plein vol!Rien à envier aux meilleurs,"Tuer n'est pas jouer"donne du plaisir.Le danger y est omniprésent.La satisfaction d'assister à un Bond de haute volée aussi.
Timothy Dalton reprend le rôle de 007 avec plus de sérieux et moins d’humour que Roger Moore. Je dis pourquoi pas. Seulement le souci avec cet épisode c’est qu’on rentre dans une nouvelle et fâcheuse déviance « US » de la franchise : la surenchère de scènes d'actions souvent invraisemblables. Alors bien sûr ça nous permet de découvrir une nouvelle version de l’Aston Martin suréquipé, mais c’est un peu too much. Les répliques drôles ne dont pas mouche du tout. Le scénario entraînant l’agent secret entre Gibraltar, Autriche et Afghanistan n’est pas très évolué mais fonctionne. Par contre le film ressemble parfois à une série Z avec de mauvais décors studio. Quant au final en Afghanistan…. C’est le summum de l’impossible….avec la jeep qui sort du Tupolev russe en plein vol, sans parachute, et sans une égratignure… non mais comme si.
Super film avec un Timothy Dalton qui nous montre un James Bond plus secret. Je trouve que c'est le meilleur film de la série des James Bond !!! Dommage qu'il n'en a fait que 2!!
Un James Bond tout nouveau, pour un style qui ne se renouvelle malheureusement pas! Un film qui sent bon l'époque Moore malgré l'arrivée de Dalton, mais pas la meilleure période de Sir. Humour légère, action un peu grotesque, on est loin de l'ambiance espionnage so british d'antan! Le scénario laissait pourtant entrevoir une lueur dés le début avec cette histoire de tireur féminin et de transfuge... Mais la suite n'est qu'un remplissage (pas que désagréable comme l'attaque du QG des services secrets par ex) qui nous donne une histoire limite digeste. En bref, pas un film ennuyeux, mais plutot un scénario assez moyen. Dommage car Dalton n'est pas plus mal qu'un autre, même s'il ne respire pas la classe absolue!
Un très bon James Bond avec Thimothy dans son premier rôle. A la sortie du film au cinéma, j'avais décrié à l'époque l'acteur que je n'appréciais pas trop. Avec le deuxième volet de Dalton (permis de tuer)il ma définitivement convaincu de son talent et de son choix pour succéder au vieillissant Moore.Ce film est une pure merveille. Dalton fait partie des grands et ses deux opus ont leur place dans les meilleurs James Bond. Là on découvre un James bond plus froid que Roger Moore mais qui garde son sens de l'humour et sa classe. Daniel CRAIG est incapable de cela car c'est un acteur minable. Dalton est de la catégorie des Connery, Moore et Brosnan qui ont mené le rôle de JB007 au panthéon. Craig par sa nullité a réussi l'exploit unique de l'en faire descendre. Heureusement que les DVD sont là pour nous remémorer ce qu'ont été et que sont les VRAIS James BOND.
film tres moyen avec un t dalton qui tente de faire de son mieux ....mais desole il est pas fait pour ce role...j ccroche pas et regrette presque roger moore.a voir en vo car la doublure francaise est horrible
Moins de gadgets et de filles dans ce James Bond incarné pour la première fois par Timothy Dalton, laissant place à des scènes d'action toutes plus invraisemblables les unes que les autres.
Moore a abandonné le rôle et Dalton le remplace. Dalton campe un Bond plus serieux, plus dur. Ce premier film est une reussite, Dalton y est convaincant malgrès son manque d'aisance evident dans tout ce qui est humour, second degres et replique qui tue. En réalité la grande faiblesse à mon gout de cet épisode est la James Bond girl qui est vraiment sans relief. Le scenario et la brochette de méchants sont de très bonne facture. Dalton a ses detracteurs, je le trouve personnellement plus qu'honorable dans son 1er Bond, rien à voir avec Roger Moore ce qui est toujours mieux lorsque l'on succede a un acteur qui a marqué la série, afin d'éviter les comparaison, comme Roger Moore n'avait rien à voir avec Sean Connery. Bref un bon Bond et une nouvelle ère qui s'ouvre.
Après l'échec cuisant de Dangereusement vôtre, qui nous balançait pittoresquement un Bond de 60 ans doublé à chaque plan et tombant les midinettes deux fois plus jeunes que lui, Timothy Dalton prend enfin la relève tant attendue. Méconnu du grand écran, peu charismatique et pas franchement séduisant, Dalton est pourtant l'un des meilleurs Bond de la saga qui, grâce à son flegme gallois, son humour aussi discret que corrosif et sa capacité à demeurer crédible d'un bout à l'autre du long-métrage, rend fidèlement hommage au personnage créé par Ian Fleming. L'histoire de cet énième conflit américano-soviétique est bien menée, rythmée, passionnante, aux rebondissements sans fin et aux scènes d'action explosives (la scène d'introduction au Rocher de Gibraltar est mémorable). Plus noir et plus violent aussi, Bond se retrouve face à un second couteau des plus mémorables, le glacial Necros interprété par le géant Andreas Wisniewski. Il est également entouré de la jolie mais un peu nunuche Maryam d'Abo, pas très convaincante mais néanmoins sympathique. Des rues animées de Vienne aux désert brûlants d'Afghanistan, Tuer n'est pas jouer demeure encore aujourd'hui un des meilleurs films de la série.
L’agent 007 est chargé d’exfiltrer le général russe Koskov en lui faisant traverser le Rideau de Fer, une mission qui se révèlera bien plus complexe qu’il ne le pensait…
Après 7 opus sous les traits de Roger Moore, ce dernier commençait accuser le poids des années (il avait 58ans à la sortie de Dangereusement vôtre - 1985), il lui fallait passer le flambeau et les producteurs de l’époque ont donc jeté leur dévolu sur un certain Timothy Dalton (41ans au compteur), qui campera l’agent 007 pour seulement 2 volets de la franchise. A la réalisation, on retrouve une fois de plus John Glen (qui en est à son 4ème James Bond) et nous embarque dans un thriller d’espionnage mouvementé, de Gibraltar à la Tchécoslovaquie et de l’Afghanistan au Maroc, si bien que l’on a parfois l’impression d’avoir plus affaire à un film d’aventure plutôt qu’à un film d’espionnage.
En quittant Roger Moore pour Timothy Dalton, vous pensiez pouvoir faire l’impasse sur son humour so british ? Détrompez-vous, le scénario ayant été rédigé dans l’idée que ce serait Moore qui l’incarnerait une fois de plus, on se retrouve donc avec un nouveau visage pour incarner Bond, mais ses traits d’humour si particuliers (et parfois agaçants) sont bel et bien présents dans ce nouvel épisode.
Tuer n'est pas jouer (1987) ne lésine pas sur les scènes d’action et ce, dès la scène de pré-générique à Gibraltar. Le film est l’occasion de voir une exfiltration via un pipeline (plutôt original vous en conviendrez, malgré le manque de crédibilité), ainsi que des bouteilles de lait explosives et une attaque sur une base aérienne où le héros s’associent avec des Moudjahidines face aux soviétiques (une séquence quasi-similaire que l’on retrouvera l’année suivante dans Rambo III - 1988). Ajouter à ça, un trafic d’armes sur fond de trafic d’opium pendant la Guerre Froide, avec en toile de fond, le KGB et une histoire d’amour entre Kara la belle violoncelliste & l’agent 007.
Si la première partie met un certain temps pour démarrer et à nous faire rentrer dans le vif du sujet, la seconde sera quant à elle s’avère bien plus réussie. De son côté, Timothy Dalton s’avère être un digne successeur de Roger Moore, aux côtés de la ravissante Maryam d'Abo (qui avait débuté sa carrière avec la Série B Xtro - 1983).
Assez surprenant James Bond avec aux manettes Thimothy Dalton qui s'en tire plutot pas mal. L'originalité vient de l'aspect vulnérable du personnage de James bond, plus humain et réaliste que sous l'ere "Roger Moore". Pas trop de super Gadjet, de glamour et d'humour (quoique...!) mais un james bond qui se rapproche du tout dernier Casino Royale en un sens... Les scenes d'actions ne sont pas "too much" et on se laisse guider à travers un scénario fluide ! A voir en conséquence !