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Un visiteur
5,0
Publiée le 6 février 2007
Tuer n'est pas jouer est un très bon James Bond. La film est assurément un des meilleurs film d'action des années 80, d'ailleurs le film y perd un peu parce que c'est beaucoup moins de l'espionnage. Il marque la première apparition de Timothy Dalton dans le rôle de 007, dommage qu'il n'en ai fait que deux parce que son charisme est impressionnant. Personnellement je trouve que c'est un des meilleurs Bond avec Sean Connery et Daniel Craig. Un film à voir pour les fans de la saga mais aussi pour les fans d'action en général. A noter le pré-générique vraiment impressionnant pour l'époque.
Un des moins bons de la saga, assurément. Le premier avec Dalton, le moins qu'on puisse dire, c'est qu'il est assez froid... Je ne garde quasiment aucun vrai souvenir de ce film, il ne compte quasiment pas pour moi dans la saga.
Roger Moore à la retraire, c’est Timothy Dalton qui décroche le jackpot. Plus proche du personnage imaginé par Ian Fleming, l’acteur ne parvient pas à s'imposer aux yeux du public qui le boude malgré un ton plus sérieux, plus sombre et plus réaliste que son prédécesseur. Dirigé par John Glen et se situant dans la moyenne, « Tuer n’est pas jouer » parvient même à sortir de sa simplicité le temps d’une escapade en terre afghane intéressante et inspirée. Difficile d’en dire autant du méchant de service, incarné par un terne Jereon Krabbe mais également de Maryam d’Abo qui, malgré son joli minois et un rôle féminin plus imposant qu’à l’accoutumée, ne fera pas date. John Barry, fidèle à la franchise, A-Ha et The Pretenders assurent les parties musicales du film avec succès.
1ère apparition de Timothy Dalton en 007, après 7 épisodes avec Roger Moore, et le moins que l'on puisse dire est qu'il n'a dénaturé en rien le rôle du célèbre espion britannique. Légèreté, humour, charisme et d'une efficacité redoutable, celui qui avait été recalé quelques années auparavant car considéré comme trop jeune, a démontré dès ce premier épisode pour lui qu'il n'avait pas à rougir face à un Sean Connery ou un Roger Moore. Cet épisode est plus gris et plus sombre que la plupart des autres opus, guerre froide oblige. En effet nous sommes loin des lieux exotiques où même des vahinés qui ensorcèlent notre espion tout au long de ses diverses aventures. Non, ici nous avons une histoire sérieuse, un trafic d'armes sur fond de conflit Russo-Britannique dû à un quiproquo brillamment orchestré dès le début du film. Quelques scènes d'action, comme toujours, resteront dans les mémoires, telle que celle à bord de l'avion en Afghanistan ou l'on peut voir 007 les jambes dans le vide ou bien la scène du début ou un transfuge russe passe de l'est à l'ouest via un pipeline. Un épisode qui se démarque aussi des précédents car ici nous ne sommes pas en face d'un méchant très charismatique. En effet, James Bond doit plutôt se confronter à une organisation toute entière, en particulier le KGB et ses agents corrompus. Un scénario très soigné et original, dans l'actualité de lépoque, qui rend le visuel très plaisant et très prenant.
Ça commence à faire un sacré bout de temps qu'on a pas eu un très bon Bond. Depuis "L'espion qui m'aimait" les opus défile sans réussir à nous proposer un opus dont on prend un vrai plaisir à regarder. Alors ce premier épisode avec Timothy Dalton est loin d'être mauvais mais j'aurais aimé mieux. Nous pouvons néanmoins saluer la bonne performance de Dalton dans le rôle de l'agent 007. Le titre du film ne signifie rien avec l'intrigue, où alors j'ai loupé quelque chose. Le scénario est plutôt bon est bien maîtrisé. Les scènes d'action très bien réalisés, encore une fois. La James Bond Girl est bien moins jolie que la plus part de celle qu'on a vu jusqu'ici, en revanche l'actrice joue bien et son personnage est également bon. Le ou les méchants, des soviétiques, ne sont pas terrible, je ne connais même pas leurs noms et n'ont que peu de charisme. Beaucoup de longueurs se font ressentir durant le film; en revanche la fin en Afghanistan est excellente, la meilleur partie du film. Dommage que ce n'était pas de cette qualité tout le long du film. En conclusion Bond 15 est un bon film mais il faudrait vite nous livrer un épisode digne de ceux de Connery notamment.
James Bond girl et nouvelle Moneypenny un peu fades, méchant banal et sans réel charisme, scénario bien écrit mais en manque de clarté : Tuer n'est pas jouer n'est définitivement pas le JB made in John Glen le plus réussi. Demeure, heureusement, la grande satisfaction Timothy Dalton, qui redonne à l'agent (pas si) secret un peu de son ambiguïté, et surtout son côté tueur et border-line. Sans cela l'humour est toujours au rendez-vous, et on passe - mais en cela, quoi de neuf ? - devant ce JB quinzième du nom un moment très agréable.
Premier James Bond pour Timothy Dalton dans le role principal, qui change radicalement le style du personnage. Exit l'humour et la placidité mondaine de Roger Moore, le nouvel interprete apporte une présence physique plus marquée, et plus d'intensité à travers ses mimiques et son regard brulant. A défaut d'etre "le meilleur des James Bond", ce qui dépend surtout à mon avis des scripts proposés, Timothy Dalton fait preuve d'une énergie intéressante : il est parfaitement crédible dans le costume de 007. Pour en revenir au film lui-meme, il dispose du scénario le plus alambiqué de ce que la série a offert au cinéma. La premiere partie est passionnante, rivalisant d'ingéniosité et ne ménageant pas surprises et retournements de situation, à travers cette histoire de défection Russe vers l'Occident. Hélas, l'ensemble décline quelque peu sur le final, à l'image d'un dénouement "cucul" franchement décevant. Si l'esprit de la série est bien là (gadgets, voyages, courses-poursuites etc...), cet épisode laisse un gout d'inachevé : il n'en reste pas moins tout à fait correct.
septiemeartetdemi.com - L'arrivée de Timothy Dalton dans le rôle de James Bond s'est faite avec un grand boum. Non : en fait, plein. La règle du jeu, c'était "tout ce qui est en feu explose". Une décennie et demi après s'être vu offrir le rôle, Dalton peut enfin prendre la place de ses trois illustres prédécesseurs pour le temps de deux films, entre la vieillesse de Moore et la disponibilité de Brosnan.
Comme à chaque nouveau film de la franchise, une rupture s'opère. Le résultat est des plus énergiques, quoi que cela n'ait pas percé dans le style des combats. Moins british dans l'âme quoique l'acteur le soit toujours, The Living Daylights est probablement le premier Bond à ne pas rappeler la série telle qu'elle était à ses débuts, sauf dans l'affiche. L'action est à tous les coins de rue, ce qui détourne le regard du spectateur du scénario un peu "tête dans le guidon" mais réduit aussi objectivement la niaiserie ambiante. Avant tout ça, 007 était un Don Juan blagueur avec un pistolet et des responsabilités d'ordre international. Merci à Timothy d'avoir introduit son interprétation plus froide et crédible.
Bon, par contre la langue afghane n'existe pas. Des petits accès de flemmardise comme celui-ci (faire jouer d'un violoncelle troué en concert en est une autre, oublier des scènes cruciales pour la cohérence encore une autre), il y en a plein, c'est un peu le propre de John Glen et ça donne à ses créations une texture un peu cheap. Mais l'appréciation globale est bonne.
Plus dur, plus dangereux, je ne crache pas sur l'interprétation de Dalton... mais le film en lui-même ne m'emballe pas. Je le trouve mou, on dirait presque un retour en arrière niveau effets spéciaux, action ou même les bruitages. L'action elle-même peine a venir. Heureusement, la fin est à la hauteur de ce qui s'est fait précédement, mais globalement très décevant pour l'entrée en matière d'un nouveau James Bond. Timothy Dalton méritait mieux.
Loin d'être le meilleur des James Bond,il rengorge cependant de pas mal de scènes d'action en plus de très belles voitures et des gadgets autant utiles qu'originaux. Si le casting reste pas mal,Timothy Dalton n'est pas bon du tout dans le personnage du 007.En effet il est ennuyant.Quant à Moneypenny,elle est remplacée par la très belle Caroline Bliss...mais n'est pas spécialement brillante. Et pour la bo il y a franchement mieux,et n'est pas une des bo inoubliables de la saga.
Assez surprenant James Bond avec aux manettes Thimothy Dalton qui s'en tire plutot pas mal. L'originalité vient de l'aspect vulnérable du personnage de James bond, plus humain et réaliste que sous l'ere "Roger Moore". Pas trop de super Gadjet, de glamour et d'humour (quoique...!) mais un james bond qui se rapproche du tout dernier Casino Royale en un sens... Les scenes d'actions ne sont pas "too much" et on se laisse guider à travers un scénario fluide ! A voir en conséquence !
Un opus James Bond typique des années 80 (pas d'épisode mémorable dans cette décennie) souvent marrant mais involontairement (ou presque). Des scènes d'actions pas toutes réussies, un Bond trop gentil et pas le plus doué qu'on aient pu voir (la relation avec la Bond girl cucul) Ce personnage de ce film est le plus gros défaut. Scénario qui va parfois à la facilité mais le tout est divertissant malgré de nombreux points faibles.
Timothy Dalton, se décalant par rapport à son charismatique prédécesseur, campe un James Bond flambant neuf, qui, sans se prendre la tête, réussit à donner un coté noir à James Bond...
Tuer N’est Pas Jouer marque l’entrée en scène de Timothy Dalton comme nouvel agent 007. Son James Bond s’avère plus sérieux et ténébreux que ce à quoi Roger Moore nous avait habitué. L’intrigue est très classique mais a le mérite de faire voir du pays (Gibraltar, Autriche, Maroc, Afghanistan…). Ca manque un peu de meurtres et de filles malgré tout.
La premier James Bond avec Timothy Dalton! Qui est un trés trés bon James Bond avec une bonne histoire et de bonne scénes d'action,Timothy joue pourtant a la perfection ce role mais prendre la reléve de Roger Moore et de Sean Connery lui sera fatal,dommage car ce premier film est toujours dans l'esprit et toujours aussi ! Seul bémol , money penny qui ressemble plus a une pouf qu'a lavrai money penny mais bon... Sinon du tout bon !